Dossier Maurice Rollinat |
MAURICE ROLLINAT (1846 - 1903)
MAURICE ROLLINAT SUR INTERNET (Réalisation : Régis Crosnier - Dernière mise à jour : 11 décembre 2024) |
SOMMAIRE
– Œuvres littéraires de Maurice Rollinat disponibles en téléchargement
– Œuvres musicales (partitions) de Maurice Rollinat disponibles en téléchargement
– Textes de Maurice Rollinat parus dans des journaux ou des revues
– Poèmes de Maurice Rollinat parus dans des journaux ou des revues
– Poème de Maurice Rollinat illustré (non cité ci-dessus)
– Partitions de musique de Maurice Rollinat parues dans des journaux ou des revues
– Correspondance de Maurice Rollinat
– Distinction reçue par Maurice Rollinat
– Annonces et présentations de livres ou de partitions de musique de Maurice Rollinat
. Dixains réalistes
. Dans les Brandes, édition de 1877
. Six mélodies (poèmes et musique de Maurice Rollinat)
. Six mélodies (sur des poèmes de Charles Baudelaire)
. Trois valses
. Les Névroses
. Dans les Brandes, édition de 1883
. L’Abîme
. Dix mélodies
. La Nature
. Le Livre de la Nature
. Les Apparitions
. Ce que dit la Vie – Ce que dit la Mort
. Paysages et Paysans
. En Errant
. Ruminations
. Les Bêtes
. Fin d’Œuvre
. Choix de poésies
. Dans les Brandes (réédition de 1946)
– Livres sur Maurice Rollinat, disponibles en téléchargement au format pdf
– Ouvrages parlant de Maurice Rollinat
– Maurice Rollinat dans des livres scolaires ou dans la littérature enfantine
– Annonces et comptes rendus d’événements commémoratifs en l’honneur de Maurice Rollinat
– Articles ou ouvrages dans lesquels Maurice Rollinat est cité de manière anecdotique
– Livres de Maurice Rollinat illustrés
– Poèmes de Maurice Rollinat traduits en espagnol
– Ouvrages où Maurice Rollinat a servi de modèle pour un personnage
– Tableau inspiré d’un poème de Maurice Rollinat
– Maurice Rollinat imité et poèmes inspirés par Maurice Rollinat
– Livres dédiés à Maurice Rollinat
– Poèmes dédicacés ou consacrés à Maurice Rollinat
– Nouvelles ou textes dédicacés à Maurice Rollinat
– Œuvres d’art dédicacées à Maurice Rollinat
– Dessin dédicacé à Maurice Rollinat
– Portraits de Maurice Rollinat (ne figurant pas dans un article ou un ouvrage cité ci-dessus)
– Humour
– Partitions écrites sur des poèmes de Maurice Rollinat en téléchargement
– Écouter des interprétations de poèmes ou chansons de Maurice Rollinat
– Articles relatifs à l’association « Les Amis de Maurice Rollinat »
Avertissement : La liste ci-dessous ne se veut pas exhaustive, elle répertorie simplement les ouvrages, articles et documents que nous avons trouvé sur Internet et qui concernent Maurice Rollinat. Elle est augmentée progressivement.
NB : Certains articles ou livres sont suivis d’une mention du style : « Lire cet article. ». En général, les textes sont alors suivis de commentaires permettant de mieux les situer ou les comprendre.
Œuvres littéraires de Maurice Rollinat disponibles en téléchargement |
- sur le présent site (au format .doc) :
- Dans les Brandes, poëmes et rondels, Librairie Sandoz et Fischbacher, Paris, 1877, 288 pages (1ère version - ce document met en évidence les différences avec l’édition de 1883)
- Les Névroses, G. Charpentier, Paris, 1883, VIII + 399 pages
- Dans les Brandes, poèmes et rondels, G. Charpentier, Paris, 1883, 281 pages (2ème version)
- L’Abîme, poésies, G. Charpentier, Paris, 1886, 292 pages
- La Nature, G. Charpentier et E. Fasquelle, Paris, 1892, 350 pages
- Le Livre de la Nature, choix de poésies pour les enfants, C. Delagrave, Paris, 1893, 135 pages (ce document met en évidence les différences avec les poèmes publiés précédemment)
- Les Apparitions, G. Charpentier et E. Fasquelle, Paris, 1896, 310 pages
- Paysages et Paysans, poésies, Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1899, 332 pages
- En Errant, proses d’un solitaire, Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1903, 325 pages
- Ruminations, proses d’un solitaire, Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1904, 296 pages
- Les Bêtes, poésies, Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1911, VII + 234 pages
- Fin d’Œuvre, Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1919, 341 pages
- La participation de Maurice Rollinat avec dix poèmes, aux Dixains réalistes, Librairie de l’Eau-forte, Paris, 1876, 54 pages
- Quelques poèmes et un texte inédits parus dans des journaux, revues ou livres
- sur Gallica (au format pdf) :
- Dans les Brandes, poèmes et rondels - G. Charpentier, Paris, 1883, 281 pages
- Les Névroses - G. Charpentier, Paris, 1885 (sixième mille), VIII + 399 pages
- La Nature, poésies - G. Charpentier et E. Fasquelle, Paris, 1892, 350 pages
- Le Livre de la Nature, choix de poésies pour les enfants - C. Delagrave, Paris, 1893, 135 pages
- Les Apparitions - G. Charpentier et E. Fasquelle, Paris, 1896, 310 pages
- Paysages et Paysans, poésies - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1899, 332 pages
- En Errant, proses d’un solitaire - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1903, 325 pages
- Ruminations, proses d’un solitaire - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1904, 296 pages
- Les Bêtes, poésies - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1911, VII + 234 pages
- Choix de poésies - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1926, 284 pages
- Les Luxures, extrait des "Névroses", avec trente et une eaux-fortes de Lobel-Riche, Le Livre de Plantin, 1929.
NB : Sur Gallica, pour que l’œuvre littéraire de Maurice Rollinat soit complète, il manque :
- L’Abîme – G. Charpentier, Paris, 1886, 292 pages
- Fin d’Œuvre - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1919, 341 pages
Maurice Rollinat a participé à l’ouvrage Dixains réalistes, publié par la Librairie de l’Eau-Forte, à Paris en 1876, téléchargeable sur Gallica.
- sur le site www.archive.org (au format pdf) :
- Dans les Brandes, poèmes et rondels - G. Charpentier, Paris, 1883, 281 pages
- Les Névroses - G. Charpentier, Paris, 1917 (treizième mille), VIII + 399 pages
- L’Abîme, poésies – G. Charpentier, Paris, 1886, 292 pages
- La Nature, poésies - G. Charpentier et E. Fasquelle, Paris, 1892, 350 pages
- Les Apparitions - G. Charpentier et E. Fasquelle, Paris, 1896, 310 pages
- Paysages et Paysans, poésies - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1899, 332 pages
- En Errant, proses d’un solitaire - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1903, 325 pages
- Ruminations, proses d’un solitaire - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1904, 296 pages
- Les Bêtes, poésies - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1911, VII + 234 pages
(Attention : Vous pouvez trouver les livres de Maurice Rollinat en format texte ; il s’agit d’un résultat brut d’un système automatique de reconnaissance de caractères, sans relecture. Seuls les livres en format image sont conformes à l’œuvre originale).
- sur le site Wikimedia commons (au format djvu) :
- Dans les Brandes, poèmes et rondels - G. Charpentier, Paris, 1883, 281 pages (attention : 42,9 Mo)
- Les Névroses - G. Charpentier, Paris, 1917 (treizième mille), VIII + 399 pages
- L’Abîme, poésies - G. Charpentier, Paris, 1886, 292 pages
- La Nature, poésies - G. Charpentier et E. Fasquelle, Paris, 1892, 350 pages
- Le Livre de la Nature, choix de poésies pour les enfants - C. Delagrave, Paris, 1893, 135 pages
- Les Apparitions - G. Charpentier et E. Fasquelle, Paris, 1896, 310 pages
- Paysages et Paysans, poésies - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1899, 332 pages
- En Errant, proses d’un solitaire - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1904, 296 pages
- Ruminations, proses d’un solitaire - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1904, 296 pages
- Les Bêtes, poésies - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1911, VII + 234 pages
- Choix de poésies - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1926, 284 pages
- sur le site de la Médiathèque de Châteauroux (au format image) :
- Les manuscrits de 20 poèmes du livre La Nature + le manuscrit du poème Le Ramasseur de bouts de Cigares, reliés par Joseph Thibault.
- La Nature, poésies - G. Charpentier et E. Fasquelle, Paris, 1892, 350 pages + les pages de la reliure comprenant une carte de visite manuscrite de Maurice Rollinat. Ce livre a appartenu à André des Gachons qui l’a illustré de 101 aquarelles inédites ce qui en fait une œuvre d’art.
- Une lettre de George Sand à Isaure Rollinat datée du 26 janvier 1872, à propos de la recherche d’un travail pour Maurice à Paris.
- sur le site de l’Université d’Oxford (au format pdf) :
- Les Bêtes, poésies - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1911, VII + 234 pages
- Choix de poésies - Bibliothèque Charpentier, E. Fasquelle, Paris, 1926, 284 pages
Œuvres musicales (partitions) de Maurice Rollinat disponibles en téléchargement |
- sur Gallica :
- Recueillement - Au Ménestrel, Paris, 1892, 6 pages
- Harmonie du Soir - Au Ménestrel, Paris, 1892, 4 pages
- Le Jet d’eau - Au Ménestrel, Paris, 1892, 8 pages
- L’invitation au Voyage - Au Ménestrel, Paris, 1892, 6 pages
- La Gardeuse de chèvres - Au Ménestrel, Paris, 1906, 6 pages
- Le Soleil des Fantômes - Au Ménestrel, Paris, 1909, 6 pages
- La Forme noire - Au Ménestrel, Paris, 1909, 6 pages
- Les deux Orvets - Au Ménestrel, Paris, 1909, 6 pages
- Les Reflets - Au Ménestrel, Paris, 1909, 6 pages
- Les Pendants - Au Ménestrel, Paris, 1909, 6 pages
- L’Hôte suspect - Au Ménestrel, Paris, 1909, 6 pages
- La Tombe rose - Au Ménestrel, Paris, 1909, 6 pages
- L’Abandonnée - Au Ménestrel, Paris, 1909, 6 pages
- Les Chats-Huants - Au Ménestrel, Paris, 1909, 6 pages
- La grande Pendule - Au Ménestrel, Paris, 1909, 4 pages
- Les Drapeaux - Au Ménestrel, Paris, 1909, 6 pages
- Mes Pipes - Au Ménestrel, Paris, 1909, 6 pages
- sur le site de l’Université de Rochester, État de New-York, USA :
- Rouges et Noires - Au Ménestrel, Paris, 26 chansons, 86 pages
Textes de Maurice Rollinat parus dans des journaux ou des revues |
LA PASSANTE dans La République des Lettres du 4 mars 1877, pages 307 et 308 (ce texte ne sera pas repris dans les livres publiés).
PÊCHEURS DE TRUITES dans le Supplément littéraire du Figaro, du 26 janvier 1889, page 1 (ce texte sera repris dans En Errant, pages 3 à 24).
LA GRANDE CHEMINÉE dans le Supplément littéraire du Figaro, du 11 mai 1889, page 1 (ce texte sera repris dans En Errant, pages 25 à 42).
LE FEU dans le Supplément littéraire du Figaro, du 24 août 1889, page 1 (ce texte légèrement modifié sera repris dans En Errant, pages 43 à 71).
CE QUE DIT LA VIE dans le Gil Blas du 16 avril 1892, pages 1 et 2 (ce texte sera repris dans En Errant, pages 289 à 308, avec des modifications minimes).
CE QUE DIT LA MORT dans le Gil Blas du 22 avril 1892, pages 1 et 2 (ce texte sera repris dans En Errant, pages 309 à 325, avec des modifications minimes).
Dans Les Annales Politiques et Littéraires, n° 452 du 21 février 1892, pages 122 et 123, nous pouvons lire Le pêcheur à la ligne. Ce texte correspond au dernier tiers de Pêcheurs de truites déjà publié le 26 janvier 1889 dans le Supplément littéraire du Figaro (voir ci-dessus).
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 873 du 18 mars 1900, en page 166, ont publié un extrait de LE FEU (intitulé Poème en prose). Celui-ci correspond à environ un huitième du texte paru le 24 août 1889 dans le Supplément littéraire du Figaro (voir ci-dessus).
Dans Les Annales Politiques et Littéraires, n° 917 du 20 janvier 1901, page 43, c’est un extrait de Ce que dit la Mort qui a été publié. Celui-ci correspond à environ un huitième du texte original qui sera repris dans En Errant (pages 311 à 335).
Le Progrès illustré n° 554 du 28 juillet 1901, publie pages 3, 4 et 5, Le Pêcheur à la ligne correspondant à la deuxième moitié de Pêcheurs de truites (qui sera repris dans En Errant, pages 3 à 24).
Dans L’Art de bien manger d’Edmond Richardin (Nilsson, Paris, 1907, 960 pages), nous trouvons pages 131 à 133, la recette du poisson à la broche de Maurice Rollinat (NB : la version en ligne est de 1907, la première édition date de 1901 et comporte déjà la recette de Maurice Rollinat). Cette recette sera reproduite dans Fin d’Œuvre, pages 225 à 227.
Le n° 2 de février 1902 de L’Ermitage, est essentiellement consacré à une enquête intitulée « Quel est votre poète ? ». Parmi les cent vingt-cinq réponses de poètes, celle de Maurice Rollinat figure à la page 135.
Limoges illustré du 15 février 1906, publie pages 2043 à 2045, Le Manoir tragique de Maurice Rollinat ; il s’agit d’un extrait de En Errant (pages 91 à 98).
Poèmes de Maurice Rollinat parus dans des journaux ou des revues |
Par ordre chronologique
Publication où le poème est paru | Titre du poème | Ouvrage de Maurice Rollinat dans lequel le poème a été, ou sera, publié | Commentaires |
La Renaissance littéraire et artistique, n° 34 du 28 septembre 1873, page 268 | La Morte embaumée | Les Névroses, pages 262 à 264 | Dans Les Névroses, les vers n° 5, 7, 51 et 56 ont été modifiés et il y a des différences de ponctuation. |
La Renaissance littéraire et artistique, n° 43 du 30 novembre 1873, page 342 | Chopin | Les Névroses, pages 53 à 55 | Dans Les Névroses, une strophe a été rajoutée (en dixième position), les strophes 10 et 11 ont été inversées, les vers 13, 19, 21, 29 et 50 ont été modifiés et il y a des différences de majuscules et de ponctuation. |
Le Parnasse contemporain : recueil de vers nouveaux, édité par A. Lemerre (Paris), 1876, pages 364 à 367 (recueil coordonné par Théodore de Banville, François Coppée et Anatole France, publié le 16 mars 1876) | Les Cheveux | Dans les Brandes, 1877, pages 80 à 84 | Il existe de petites différences de ponctuation entre les deux versions, et le premier vers de la quinzième strophe a été modifié. |
La République des Lettres, du 30 juillet 1876, pages 109 et 110 | La lune | Dans les Brandes, 1877, pages 21 à 25 | |
La Vie littéraire du 19 octobre 1876, pages 1 et 2 | Les Arbres (dédicacé à George Sand) |
Dans les Brandes, 1877, pages 116 à 119 | Dans l’édition de 1877 de Dans les
Brandes, ce poème sera dédicacé à Victor Hugo. Dans le livre, les strophes 10 et 11 sont inversées et il y a des différences de ponctuation. |
La République des Lettres, du 19 novembre 1876, pages 192 et 193 | Jalousie féline | Les Névroses, pages 84 à 86 | Sera publié dans Les Névroses avec plusieurs vers modifiés. |
La République des Lettres, du 25 mars 1877, pages 57 et 58 | - Les Loups
- L’Hôte suspect |
- Dans les Brandes,
1877, pages 254 et 255
- Dans les Brandes, 1877, pages 246 et 247 |
- Dans Dans les Brandes, le poème porte le titre "Les deux loups". - Dans Dans les Brandes, le troisième vers est modifié et il y a des différences de ponctuation. |
Le Courrier littéraire n° 6 du 25 mai 1877, pages 264 à 266 | Le Fantôme du Crime | Les Névroses, pages 3 à 5 | Sera publié dans Les Névroses avec quelques différences de ponctuation et de majuscules, et les vers 28 et 33 modifiés. |
Le Moniteur de la Lozère du 15 juillet 1877, page 3 | Les Bottines d’étoffe | Dans les Brandes, 1877, pages 94 à 98 | En illustration de la présentation du livre Dans les Brandes par Auguste Fourès. |
La Jeune France, n° 4 du 1er août 1878, page 150 | Les Rocs | Les Névroses, pages 204 et 205 | Sera publié dans Les Névroses avec de minimes différences de ponctuation. Il sera alors dédicacé à Victor Hugo. |
L’union littéraire et le sonnettiste réunis, n° 2 du 25 janvier 1879, page 25 | Le Mouchard | ||
Les Hydropathes, n° 11 du 12 juin 1879, pages 2 et 3 | Le Baby (dédicacé à Luigi Loir) |
Les Névroses, pages 223 à 225 | Poème dédicacé à Luigi Loir
dans la revue Les Hydropathes, et à Georges Nardin dans Les
Névroses.
Dans Les Névroses, le premier vers de la onzième strophe a été modifié. |
Les Hydropathes, n° 12 du 25 juin 1879, page 3 | Le chasseur en soutane | Dans les Brandes, 1877, pages 183 et 184 | |
L’Hydropathe, n° 14 du 25 juillet 1879, page 2 | A Charles Frémine | Fin d’Œuvre, pages 175 et 176 | Ce poème a été publié dans Fin d’Œuvre sous le titre « Sonnet en réponse » et est daté d’avril 1873. |
L’Hydropathe, n° 2 du 28 janvier 1880, page 3 | Mademoiselle Squelette | Les Névroses, pages 259 à 261 | Dans Les Névroses, le premier vers de la neuvième strophe a été modifié et il y a des différences de ponctuation. |
La Jeune France n° 22 du 1er février 1880, pages 390 et 391 | Ballade de l’arc-en-ciel d’automne | Les Névroses, pages 128 et 129 | Sera publié dans Les Névroses sous le titre "Ballade de l’Arc-en-Ciel" presque à l’identique. |
L’Union littéraire des poètes et des prosateurs, n° 5 du 10 mars 1880, page 72 | L’Aveugle | Ce poème est
différent de L’Aveugle publié dans Paysages et Paysans,
pages 221 et 222.
Par contre, il a de nombreux points communs avec Le Voleur publié dans Les Névroses, page 275. |
|
La Jeune France n° 24 du 1er avril 1880, pages 473 à 475 | Chopin | Les Névroses, pages 53 à 55 | Sera publié dans Les Névroses avec les strophes 9 et 10 inversées, les vers 39 et 54 modifiés, et avec des différences de majuscules et de ponctuation. |
L’Union littéraire et artistique, n° 10 du 25 mai 1880, pages 148 et 149 | La Neige | Dans les Brandes, 1877, pages 101 et 103 | La version publié dans L’Union littéraire et artistique comporte des différences avec celle publiée dans le livre. Ses vers 5, 7, 8 et 32 sont différents, et les trois dernières strophes ont été inversées. |
La Jeune France n° 28 du 1er août 1880, pages 185 à 187 | Les Agonies lentes | Les Névroses, pages 365 à 368 | Sera publié dans Les Névroses avec des différences de ponctuation et d’une majuscule. |
La Jeune France n° 31 du 1er novembre 1880, pages 326 et 327 | La Chimère | Les Névroses, pages 316 à 318 | Sera publié dans Les Névroses avec des différences de ponctuation et de majuscules, et avec les vers 22, 25 et 35 modifiés. |
La Jeune France n° 37 du 1er mai 1881, pages 38 à 40 | Les Serpents | Les Névroses, pages 194 à 197 | Sera publié dans Les Névroses avec les strophes 6 et 7 inversées avec les strophes 8 et 9, avec les vers 32, 44, 55 et 58 modifiés, avec la dernière strophe remaniée et avec des différences de ponctuation. |
La Jeune France n° 39 du 1er juillet 1881, pages 131 et 132 | Villanelle du Diable | Les Névroses, pages 323 à 325 | Sera publié dans Les Névroses avec des différences de ponctuation et de majuscules, et avec le vers 63 modifié. |
Lyon-Revue, n° 17 de novembre 1881, pages 625 à 628 | La Nuit de Novembre | Les Névroses, pages 333 à 336 | Il existe de petites différences entre les deux versions, en particulier de ponctuation et de majuscules. |
Le Feu Follet, n° 19 de décembre 1881, pages 241 et 242 | La Ballade de la petite Rose & du petit Bluet | Les Névroses, pages 178 et 179 | Dans le titre, c’est "et" au lieu de "&". Il y a quelques différences de ponctuation. |
Les Coulisses parisiennes n° 20 d’avril 1882, page 2 | Rondeau du Guillotiné | Les Névroses, page 285 | Dans Les Névroses, le poème sera publié avec les vers 12 et 13 inversés, et le vers 13 modifié. Le mot "Aquilon" sera imprimé sans majuscule. |
La Jeune France du 1er mai 1882, pages 51 à 53 | Les Plaintes | Les Névroses, pages 22 à 24 | Sera publié dans Les Névroses avec des différences de ponctuation et de majuscules, et avec les vers 11, 19, 21, 33, 38, 46, 53 et 54 modifiés. |
Le Chat Noir n° 17 du 6 mai 1882, page 2 | - L’Étang - Rondeau du Guillotiné |
- Les Névroses, page 326 - Les Névroses, page 385 |
|
Le Parnasse du 15 juin 1882, page 6 | La Nuit de Novembre | Les Névroses, pages 333 à 336 | La version ici publiée est identique à celle parue dans Lyon-Revue, n° 17 de novembre 1881, pages 625 à 628. |
Le Chat Noir n° 26 du 8 juillet 1882, page 2 | La Rivière dormante | Les Névroses, pages 137 à 139 | Dans le texte qui sera publié dans Les Névroses, au vers 30, les mots "d’ajoncs" seront remplacés par "de joncs". |
Le Chat Noir n° 37 du 23 septembre 1882, pages 1 et 2 | L’Allée de Peupliers | Les Névroses, pages 130 à 132 | Dans le texte qui sera publié dans Les Névroses, nous notons des différences de ponctuation et au vers 28, le mot "ces" est remplacé par "les". |
Le Chat Noir n° 39 du 7 octobre 1882, pages 1 et 2 | Ballade de la Dame en Cire | Les Névroses, pages 328 et 329, sous le titre "La Dame en cire" | Dans le texte qui sera publié dans Les Névroses, nous notons des différences de ponctuation et de majuscules. |
Supplément littéraire de Le Gaulois du 11 novembre 1882, page 2 | Les Frissons (précédé d’une courte présentation) | Les Névroses, pages 7 à 10 | Sera publié dans Les Névroses, avec quelques différences dans la ponctuation et le premier vers de l’avant-dernier paragraphe modifié. |
Le Chat Noir n° 44 du 11 novembre 1882, page 1 | La Ventouse | Les Névroses, page 121 | Dans le texte qui sera publié dans Les Névroses, nous notons des différences de ponctuation et de majuscules. |
Panurge n° 7 du 12 novembre 1882, pages 2 et 3 | L’Amante macabre | Les Névroses, pages 255 à 258 | Sera publié dans Les Névroses, avec des différences de ponctuation, de majuscules et huit vers modifiés. |
La Réforme du 13 novembre 1882, pages 1 et 2 | - La vieille croix
- La fille aux pieds nus - Ballade de l’Arc-en-ciel (copiée sur la partition de musique publiée chez Hartmann) - L’Allée de Peupliers (copiée sur Le Chat Noir) - La Rivière dormante (copiée sur Le Chat Noir) - L’Étang (copié sur Le Chat Noir) - Villanelle du Diable - Rondeau du Guillotiné (copié sur Le Chat Noir) - Ballade du Cadavre |
- Dans les Brandes, 1877, pages 238 et 239
- Dans les Brandes, 1877, pages 214 et 215 - Les Névroses, pages 128 et 129 - Les Névroses, pages 130 à 132 - Les Névroses, pages 137 à 139 - Les Névroses, page 326 - Les Névroses, pages 323 à 325 - Les Névroses, page 385 - Les Névroses, pages 377 et 378 |
Ces poèmes sont inclus dans l’article « Causeries littéraires - Maurice Rollinat » de Jules de Marthold. |
Le Progrès libéral (Toulouse) du 16 novembre 1882, page 2 | - L’Étang (copié sur La Réforme)
- L’Amante macabre (sept dernières strophes sur dix-neuf) |
- Les Névroses, page 326
- Les Névroses, pages 255 à 258 |
Avec une courte introduction
titrée « un nouveau poète ».
Le poème « L’Amante macabre » a vraisemblablement été copié sur Panurge du 12 novembre 1882 car il comporte les mêmes différences de majuscules ou de ponctuation et les mêmes vers modifiés par rapport à la version publiée dans Les Névroses. |
Le Chat Noir n° 45 du 18 novembre 1882, pages 1 et 2 | Les Serpents (dédicacé à Fernand Crésy) |
Les Névroses, pages 194 à 197 | Sera publié dans Les Névroses, avec quelques différences de ponctuation et de majuscules, les vers 2 et 32 modifiés et la dernière strophe complètement remaniée. Il sera alors dédicacé à Fernand Icres (Fernand Crésy est un pseudonyme utilisé par Fernand Icres). |
Supplément littéraire du dimanche du 25 novembre 1882, de Le Figaro, page 1 | Le Chat (précédé d’une courte introduction rappelant l’article d’Albert Wolff paru dans Le Figaro du jeudi 9 novembre 1882) | Les Névroses, pages 103 à 106 | Sera publié dans Les Névroses, avec une dizaine de petites différences. |
Le Voltaire du 25 novembre 1882, page 1 | Le Corbeau | Fin d’Œuvre, pages 179 à 188 | Poème mis en illustration de l’article de Guillaume Livet intitulé "Rollinat". |
La Jeune France du 1er décembre 1882, pages 494 à 496 | - Les Prunelles
- Jalousie féline |
- Les Névroses, page 180
- Les Névroses, pages 84 à 86 |
Ces deux poèmes seront publiés dans Les Névroses avec des différences de ponctuation et pour Jalousie féline avec les vers 4, 26, 35, 43 et 46 modifiés. |
Paris du 4 décembre 1882, pages 1 et 2. | - Le goût des
larmes - Le Guillotiné - Le silence des Morts |
- Les Névroses, page 28 - Les Névroses, page 385, sous le titre "Rondeau du guillotiné" - Les Névroses, page 382 |
Ces trois poèmes ont été mis par Albert Delpit, en illustration du début de son article Notes sur Paris, consacré à Maurice Rollinat. |
Le Chat Noir n°52 du 6 janvier 1883, page 2 | Ballade des Nuages | Les Névroses, pages 214 et 215 | Sera publié dans Les Névroses, avec quelques différences de ponctuation et de majuscules. |
La Gazette anecdotique du 15 janvier 1883, pages 13 à 15 | La Morte embaumée | Les Névroses, pages 262 à 264 | Dans la version publiée dans Les Névroses, il y a des différences de ponctuation, un mot changé au vers 34 et le vers 51 modifié. |
Le Progrès libéral (Toulouse) du 17 janvier 1883, page 1 | Le petit Lièvre (cinq strophes sur neuf : les n° 1, 2, 4, 5 et 9) | Les Névroses, pages 143 à 146 | Poème inclus par Marcel Fouquier à la fin de sa « Lettre parisienne » avec une courte introduction indiquant la prochaine parution du livre Les Névroses. |
Revue littéraire, bulletin de bibliographie (Supplément littéraire mensuel au journal l’Univers), numéro de janvier 1883, page 8 | La Morte embaumée | Les Névroses, pages 262 à 264 | Poème mis en illustration de
l’article sur la poésie de Maurice Rollinat, paru dans la Chronique
littéraire de Louis de Saint-Leu. Dans la version publiée dans Les
Névroses, il y a des différences de ponctuation, des mots changés aux vers
25 et 34, et le vers 51 modifié.
Ce poème est repris de La Gazette anecdotique du 15 janvier 1883, pages 13 à 15. |
La Jeune France du 1er février 1883, pages 621 à 626 | - L’Allée des Peupliers
- L’Horoscope - Le Val des Marguerites |
- Les Névroses, pages 130 à 132
- Les Névroses, pages 342 et 343 - Les Névroses, pages 183 à 185 |
Ces poèmes sont suivis d’un
paragraphe signé A.A. (Albert Allenet, le rédacteur en chef ?), présentant Maurice Rollinat de manière élogieuse et annonçant la
prochaine parution des Névroses.
Ces poèmes seront publiés dans Les Névroses avec des différences de ponctuation et de majuscules, et pour L’Horoscope sans séparation de strophes. |
Supplément littéraire du dimanche du 10 février 1883, de Le Figaro, page 3 | L’Allée de Peupliers (précédé d’une introduction et suivi d’un commentaire d’Auguste Marcade) | Les Névroses, pages 130 à 132 | Le poème est publié dans la cadre de la rubrique A travers les revues, car il venait d’être publié dans La jeune France. |
L’Intransigeant du 22 février 1883, pages 1 et 2 | - Marches funèbres
- La Belle Fromagère - Ombres visiteuses - Les petits Fauteuils - Le petit Lièvre - La Buveuse d’absinthe |
- Les Névroses, page 52
- Les Névroses, pages 72 à 75 - Les Névroses, pages 117 et 118 - Les Névroses, pages 220 à 222 - Les Névroses, pages 143 à 146 - Les Névroses, pages 270 à 272 |
Poèmes
précédés d’une courte introduction annonçant la publication de Les
Névroses.
Dans L’Intransigeant, le poème "La Belle Fromagère" ne comporte que les cinq premières strophes. |
Le Rappel du 25 février 1883, page 3 | Les Frissons (dédicacé à Albert Wolff) |
Les Névroses, pages 7 à 10 | Précédé de l’annonce de la parution des Névroses. |
Beaumarchais du 25 février 1883, page 4 | - Le Fou
- Le Rasoir |
- Les Névroses, page 298
- Les Névroses, page 322 |
Poèmes précédés de l’annonce de la parution des Névroses. |
La Justice du 23 février 1883, page 3 | - Villanelle du
Ver de terre - Le petit Lièvre - Les Frissons - Les Roses |
- Les Névroses, pages 191 et 192 - Les Névroses, pages 143 à 146 - Les Névroses, pages 7 à 10 - Les Névroses, pages 160 à 162 |
Ces quatre poèmes sont précédés de l’annonce de la parution des Névroses. |
L’Actualité n° 10 du 5 mars 1883, page 3 (supplément intitulé La Charogne) | L’Ensevelissement | Les Névroses, page 371 | |
La Revue critique n° 19 du 13 mai 1883, page 146 | L’Intérêt | L’Abîme, pages 29 et 30 | |
La Jeune France du 1er juin 1883, pages 115 et 116 | La Face humaine | L’Abîme, pages 1 à 5 | Ce poème est introduit avec un
paragraphe élogieux pour Maurice Rollinat.
Il sera publié dans L’Abîme sous le titre "Le Facies humain" avec des différences de ponctuation et de majuscules, et les vers 8, 40 et 59 légèrement modifiés. |
Le Voleur n° 1369 du 27 septembre 1883, pages 619 et 620 | Le crapaud | Dans les Brandes, pages 116 à 120 | Précédé d’une présentation de Dans les Brandes qui vient d’être publié. |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 46 du 11 mai 1884, page 294 | Tristesse des arbres | Dans les Brandes, pages 112 à 115, sous le titre "Les arbres" | La version publiée dans Les Annales Politiques et Littéraires ne comporte que huit strophes, alors que le poème dans le livre en a treize (les strophes 3, 7, 8, 10 et 11 ne sont pas reprises). |
Le Feu Follet, n° 73 du 15 décembre 1884, page 296 | Le Corbeau, d’après Edgar Poë | Fin d’Œuvre, pages 179 à 188 | Il existe de petites différences de ponctuation entre les deux versions. |
Vieux airs et jeunes chansons de Charles Frémine (Alphonse Lemerre, Paris, 1884, 149 pages), pages 101 et 102 | Sonnet en réponse - A Charles Frémine | Fin d’Œuvre, pages 175 et 176 | Ce poème suit "Sonnet noir" de Charles Frémine dédicacé à Maurice Rollinat. |
La Revue contemporaine d’août 1885, pages 521 et 522 | Le Mauvais Chuchoteur | L’Abime, pages 160 à 163, sous le titre "Le Mauvais Conseilleur" | Sera publié dans L’Abime, avec des différences de ponctuation, de majuscules et le quarante-et-unième vers modifié. |
L’Album du Chat noir, 2ème fascicule (non daté, mais vraisemblablement paru au début de 1886 = date figurant sous le tampon du dépôt légal), à la troisième page | Ballade de la Dame en Cire | Les Névroses, pages 328 et 329, sous le titre "La Dame en cire" | Poème écrit à la main par Maurice Rollinat et illustré par Willette. |
La Revue contemporaine de février 1886, pages 186 à 191 | La Pensée | L’Abime, pages 6 à 13 | Sera publié dans L’Abime, avec des différences de ponctuation, de majuscules et quatre vers modifiés. |
L’Intransigeant du 25 avril 1886, page 2 | - La
Douceur,
- Le Mal distingué - L’Intérêt - Le Blafard - Sagesse de fou |
- L’Abime,
pages 78 à 81
- L’Abime, pages 45 et 46 - L’Abime, pages 29 et 30 - L’Abime, pages 168 et 169 - L’Abime, pages 184 et 185 |
Poèmes précédés d’une courte introduction annonçant la publication de L’Abîme. |
La Justice, n° 2302 du 4 mai 1886, page 3 | L’Automate | L’Abime, pages 206 à 213 | Précédé d’une courte introduction annonçant la récente publication de L’Abîme. |
L’Hirondelle n° 19 du 8 mai 1886, page 147 | La Honte | L’Abîme, pages 164 à 167 | |
Le Charivari du 11 mai 1886, deuxième et troisième pages du numéro | - Le Doute
- L’Étrangère - L’Argent - Le Chat parlant |
- L’Abîme, pages 238 à 241
- L’Abîme, pages 250 et 251 - L’Abîme, pages 223 et 224 - L’Abîme, pages 227 à 229 |
Avec un court paragraphe présentant le livre L’Abîme. |
Le Livre - Revue du monde littéraire, du 10 juin 1886, page 293 | L’Empoisonneur | L’Abime, pages 225 et 226 | Poème publié dans l’article de présentation de L’Abîme. |
L’Hirondelle n° 28 du 10 juillet 1886, page 219 | Dernière visite | L’Abîme, pages 105 et 106 | |
L’Avenir de la Mayenne du 30 janvier 1887, page 1 | La mort du cochon | Dans les Brandes, pages 137 et 138 | Poème mis en illustration du texte de l’article Un miracle. |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 194 du 13 mars 1887, page 167 | Fuyons Paris | Dans les Brandes, pages 3 à 9 | La version publiée dans Les Annales Politiques et Littéraires ne comporte que sept strophes, alors que le poème dans le livre en a vingt-quatre (seules les strophes 4 à 10 sont reprises). |
Supplément littéraire du dimanche du 14 janvier 1888, de Le Figaro, page 7 | Le Vent (précédé d’une courte présentation) | La Nature, pages 1 à 10 | |
Supplément littéraire du dimanche du 24 mars 1888, de Le Figaro, page 1 | - La Grosse Anguille
- La Bête à Bon Dieu |
- La Nature, pages 71 et 72
- La Nature, pages 105 et 106 |
Sous l’appellation « Poèmes rustiques » et sans titre de poème. |
La Justice du dimanche 25 mars 1888, page 2 |
- La Grosse Anguille
- La Bête à Bon Dieu |
- La Nature, pages 71 et 72
- La Nature, pages 105 et 106 |
En introduction, il est indiqué que ces deux textes ont été publiés dans le Supplément littéraire du Figaro, et que ces deux "admirables poésies" "affirment une fois de plus le haut talent" de Maurice Rollinat. |
Supplément littéraire du dimanche du 31 mars 1888 de Le Figaro, page 1 | Les Chats-huants | La Nature, pages 73 et 74 | Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Supplément littéraire du dimanche du 21 avril 1888 de Le Figaro, page 1 | Le Coucou | La Nature, pages 75 à 79 | Sous l’appellation
« Poèmes rustiques ».
Sera publié dans La Nature, avec comme différences le mot « Coucou ! » correspondant au chant de l’oiseau qui n’est plus en italique. |
Supplément littéraire du dimanche du 1er septembre 1888 de Le Figaro, page 1 | Le Grillon | La Nature, pages 82 à 90 | Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Supplément littéraire du dimanche du 15 septembre 1888 de Le Figaro, page 2 | Le Ciel | La Nature, pages 107 à 119 | Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Supplément littéraire du dimanche du 3 novembre 1888 de Le Figaro, page 1 | Pluie dans un ravin | La Nature, pages 236 à 239 | Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Supplément littéraire de La Lanterne du 24 janvier 1889, page 3 | Le Grillon | La Nature, pages 82 à 90 | |
La Lanterne japonaise, n° 12, du 26 janvier 1889, page 3 | Les babillardes | Dans les Brandes, pages 210 et 211 | |
Revue du Centre, n° 2, du 15 février 1889, pages 101 et 102 | Rivière dormante | Les Névroses, pages 137 à 139, sous le titre « La Rivière dormante » | |
Supplément littéraire du dimanche du 23 février 1889 de Le Figaro, page 1 | La Mouche | La Nature, pages 99 et 100 | Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Revue du Centre, n° 3, du 15 mars 1889, pages 158 à 163 | Le Vent
+ un portrait de Maurice Rollinat par F. Combes accompagné d’un quatrain écrit à la main de Maurice Rollinat. |
La Nature, pages 1 et 10 | |
La Lanterne japonaise, n° 15, du 23 mars 1889, page 2 | La chanson de la perdrix grise | Dans les Brandes, pages 208 et 209 | |
Revue du Centre, n° 4, du 15 avril 1889, page 212 | L’Heure incertaine | L’Abime, pages 276 et 277 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 18 avril 1889, page 3 | Le Coucou | La Nature, pages 75 à 79 | Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Revue du Centre, n° 5, du 15 mai 1889, page 284 | Le Piano | Les Névroses, page 51 | |
Supplément littéraire du dimanche du 18 mai 1889 de Le Figaro, page 3 | L’Attardée | La Nature, pages 97 et 98 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 23 juin 1889, page 3 | Les Chats-Huants | La Nature, pages 73 et 74 | |
Revue du Centre, n° 7, du 15 juillet 1889, pages 386 et 387 | La Douceur | L’Abime, pages 78 à 81 | Dans L’Abime, le mot « Douceur » est toujours écrit avec un D majuscule, alors que dans la Revue du Centre, il l’est avec un d minuscule. |
Revue du Centre, n° 9, du 15 septembre 1889, pages 492 et 493 | Ballade des Lézards verts (dédicacée à Saint-Paul Bridoux) |
Les Névroses, pages 198 et 199 | |
Supplément littéraire du dimanche du 5 octobre 1889 de Le Figaro, page 1 | Les Moutons | La Nature, pages 126 à 136 | Nous avons alors constaté deux différences : le premier vers du dixième paragraphe a été changé et dans l’avant-dernier paragraphe, il est marqué « sous les paupières » au lieu de « sur… » |
Supplément littéraire de La Lanterne du 6 octobre 1889, page 3 | La Belle Fromagère | Les Névroses, pages 72 à 75 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 13 octobre 1889, page 3 | La Marchande d’Écrevisses | Les Névroses, page 76 | |
Revue du Centre, n° 10, du 15 octobre 1889, pages 537 et 538 | Le chemin aux merles | Dans les Brandes, pages 42 à 44 | |
Supplément littéraire du dimanche du 19 octobre 1889 de Le Figaro, page 1 | La Bonne Rivière | La Nature, pages 278 à 280 | Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Supplément littéraire de La Lanterne du 24 octobre 1889, page 4 | Lèvres pâmées | Les Névroses, page 71 | |
Supplément littéraire du dimanche du 9 novembre 1889 de Le Figaro, page 2 | Glas du Soir | La Nature, pages 95 et 96 (NB : dans le sommaire du livre, le titre qui figure est « Les Glas du Soir ») |
Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Supplément littéraire de La Lanterne du 14 novembre 1889, page 3 | Les Robes | Les Névroses, pages 63 à 65 | |
Revue du Centre, n° 11, du 15 novembre 1889, pages 595 et 596 | Le Chat parlant | L’Abime, pages 227 à 229 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 24 novembre 1889, page 3 | Poèmes rustiques | - La Nature, pages 71 et 72 - La Nature, pages 105 et 106 |
Les deux poèmes publiés sans titre correspondent à "La Grosse Anguille" et à "La Bête à Bon Dieu". |
Revue du Centre, n° 12, du 15 décembre 1889, page 640 | Prière | L’Abime, pages 158 et 159 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 2 janvier 1890, page 3 | Les Lèvres | Les Névroses, pages 68 à 70 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 9 janvier 1890, page 3 | La Baigneuse | Les Névroses, pages 77 et 78 | |
Supplément littéraire du dimanche du 11 janvier 1890 de Le Figaro, page 3 | - Impression d’hiver
- Le Renouveau |
- La Nature, pages 34 et 35
- La Nature, pages 32 et 33 |
Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Supplément littéraire du dimanche du 18 janvier 1890 de Le Figaro, page 2 | Les Vieilles Souches | La Nature, pages 142 à 144 | Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Supplément littéraire de La Lanterne du 19 janvier 1890, page 3 | La Chair | Les Névroses, page 80 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 26 janvier 1890, page 2 | L’Amour | Les Névroses, page 79 | |
Supplément littéraire du dimanche du 1er février 1890 de Le Figaro, page 1 | Au jardin | La Nature, pages 140 et 141 | Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Supplément littéraire de La Lanterne du 2 février 1890, page 3 | La Buveuse d’absinthe | Les Névroses, pages 270 à 272 | |
Supplément littéraire du dimanche du 15 février 1890 de Le Figaro, page 1 | Effet de pluie | La Nature, pages 161 et 162 | Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Supplément littéraire du dimanche du 1er mars 1890 de Le Figaro, page 2 | Lune d’Orage | La Nature, pages 50 à 55 | Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Supplément littéraire de La Lanterne du 9 mars 1890, page 2 | Les Bienfaits de la Nuit | Les Névroses, page 17 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 20 mars 1890, page 2 | La Créole | Les Névroses, page 18 | |
Supplément littéraire du dimanche du 22 mars 1890 de Le Figaro, page 2 | La Canicule | La Nature, pages 19 à 24 | Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Supplément littéraire de La Lanterne du 30 mars 1890, page 2 | Le Silence | Les Névroses, page 19 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 6 avril 1890, page 2 | Nocturne | Les Névroses, page 20 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 20 avril 1890, page 2 | Jalousie féline | Les Névroses, pages 84 à 86 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 1er mai 1890, page 3 | La Dame en cire | Les Névroses, pages 328 et 329 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 11 mai 1890, page 2 | Les Visions roses | Les Névroses, page 83 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 8 juin 1890, page 2 | A une Mystérieuse | Les Névroses, page 48 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 19 juin 1890, page 2 | La Blanchisseuse du Paradis | Les Névroses, page 47 | |
Supplément littéraire du dimanche du 21 juin 1890 de Le Figaro, page 1 | Au Crépuscule | La Nature, pages 167 et 168 | Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Supplément littéraire du dimanche du 5 juillet 1890 de Le Figaro, page 3 | La Taupe | La Nature, pages 165 et 166 | Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Supplément littéraire de La Lanterne du 10 août 1890, page 2 | Les deux Serpents | Les Névroses, page 109 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 17 août 1890, page 2 | Les Frissons | Les Névroses, pages 7 à 10 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 24 août 1890, page 2 | La Parole | Les Névroses, page 31 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 31 août 1890, page 3 | La Voix | Les Névroses, pages 29 et 30 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 7 septembre 1890, page 2 | Les Étoiles bleues | Les Névroses, page 32 | |
Supplément littéraire du dimanche du 13 septembre 1890 de Le Figaro, page 2 | Chaleur en Mer | La Nature, pages 169 à 171 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 28 septembre 1890, page 3 | A l’Insensible | Les Névroses, pages 107 et 108 | |
La Revue méridionale du 1er octobre 1890, pages 238 et 239 (22ème et 23ème du numéro) | Jalousie féline | Les Névroses, pages 84 à 86 | En hors-texte, figure l’eau-forte d’Adolphe Willette, illustrant le poème "Jalousie féline" de Maurice Rollinat. |
Supplément littéraire de La Lanterne du 2 octobre 1890, page 2 | Le Fantôme du Crime | Les Névroses, pages 3 à 5 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 12 octobre 1890, page 2 | La Conscience | Les Névroses, page 6 | |
Supplément littéraire du dimanche du 25 octobre 1890 de Le Figaro, pages 1 et 2 | Les Feuilles Mortes | La Nature, pages 36 à 47 | Sous l’appellation
« Poèmes rustiques ».
Il existe plusieurs différences entre les deux versions publiées dans Le Figaro et dans La Nature. |
Supplément littéraire de La Lanterne du 30 octobre 1890, page 3 | Le Bourreau monomane | Les Névroses, pages 293 à 295 | |
Supplément littéraire du dimanche du 15 novembre 1890 de Le Figaro, page 2 | La Bergère | La Nature, pages 153 à 158 | Sous l’appellation « Poèmes rustiques ». |
Supplément littéraire de La Lanterne du 16 novembre 1890, page 3 | Villanelle du Ver de terre | Les Névroses, pages 191 et 192 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 23 novembre 1890, page 3 | Le Monstre | Les Névroses, page 296 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 12 février 1891, page 2 | Le Baby | Les Névroses, pages 223 à 225 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 19 février 1891, page 2 | La Pipe | Les Névroses, pages 237 et 238 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 26 mars 1891, page 2 | Rondeau du Guillotiné | Les Névroses, page 385 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 5 avril 1891, page 3 | Ballade du vieux Baudet | Les Névroses, pages 175 et 176 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 30 avril 1891, page 2 | La Chanson des Yeux | Les Névroses, pages 87 et 88 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 17 mai 1891, page 3 | Le Succube | Les Névroses, page 66 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 18 juin 1891, page 3 | La Bête | Les Névroses, pages 119 et 120 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 25 juin 1891, page 3 | La Vache au Taureau | Les Névroses, pages 170 à 174 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 2 juillet 1891, page 2 | La petite Souris | Les Névroses, page 169 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 5 juillet 1891, pages 2 et 3 | Les Seins | Les Névroses, pages 95 à 97 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 23 juillet 1891, page 2 | Le Chat | Les Névroses, pages 103 à 106 | |
Supplément littéraire du dimanche du 25 juillet 1891 de Le Figaro, page 2 | Le voyageur | Les Apparitions, pages 217 à 223 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 30 juillet 1891, page 3 | Le Cauchemar d’un Ascète | Les Névroses, page 98 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 6 août 1891, page 3 | La Relique | Les Névroses, pages 91 à 94 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 13 août 1891, page 3 | La Torture | Les Névroses, page 99 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 16 août 1891, page 3 | La Mariée | Les Névroses, page 102 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 20 août 1891, page 3 | A la Circé moderne | Les Névroses, pages 100 et 101 | |
Le Progrès illustré n° 40 du 20 septembre 1891, page 2 | Tristesse des arbres | Correspond aux strophes 1, 2, 4, 5, 6, 9, 12 et 13 du poème Les arbres, paru dans Dans les Brandes, pages 112 à 115. | Le premier vers de la strophe 4 a été modifié et il y a des différences de ponctuation et de majuscules. |
Supplément littéraire de La Lanterne du 1er octobre 1891, page 2 | Mystère | Les Névroses, page 26 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 4 octobre 1891, page 3 | Les Vierges | Les Névroses, page 25 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 25 octobre 1891, pages 2 et 3 | L’Amante macabre | Les Névroses, pages 255 à 258 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 5 novembre 1891, page 2 | Les Yeux des Vierges | Les Névroses, page 89 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 12 novembre 1891, page 3 | Vierge damnée | Les Névroses, page 90 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 26 novembre 1891, page 3 | Les Prunelles | Les Névroses, page 180 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 3 décembre 1891, page 2 | Ballade de la petite Rose et du petit Bluet | Les Névroses, pages 178 et 179 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 31 décembre 1891, page 3 | Le Tunnel | Les Névroses, page 297 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 3 janvier 1892, page 3 | Le Fou | Les Névroses, page 298 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 17 janvier 1892, page 3 | Minet | Les Névroses, page 168 | A été publié dans Les Névroses sous le titre "Le Minet". |
Supplément littéraire de La Lanterne du 24 janvier 1892, page 3 | Les Pouliches | Les Névroses, pages 166 et 167 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 28 janvier 1892, page 3 | Les Drapeaux (dédicacé à Joseph Uzanne) |
Les Névroses, page 82 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 7 février 1892, pages 2 et 3 | Les Parfums | Les Névroses, pages 14 à 16 | |
Supplément littéraire du dimanche du 13 février 1892 de Le Figaro, page 3 | - L’Ornière
- Le Champ de Blé - Les Libellules (précédés d’une courte présentation) |
La Nature, pages 193 à 198
La Nature, pages 15 à 18 La Nature, pages 219 à 222 |
Le poème
« L’Ornière » a été publié dans La Nature avec
plusieurs différences par rapport à la version parue dans Le Figaro.
Idem pour le poème « Le Champ de Blé » où la troisième strophe a été modifiée. |
Le Journal pour tous du 14 février 1892, page 128 (huitième page de ce numéro) | Impression d’Hiver | La Nature, pages 34 et 35 | Précédé d’une brève annonce de la prochaine parution du livre La Nature. |
La Justice du 16 février 1892, page 3 | Les deux Orvets | La Nature, pages 91 et 92 | Le poème est précédé d’une présentation élogieuse du livre La Nature. |
Supplément littéraire de La Lanterne du 18 février 1892, page 3 | Les Yeux | Les Névroses, pages 34 à 36 | |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 452 du 21 février 1892, page 123 | A travers champs | Dans les Brandes, pages 10 à 16 | Dans la version publiée par Les Annales Politiques et Littéraires, il manque les strophes 8, 13, 15 et 20. |
Le Journal pour tous du 21 février 1892, page 141 (neuvième page de ce numéro) | - Nuit Mystique
- Les Libellules |
La Nature, pages 163 et 164
La Nature, pages 219 à 222 |
Poèmes suivis de l’annonce de la parution le jour-même du livre La Nature. |
Supplément littéraire de La Lanterne du 28 février 1892, page 4 | Le Magasin des Suicides | Les Névroses, page 114 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 6 mars 1892, page 3 | Ombres visiteuses | Les Névroses, pages 117 et 118 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 14 mars 1892, page 4 | Le Mensonge | Les Névroses, page 116 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 31 mars 1892, page 3 | Le Portrait | Les Névroses, pages 313 et 314 | |
La Syrinx, mars 1892, pages 58 à 60 | Chaleur en mer | La Nature, pages 169 à 171 | |
Gil Blas du 7 avril 1892, page 1 | Le Limonier | Ce poème ne figure dans aucun des livres publiés. | |
Gil Blas du 23 mai 1892, page 1 | Le canard sauvage | Les Bêtes, pages 185 à 189 | |
Le Sylphe - Supplément réservé aux écrivains non dauphinois n° 5, mai 1892, page 65 | Au Crépuscule | La Nature, pages 167 et 168 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 9 juin 1892, page 3 | Le Vent d’Été | Les Névroses, page 213 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 21 juillet 1892, page 3 | Mademoiselle Squelette | Les Névroses, pages 259 à 261 | |
Gil Blas du 29 juillet 1892, page 1 | Les Genêts | Paysages et Paysans, pages 6 à 11 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 31 juillet 1892, page 3 | L’Introuvable | Les Névroses, pages 38 et 39 | |
Le Sylphe - Supplément réservé aux écrivains non dauphinois n° 7, juillet 1892, pages 100 et 101 | Les Pouliches (dédicacé à Aristide Frémine) | Les Névroses, pages 166 et 167 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 4 août 1892, page 3 | Violette | Les Névroses, page 37 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 7 août 1892, pages 2 et 3 | La Morte embaumée (dédicacé à Joseph Carriès) | Les Névroses, pages 262 à 264 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 11 août 1892, page 3 | L’Habitude | Les Névroses, page 40 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 8 septembre 1892, page 2 | Le petit Lièvre | Les Névroses, pages 143 à 146 | La version ici publiée ne comprend que 7 strophes sur 9 (il manque les n° 7 et 8) |
Supplément littéraire de La Lanterne du 15 septembre 1892, page 3 | L’Enfer | Les Névroses, page 383 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 18 septembre 1892, page 2 | Notre-Dame la Mort | Les Névroses, page 384 | |
Gil Blas du 22 septembre 1892, page 1 | - L’Arbre mort
- La prière du silence - Le Saule - Les Clochettes - Soir de pluie - Pitié des pâquerettes |
Les Apparitions, pages 179 et 180
Paysages et paysans, page 310 Paysages et paysans, page 37 Paysages et paysans, page 108 Paysages et paysans, page 254 Paysages et paysans, pages 308 et 309 |
Ces six poèmes
sont réunis sous le titre Sous le ciel.
L’Arbre mort sera publié dans Les Apparitions avec le troisième vers différent. |
Le Journal pour tous du 2 octobre 1892, page 524 (huitième de ce numéro) | Le Petit Paysage | La Nature, pages 242 à 245 | |
Gil Blas du 18 novembre 1892, page 1 | Crue d’automne | Les Apparitions, pages 152 à 157 | |
Gil Blas du 30 décembre 1892, page 1 | - Le charbonnier
- Le corbeau empaillé |
Les Apparitions, pages 237 à 239
Les Apparitions, pages 87 à 89 |
|
Gil Blas du 30 janvier 1893, page 1 | Les treize rêves | Les Apparitions, pages 9 à 18 | Dans Les Apparitions, le premier vers de la dernière strophe a été modifié. |
Gil Blas du 21 mars 1893, page 1 | Les Glissoires | Paysages et Paysans, pages 40 à 44 | |
Le Sylphe - Supplément réservé aux écrivains non dauphinois, n° 3, mars 1893, pages 63 et 64 | La Chanson des Yeux | Les Névroses, pages 87 et 88 | |
Gil Blas du 1er avril 1893, page 1 | Le Grand Cercueil | Paysages et Paysans, pages 58 à 63 | |
Gil Blas du 30 juillet 1893, page 1 | La Petite Sœur | Paysages et Paysans, pages 13 à 18 | |
Gil Blas du 30 août 1893, page 1 | - Le Vieux Fumeur
- Le cheval blanc |
Paysages et Paysans, pages 272 et 273
Les Apparitions, pages 92 à 94 |
|
Le Sylphe - Supplément réservé aux écrivains non dauphinois, n° 9, septembre 1893, page 216 | Le Fossoyeur | La Nature, pages 332 et 333 | |
Gil Blas du 3 octobre 1893, page 1 | Les fossés | Les Apparitions, pages 165 à 171 | Dans Les Apparitions, le dernier vers de la troisième strophe et le premier vers de la dix-neuvième strophe ont été modifiés. |
Gil Blas du 31 octobre 1893, page 1 | - Dans une cuisine
- La lune magique - Le tableau - Soir de neige |
Les Apparitions, pages 74 et 75
Les Apparitions, pages 187 et 188 Les Apparitions, pages 141 et 142 Les Apparitions, pages 148 et 149 |
"La lune magique" a été publiée dans Les Apparitions sous le titre "Le soleil des fantômes". |
Supplément littéraire de La Lanterne du 28 décembre 1893, page 2 | Le Liseron | Les Névroses, page 164 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 4 janvier 1894, page 2 | Rondeau de Printemps | Les Névroses, page 163 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 18 janvier 1894, page 3 | La Mort des Fougères | Les Névroses, page 181 | |
Gil Blas du 2 février 1894, page 1 | La Carpe | Les Bêtes, pages 145 à 155 | Le poème qui sera publié dans Les Bêtes comportera quelques différences. |
Supplément littéraire de La Lanterne du 8 février 1894, page 3 | L’Épitaphe | Les Névroses, page 387 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 11 février 1894, page 3 | La Mousse | Les Névroses, page 182 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 8 mars 1894, page 3 | Le mauvais Œil | Les Névroses, page 321 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 15 mars 1894, page 3 | Le Rasoir | Les Névroses, page 322 | |
Gil Blas du 22 mars 1894, page 1 | - La Forme noire
- La soirée verte - L’Aigle - L’ogre |
Paysages et Paysans, page 206
Les Apparitions, pages 150 et 151 Les Bêtes, pages 201 et 202 Les Apparitions, pages 98 et 99 |
Dans Les
Apparitions, le douzième vers de "La soirée verte" a été
modifié.
"L’aigle" sera publié dans Les Bêtes sous le titre "Vol d’Aigle". |
Supplément littéraire de La Lanterne du 12 avril 1894, page 3 | Villanelle du Diable (dédicacé à Théodore de Banville) | Les Névroses, pages 323 à 325 | |
Le Sylphe -Supplément réservé aux écrivains non dauphinois n° 4, avril 1894, pages 80 à 83 | Fuyons Paris | Dans les Brandes, pages 3 à 9 | Dans la version publiée dans Le Sylphe, il manque les strophes 3, 11, 15, 17 et 18. |
Supplément littéraire de La Lanterne du 1er juillet 1894, page 2 | Les Genêts | Paysages et Paysans, pages 6 à 11 | Dans la version qui sera publiée dans Paysages et Paysans, le quatrième vers de la vingt-deuxième strophe a été modifié. |
Supplément littéraire de La Lanterne du 15 juillet 1894, page 2 | Le Ravin des Coquelicots | Les Névroses, pages 231 à 233 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 29 juillet 1894, page 2 | Pitié des pâquerettes | Paysages et Paysans, pages 308 et 309 | |
La Revue hebdomadaire du 4 août 1894, pages 147 à 151 | Hélène, d’après Edgar Poe | Fin d’Œuvre, pages 205 à 209 | Cette traduction du poème « To Helen » d’Edgar Poe a été qualifiée d’interprétation car Maurice Rollinat a voulu garder la forme d’un poème avec un rythme et des rimes, quitte à s’éloigner du poème original. |
Supplément littéraire de La Lanterne du 5 août 1894, page 1 | Les Yeux morts | Les Névroses, page 331 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 9 août 1894, page 1 | Les Clochettes | Paysages et Paysans, page 108 | |
La Revue hebdomadaire du 18 août 1894, pages 451 à 457 | Le Corbeau, d’après Edgar Poe | Fin d’Œuvre, pages 179 à 188 | Cette traduction du poème « The Raven » d’Edgar Poe a été qualifiée d’interprétation car Maurice Rollinat a voulu garder la forme d’un poème avec un rythme et des rimes, quitte à s’éloigner du poème original. |
Supplément littéraire de La Lanterne du 23 août 1894, page 2 | Le Saule | Paysages et Paysans, page 37 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 2 septembre 1894, page 2 | La Prière du silence | Paysages et Paysans, page 310 | |
Le Musée Universel n° 15 du 8 septembre 1894, pages 225 et 226 | La rivière dormant (dédicacé à Jean-Charles Cazin) | Les Névroses, pages 137 à 139 | Illustré d’une gravure signée A. Barraud. |
Supplément littéraire de La Lanterne du 13 septembre 1894, page 4 | Soir de pluie | Paysages et Paysans, page 254 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 23 septembre 1894, page 2 | L’Enterrement d’une Fourmi | Les Névroses, page 234 | |
Supplément littéraire de La Lanterne du 22 novembre 1894, page 1 | Le Boudoir | Les Névroses, page 332 | |
L’Artiste de décembre 1894, page 434 | L’Atome | Les Apparitions, pages 300 et 301 | Il y a quelques différences de
ponctuation avec la version qui sera publiée dans Les Apparitions.
Ce poème est suivi d’une page en hors-texte avec un portrait de Maurice Rollinat (reproduction de la lithographie en couleurs de Ringel d’Illzach, d’après un masque en cire polychrome du même artiste). |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 621 du 19 mai 1895, pages 313 et 314 | Les Libellules | La Nature, pages 219 à 222 | |
Le Gaulois du 17 juin 1895, page 1 | L’herbe | Les Apparitions, pages 130 à 133 | Le poème est
daté de juin 1895. Dans le texte paru dans Le Gaulois, il est distingué deux parties qui ont disparu dans Les Apparitions. |
Le Gaulois du 19 juillet 1895, page 1 | Ce que dit la rivière | Les Apparitions, pages 121 à 125 | Précédé d’une courte introduction annonçant que Maurice Rollinat vient d’être promu chevalier de la Légion d’Honneur. |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 631 du 28 juillet 1895, page 57 | L’arbre mort | Les Apparitions, pages 179 et 180 | |
Le Gaulois du 20 août 1895, page 1 | La montre | Les Apparitions, pages 72 et 73 | |
Le Gaulois du 7 septembre 1895, page 1 | Le Lutin | Paysages et Paysans, pages 146 à 151 | |
Le Foyer n° 1 du 19 octobre 1895, page 5 | La Mort des Fougères | Les Névroses, page 181 | |
Putréfaction ou purification, publié par la Société pour la propagation de l’incinération (Paris, 1895, 32 pages), pages 5 à 12 |
- La Putréfaction
- L’Enterré vif (dédicacé à Edgar Branly) - Ballade du Cadavre (dédicacé à Jules de Marthold) |
Les Névroses, pages 379 à 381
Les Névroses, pages 278 à 282 Les Névroses, pages 377 et 378 |
|
Musée des Familles du 23 janvier 1896, page 63 |
- Les Libellules
- Les Chats-Huants - Ballade du vieux Baudet |
La Nature, pages 219 à 222 La Nature, pages 73 et 74 Les Névroses, pages 175 et 176 |
Il est précisé que ces poésies sont extraites du Livre de la Nature. |
Journal des débats politiques et littéraires du 2 mars 1896, page 3 | Les paysages | Les Apparitions, pages 119 et 120 | Ce poème suit l’annonce de la prochaine parution du livre Les Apparitions. |
Le Journal pour tous n° 14 du 1er avril 1896, page 3 | Pensées et impressions | Composé de huit strophes extraites de huit poèmes du livre Les Névroses : 1 = "Les Plaintes" huitième strophe (page 23) ; 2 = "Les Frissons" première partie de la quatrième strophe (page 8) ; 3 = "La Parole" première strophe (page 31) ; 4 = "Le Silence" première strophe (page 19) ; 5 = "L’Habitude" première strophe (page 40) : 6 = "Les Larmes du Monde" première strophe (page 12) ; 7 = "L’Espérance" première strophe (page 41) ; 8 = "Chanson des Amoureuses" quatre premiers vers de la troisième strophe (page 369) | |
Fin de Siècle du 5 avril 1896, page 3 | Le Mensonge | Les Névroses, page 116 | |
Le Sylphe - Supplément réservé aux écrivains non dauphinois, n° 3, avril 1896, pages 38 et 39 | Le Renouveau | La Nature, pages 32 et 33 | |
Le Journal pour tous n° 25 du 17 juin 1896, page 5 | La nature et l’art (illustré d’un dessin de Boisgard) | Les Apparitions, pages 302 à 305 | |
L’Intransigeant du 23 juin 1896, page 2 | - Le Bohémien
- Le naufrage - Effet de soleil couchant - L’angoisse - Le cheval blanc - La mort sincère |
Les Apparitions, pages 226 et 227
Les Apparitions, pages 66 et 67 Les Apparitions, pages 64 et 65 Les Apparitions, pages 27 à 29 Les Apparitions, pages 92 à 94 Les Apparitions, pages 272 et 273 |
Poèmes publiés
à l’occasion de la parution de Les Apparitions, avec une courte
présentation du livre.
Les différences entre les deux versions sont minimes. |
Le Journal pour tous n° 27 du 1er juillet 1896, page 2 | Pensées et impressions | Composé de huit strophes extraites de sept poèmes du livre Les Apparitions : 1 = "L’azur" première strophe (page 134) ; 2 = "Les choses" neuvième strophe (page 3) ; 3 = "Les paysages" première strophe (page 119) ; 4 = "Le sang" huitième strophe (page 49) ; 5 = "La montre" première strophe (page 72) ; 6 = "L’inutile" troisième strophe (page 281) ; 7 = "L’inutile" cinquième strophe (page 281) ; 8 = "L’atome" première strophe (page 300) | |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 685 du 9 août 1896, page 88 | Les Papillons blancs | Les Apparitions, pages 102 à 107 | |
Le Supplément du 15 septembre 1896 (édité par La Lanterne), page 1 | Pensées et Impressions | Composé de huit strophes extraites de huit poèmes du livre Les Névroses : 1 = "Les Plaintes" huitième strophe (page 23) ; 2 = "Les Frissons" première partie de la quatrième strophe (page 8) ; 3 = "La Parole" première strophe (page 31) ; 4 = "Le Silence" première strophe (page 19) ; 5 = "L’Habitude" première strophe (page 40) : 6 = "Les Larmes du Monde" première strophe (page 12) ; 7 = "L’Espérance" première strophe (page 41) ; 8 = "Chanson des Amoureuses" quatre premiers vers de la troisième strophe (page 369) | Ce poème est identique à celui publié dans Le Journal pour tous n° 14 du 1er avril 1896, page 3. |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 691 du 20 septembre 1896, page 184 | Les petits Fauteuils | Les Névroses, pages 220 à 222 | |
La Sylphide, n° 3 de mars 1897, page 92 | La chanson de la perdrix grise | Dans les Brandes, pages 208 et 209 | |
La Sylphide, n° 8 d’août 1897, pages 231 à 233 | A travers champs | Dans les Brandes, pages 10 à 16 | Dans le poème paru dans La Sylphide, il manque les strophes 8, 13, 15 et 20. |
La Sylphide, n° 2 de février 1898, pages 40 à 42 | La lune | Dans les Brandes, pages 17 à 21 | |
Matines, Revue mensuelle de Littérature, d’Art et de Sociologie, n° 5 de février-mars 1898, pages 280 à 282 | Les Glissoires | Paysages et Paysans, pages 40 à 44 | Paysages et Paysans est annoncé à paraître prochainement. |
Le Supplément du 19 novembre 1898 (édité par La Lanterne), page 1 | Le petit coq | Dans les Brandes, pages 175 et 176 | |
Le Temps, du 1er avril 1899, page 3 | Petit-Loup | Paysages et Paysans, page 86 | Poème illustrant l’article sur Maurice Rollinat dans la rubrique Quelques poètes contemporains. |
Cocorico du 5 avril 1899, page 57 | Petit-Loup | Paysages et Paysans, page 86 | Poème imprimé avec deux erreurs de majuscule et une faute de typographie au dernier vers ("raide" au lieu de "roide"). |
La Lecture illustrée, n° 84 du 22 avril 1899, pages 295 à 297 | La lune | Dans les Brandes, pages 17 à 21 | |
Lemouzi d’avril 1899, pages 46 à 48 | - La chèvre
- Les châtaignes - A travers champs - Le Petit Paysage |
- Dans les Brandes, pages 202 et 203
- Dans les Brandes, pages 179 et 180 - Dans les Brandes, pages 10 à 16 - La Nature, pages 242 à 245 |
|
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 826 du 23 avril 1899, page 265 | - Les Grands Linges
- Frère et Sœur |
- Paysages et Paysans, page 36
- Paysages et Paysans, page 57 |
Poèmes publiés à l’occasion de la parution de Paysages et Paysans, Maurice Rollinat dans la présentation est qualifié d’ "excellent poète". |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 835 du 25 juin 1899, page 409 | Le Jeteur d’épervier | Paysages et Paysans, pages 208 et 209 | |
Revue Illustrée du 1er septembre 1899 (les pages ne sont pas numérotées, sur Gallica le poème est sur la quatorzième vue) | L’herbe | Les Apparitions, pages 130 à 133 | Poème publié dans un encadrement signé E. Monchau. |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 845 du 3 septembre 1899, pages 153 et 154 | Les Petits Cailloux | Paysages et Paysans, pages 199 à 203 | Dans le poème paru dans Les Annales, il manque la sixième strophe. |
Revue illustrée du 1er octobre 1899, (les pages ne sont pas numérotées, sur Gallica le poème est sur la dixième vue) | Villanelle du Diable | Les Névroses, pages 323 à 325 | Poème publié
avec un encadrement d’Alfred Daguet. La version publiée dans les Névroses comportait de nombreux mots avec une majuscule alors que la version publiée ici les a mis avec une minuscule. |
Le Magasin Pittoresque du 15 octobre 1899, page 335 | - Les Petits Maraudeurs
- Le Lac et le Saule |
- Paysages et Paysans, page 230
- Paysages et Paysans, page 210 |
|
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 853 du 29 octobre 1899, page 280 | Les Deux Bouleaux | Paysages et Paysans, page 103 | |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 858 du 3 décembre 1899, page 358 | La musique de Chopin | Les Névroses, pages 53 à 55, sous le titre "Chopin" | Dans le poème paru dans Les Annales, il n’y a que douze strophes au lieu de quatorze dans la version d’origine. Il existe de petites différences entre les deux versions et une strophe a été déplacée. |
Histoire de la Langue et de la Littérature française, des origines à 1900, publiée sous la direction de L. Petit de Julleville, tome VIII Dix-neuvième siècle - Période contemporaine (1850 - 1900), Armand Colin & Cie éditeurs, Paris, 1899, page 57 | Le Goût des Larmes | Les Névroses, page 28 | Poème mis en illustration de la partie de l’article A côté du Parnasse consacrée à Maurice Rollinat. Il y a deux différences entre la version publiée dans ce livre et la version des Névroses. |
Le Supplément du 25 janvier 1900 (édité par La Lanterne), page 3 | Les conseillers municipaux | Dans les Brandes, pages 133 et 134 | |
L’Hémicycle n° 2 du 15 février 1900, page 25 | Le Roitelet | Les Bêtes, pages 169 et 170 | |
L’Hémicycle n° 6 et 7, juin-juillet 1900, page 99 | Chanson d’automne | Texte de la partition de musique | "Chanson d’automne" est composé de deux strophes du poème "Paysage d’octobre" (Les Névroses, pages 243 à 245), auxquelles a été rajouté un refrain répété une fois. |
Revue Illustrée, n° 24 du 1er décembre 1900 (deux pages non numérotées ; sur Gallica, le poème est situé aux vues 419 et 420) | Les Glissoires | Paysages et Paysans, pages 40 à 44 | Poème publié
avec en fond un dessin de H. Dillon. La Revue Illustrée n’a publié que treize strophes sur vingt (il manque les strophes 7, 8, 13, 16, 18, 19 et 20). |
Le Magasin Pittoresque du 1er Janvier 1901, page 8 | Les Petits Cailloux | Paysages et Paysans, pages 199 à 203 | Dans le poème paru dans Le Magasin Pittoresque, il manque la sixième strophe. |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 917 du 20 janvier 1901, page 43 | - La Chanson des Yeux
- La Chanson des Coquelicots |
- Les Névroses, page 87
- Les Névroses, pages 231 à 233, sous le titre "Le Ravin des Coquelicots" |
Ces deux
poèmes ainsi qu’un extrait de Ce que dit la mort, sont parus
dans une rubrique intitulée "Pages oubliées" en même temps
que trois textes de Charles Baudelaire.
Pour La Chanson des Yeux, seules les quatre premières strophes ont été reprises (sur six). |
La Sylphide, n° 1 de janvier 1901, page 13 | Le Grand Rocher | La Nature, pages 201 et 202 | |
Le Supplément du 7 février 1901 (édité par La Lanterne), page 3 | Les Glissoires | Paysages et Paysans, pages 40 à 44 | |
La Plume, n° 286 du 15 mars 1901, page 187 | Sous la reproduction du tableau « Pluie dans un ravin » de F. Maillaud, figurent trois strophes (sur dix-huit) du poème du même nom de Maurice Rollinat. | Ce poème avait été publié dans La Nature, pages 236 à 239. | |
Le Magasin Pittoresque du 15 mars 1901, page 181 | La Chanson des Yeux | Les Névroses, page 87 | |
Revue Illustrée du 15 juin 1901 (les pages ne sont pas numérotées, sur Gallica le poème est aux vingtième et vingt-et-unième vues) | L’Aigle | Les Bêtes, pages 203 à 208 | Poème publié avec une illustration comportant deux signatures : LF et VDS. |
Le Mois Littéraire et Pittoresque, n° 30 de juin 1901, page 668 | La Tristesse | Fin d’Œuvre, page 121 | Il existe de petites différences de ponctuation entre les deux versions. |
Le Magasin Pittoresque du 1er juillet 1901, page 393 | La Chanson des Coquelicots | Les Névroses, pages 231 à 233, sous le titre "Le Ravin des Coquelicots" | |
Le Progrès illustré n° 552 du 14 juillet 1901, page 2 | La Chanson des Coquelicots | Les Névroses, pages 231 à 233, sous le titre "Le Ravin des Coquelicots" | |
Le Mois Littéraire et Pittoresque, n° 35 de novembre 1901, pages 549 et 550 | - La Chenille (avec une composition de Brasilier)
- Convoitise (avec une composition de Victor Lhuer) |
- Les Bêtes, page 21
- Les Bêtes, page 75 |
- Il existe deux différences de ponctuation entre les deux versions.
- Il existe des différences de ponctuation entre les deux versions. |
Le Mois Littéraire et Pittoresque, n° 36 de décembre 1901, pages 691 à 694 | - Le Bateau des Coccinelles
- La Mère Oie - Les Goëlands - Le langage du Rêve (avec 4 compositions de Popineau) |
- Les Bêtes,
page 39
- Les Bêtes, page 193 - Les Bêtes, page 163 - (Langage du Rêve) Fin d’Œuvre, page 75 |
Pour ces quatre
poèmes, il y a des différences de ponctuation entre les deux versions.
De plus : - (Le Bateau des Coccinelles) il y a un mot de plus au troisième vers ("bon") ; - (La Mère Oie) il y a un mot différents au neuvième vers ("à" au lieu de "vers") ; - (Les Goëlands) les quatorzième, quinzième et seizième vers sont différents, le poème n’est pas découpé en strophes ; - (Le langage du Rêve) le titre a été modifié et dans le dernier vers, deux mots ont une majuscule. |
La Sylphide, n° 6 de juin 1902, page 167 | Tristesse des arbres | Dans les Brandes, pages 112 à 115 | Le poème publié dans La Sylphide, correspond aux strophes 1, 2, 4, 5, 6, 9, 12 et 13 du poème "Les arbres" paru dans Dans les Brandes. On notera également quelques différences entre les deux textes. |
Le Courrier du Centre du 18 juillet 1902, page 2 | A l’Assemblée | Paysages et Paysans, pages 195 et 196 | Dans le cadre de l’article Le concert des œuvres de Rollinat. |
Le Magasin Pittoresque du 15 septembre 1902, page 426 | Les babillardes | Dans les Brandes, pages 210 et 211 | |
Le Magasin Pittoresque du 1er décembre 1902, page 537 | Les dindons | Dans les Brandes, pages 141 et 142 | Le poème paru dans Le Magasin Pittoresque, comporte trois fautes, à la première, à la seconde et à la quatorzième lignes. |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 1016 du 14 décembre 1902, page 377 | La Vieille | La Nature, pages 323 à 325 | |
Le Magasin Pittoresque du 15 février 1903, page 91 | La cuisinière | Dans les Brandes, pages 163 et 164 | |
Revue du Berry du 15 avril 1903, page 93 | Le Soufflet | Paysages et Paysans, pages 300 et 301 | Ce poème est mis en illustration dans l’article "Un peintre : Fernand Maillaud" de Gabriel Nigond. |
Le Magasin Pittoresque du 15 juin 1903, page 279 | La lune | Dans les Brandes, pages 17 à 21 | |
La Sylphide, n° 8 d’août 1903, pages 232 et 233 | Le chemin aux merles | Dans les Brandes, pages 42 à 44 | |
Le Figaro du 28 octobre 1903, page 1 | A Charles Frémine | Fin d’Œuvre, pages 175 et 176 | Ce poème est publié suite au décès du poète et est précédé d’une courte présentation rappelant les Hydropathes et indiquant que ce poème est repris du journal L’Hydropathe, n° 14 du 25 juillet 1879. |
L’Ouest-Eclair du 29 octobre 1903, page 1 | A Charles Frémine | Fin d’Œuvre, pages 175 et 176 | Ce poème est publié à l’intérieur de l’article nécrologique de Maurice Rollinat, signé R. de V. Il est repris du journal L’Hydropathe (id. ci-dessus), mais deux vers comortent des erreurs. |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 1062 du 1er novembre 1903, page 283 | - Le Fou
- Ballade des Nuages |
- Les Névroses, page 298
- Les Névroses, pages 214 et 215 |
Poèmes précédés d’une courte introduction annonçant le décès de Maurice Rollinat. |
Gil Blas du 3 novembre 1903, page 1 | Jour de Toussaint | Poème inédit. | Précédé d’une introduction qui revient sur les causes de la mort de Maurice Rollinat. |
L’Ouest-Eclair du 6 novembre 1903, page 5 | L’Orphelin | La Nature, pages 225 à 227 | |
Le Progrès illustré n° 673 du 8 novembre 1903, page 2 | Ballade des Nuages | Les Névroses, pages 214 et 215 | |
Le Mois Littéraire et Pittoresque, n° 60 de décembre 1903, pages 752 et 753 | - De
Profondis
- L’impuissance de Dieu - Les Plaintes (avec un portrait de Maurice Rollinat) |
- Les Névroses, page 391
- Les Névroses, page 59 - Les Névroses, page 22 |
- La
version d’origine comporte un point d’exclamation à la fin du titre.
- Les mots "enfer" et "archange" ont une majuscule dans la version d’origine, plus quelques différences de ponctuation. - Les huitièmes et treizième strophes n’ont pas été reprises, plus quelques différences de ponctuation, le "la" du dix-neuvième vers n’est pas en italique, et "hélas" de l’avant-dernière strophe n’a pas sa majuscule. |
Numéro spécial de La Revue du Berry consacré à Maurice Rollinat, daté de mars 1904, pages 115 à 121 | - L’Aigle - Le Sphinx - Langage du Rêve (manuscrit) - Le Ramasseur de bouts de cigares (manuscrit) |
- Les Bêtes, pages 203 à 208 - Les Bêtes, pages 17 à 20 - Fin d’Œuvre, pages 75 et 76 - Fin d’Œuvre, pages 137 à 142 |
Le poème "Le ramasseur de bouts de cigares" ne comporte ici que six strophes, alors que la version publiée dans Fin d’Œuvre en contient vingt. |
Le Magasin Pittoresque du 1er mai 1905, page 203 | Le Rebouteux | Dans les Brandes, pages 242 et 243 | |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 1208 du 19 août 1906, page 125 | La Canicule | La Nature, pages 19 à 24 | |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 1216 du 14 octobre 1906, page 251 | - Ballade de la
petite Rose et du petit Bluet
- L’Étoile du Fou - Edgar Poe - Les petits Souliers |
- Les Névroses, pages 178 et 179
- Les Névroses, page 60 - Les Névroses, page 56 - Les Névroses, page 43 |
Poèmes publiés
à l’occasion de la prochaine inauguration du monument à Maurice
Rollinat par Auguste Rodin à Fresselines.
Pour la Ballade de la petite Rose et du petit Bluet, il manque l’ENVOI. |
Ma Revue, n° 13 du 26 mai 1907, page 7 | Les Serpents | Les Névroses, pages 194 à 197 | Dans Ma Revue, ne sont reprises que les strophes 7 à 17 (sur 18 au total). |
Annales Africaines (Alger), n° 44 du 31 octobre 1908, page 602 (dixième du numéro) | Le Piano | Les Névroses, page 51 | |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 1340 du 28 février 1909, page 218 | Les Glissoires | Paysages et Paysans, pages 40 à 44 | Dans le poème paru dans Les Annales, il n’y a que treize strophes au lieu de vingt dans la version d’origine. Les strophes n° 7, 8, 13, 16, 18, 19 et 20, ne sont pas reprises. |
Annales Africaines (Alger), n° 14 du 3 avril 1909, page 214 (sixième du numéro) | Fuyons Paris (7 strophes sur 24) | Dans les Brandes, pages 3 à 9 | Ont été publiées les strophes 4 à 10 incluses. |
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 1489 du 7 janvier 1912, page 15 | Souvenir de la Creuse | Les Névroses, pages 235 et 236 | Poème publié en complément d’un texte de George Sand sur Gargilesse. |
Annales Africaines (Alger), n° 33 du 17 août 1912, page 487 (neuvième du numéro) | Le Somnambule | Les Névroses, page 268 | |
Annales Africaines (Alger), n° 47 du 23 novembre 1912, page 656 (dixième du numéro) | La Blanchisseuse du Paradis | Les Névroses, page 47 | |
Le Figaro du 23 décembre 1913, page 1 | La Joconde | Les Névroses, page 315 | Poème envoyé par un lecteur avec un commentaire. |
Chanteclair n° 14 de mars 1914, page 6 | La lune | Dans les Brandes, pages 17 à 21 | Dans Chanteclair, ne sont reprises que 6 strophes sur 9 (manquent les strophes n° 2, 8 et 9). |
Le Centre artistique et littéraire d’avril 1920, page 80 | Souvenir de la Creuse | Les Névroses, pages 235 et 236 | |
La Vie algérienne tunisienne et marocaine, n° 2 du 12 octobre 1924, page 7 | - Le Magasin des
Suicides
- La Chair - Vierge damnée |
- Les
Névroses, page 114
- Les Névroses, page 80 - Les Névroses, page 90 |
|
Annales Africaines (Alger), n° 3 du 16 janvier 1925, page 43 (onzième du numéro) | Le Monstre | Les Névroses, page 296 | |
Les petits bonshommes n° 4 du 22 janvier 1925 | - page 4 : La petite Souris
- page 11 : Le Minet |
Les Névroses, page 169
Les Névroses, page 168 |
|
Almanach des coopérateurs (édité par la société coopérative L’Union de Limoges), année 1926, page 93 | L’Enterrement d’une Fourmi | Les Névroses, page 234 | |
Almanach des coopérateurs (édité par la société coopérative L’Union de Limoges), année 1928, page 59 | Sous la pluie (titre commun à un poème de Maurice Rollinat et à un poème de Jean Richepin) | La Nature, page 236 | Le texte de Maurice Rollinat correspond aux trois premières strophes (sur dix-huit) du poème "Pluie dans un Ravin". |
Le Figaro du 1er février 1930, page 6 | - La Bohémienne
- Louise |
Poèmes inédits datés de juin et mai 1866 | Dans le cadre d’un article signé Jacques Patin et intitulé La jeunesse fiévreuse de Rollinat (1ère partie). |
Le Figaro du 15 février 1930, page 6 | Une nuit | Poème inédit daté de décembre 1864 | Dans le cadre d’un article signé Jacques Patin et intitulé La jeunesse fiévreuse de Rollinat (3ème partie). |
Les Nouvelles littéraires, artistiques et scientifiques du 20 janvier 1934, page 10 | - L’Allée de Peupliers (strophes 4, 5, 6, 7 et 15)
- La Mort des Fougères - Les corbeaux - Le cimetière - Rondeau du Guillotiné - Memento quia pulvis es |
- Les Névroses, pages 130 à 132
- Les Névroses, page 181 - Dans les Brandes, pages 236 et 237 - Dans les Brandes, pages 240 et 241 - Les Névroses, page 385 - Les Névroses, pages V et VI |
Poèmes mis en illustration de l’article Maurice Rollinat d’Alexandre Xévaès. |
L’Écolier limousin n° 26 d’avril-mai-juin 1943, page 6 | L’enterrement d’une fourmi | Les Névroses, page 234 | Poème illustré d’un dessin signé AA. |
Le Littéraire du 28 décembre 1946, page 2 | L’Ange gardien | Les Névroses, page 21 | En illustration de l’article Un centenaire -Maurice Rollinat mondain et rustique signé P.D. |
Poème de Maurice Rollinat illustré (non cité ci-dessus) |
Dans le tome 5 de la Collection Jaquet (image 174), nous trouvons le poème Le Lait de Serpent de Maurice Rollinat illustré par Boichard (l’origine n’est pas précisée).
Partitions de musique de Maurice Rollinat parues dans des journaux ou des revues |
Dans Le Figaro du 16 mai 1883, page 8, nous trouvons la partition de « La Mort des Fougères », poésie et musique de Maurice Rollinat.
Dans la Revue Illustrée n° 150 du 1er mars 1892, pages 192 à 194, à la suite de l’article intitulé Maurice Rollinat d’Armand Dayot, figure la partition de « Le Champ de Colzas ».
Dans le numéro spécial de La Revue du Berry consacré à Maurice Rollinat et daté de mars 1904 : Prélude pour piano (partition manuscrite et qualifiée d’inédite), 2 pages.
Correspondance de Maurice Rollinat |
Dans la collection d’autographes de Félix et Paul Nadar, détenue par le Département des manuscrits de la BnF, au sein du volume allant de Renan à Rysserlberghe, figure une lettre de Maurice Rollinat à Félix Nadar, datée du 31 mars 1883, le remerciant pour la qualité des photos faites de lui. (Lire cette lettre.)
Georges Docquois a publié Bêtes et Gens de Lettres (Ernest Flammarion éditeur, Paris, 1895, 319 pages) dans lequel il raconte nombre d’anecdotes sur les animaux familiers d’auteurs connus. En appendice, page 295, il publie la lettre de Maurice Rollinat datée du 9 décembre 1891, expliquant pourquoi il ne peut pas participer au livre. (Lire cette lettre.)
Dans le numéro spécial de La Revue du Berry consacré à Maurice Rollinat et daté de mars 1904, page 144, nous trouvons le fac-similé de la lettre adressée en août 1902 par Maurice Rollinat à Paul Mellottée, directeur de La Revue du Berry, lui envoyant le poème "L’aigle". (Lire cette lettre.)
Dans The letters of Oscar Wilde edited by Rupert Hart-Davis (Harcourt, Brace & World, Inc., New York, 1962, 958 pages, en anglais), page 145, nous pouvons lire la lettre envoyée par Oscar Wilde à Maurice Rollinat, datée d’avril 1883 (en français). Le poème La Vache au Taureau est qualifié de chef-d’œuvre. (Lire cette lettre.)
Distinction reçue par Maurice Rollinat |
Maurice Rollinat a été nommé chevalier de la Légion d’honneur par décret en date du 16 juillet 1895, rendu sur la proposition du ministre de l’instruction publique, des beaux-arts et des cultes, paru au Journal officiel du 19 juillet 1895, pages 4096 et 4097.
Son dossier peut être consulté sur la base de données Léonore (Légion d’honneur). Il comprend dix pièces : - la page de garde du dossier qui porte le numéro 51,510 ; - la lettre de Maurice Rollinat datée d’août 1895 (reçue le 22 août) expédiant les documents demandés et désignant M. Armand Dayot, Inspecteur des Beaux-arts, pour lui remettre la décoration ; - une feuille manuscrite du Cabinet du Grand Chancelier mentionnant les dates de naissance, de décès et de remise de la décoration ; - la lettre d’Armand Dayot du 28 mars 1896 faisant parvenir le procès-verbal de remise de la décoration ; - le récépissé de réception de la décoration signé par Maurice Rollinat et daté du 10 mars 1896 ; - le récépissé de réception du brevet de chevalier signé par Maurice Rollinat et daté du 25 novembre 1895 ; - le procès-verbal de remise de la Légion d’honneur daté du 10 avril 1896, par Armand Dayot [remarque : il s’agit plus vraisemblablement du 10 mars car ce document à été envoyé à la chancellerie le 28 mars] ; - l’extrait du registre des actes de décès établi par la Mairie d’Ivry ; - un récépissé de versement de 37 francs correspondant au prix de la décoration et à l’expédition du brevet ; - l’extrait du registre des actes de naissances établi par la Ville de Châteauroux.
Articles consacrés à Maurice Rollinat (ou parlant de Maurice Rollinat) parus dans des journaux ou des revues |
(NB : Dans cette liste, n’ont pas été retenus les articles où Maurice Rollinat était simplement cité, par exemple dans des articles consacrés aux Hydropathes ou au Chat-Noir.)
Le Siècle littéraire n° 9 du 1er février 1876, publie pages 182 à 190, un article intitulé Les figures du Parnasse contemporain (non signé). Maurice Rollinat est cité pages 188 et 189, mais les quatre lignes de commentaires sont négatives. (Lire le paragraphe concernant Maurice Rollinat.)
Dans Le Courrier littéraire n° 5 du 10 mai 1877, pages 198 à 205, T. Colani, après l’annonce de la parution de Dans les Brandes, procède à une analyse de la poésie de Maurice Rollinat et termine son article de manière très élogieuse. À notre connaissance, il s’agit du premier article consacré à Maurice Rollinat.. (Lire cet article.)
Le journal L’Hydropathe puis Les Hydropathes et ensuite Tout Paris (numéros 1 de janvier 1879 à 13 de juin 1880) est en ligne. La couverture du numéro 8 du 5 mai 1879 est consacrée à une caricature de Maurice Rollinat et en deuxième page figurent un portrait de « L’Hydropathe Rollinat » par Émile Goudeau, un poème « Le rire, aux pleurs » de Cabriol (pseudonyme utilisé par Georges Lorin) dédicacé à Maurice Rollinat et une présentation de la musique de Maurice Rollinat par Léo Goudeau. (Lire ces articles.)
Félicien Champsaur dans son article intitulé Le quartier latin paru dans Le Figaro du 8 octobre 1879, pages 3 et 4, décrit ce quartier de Paris et particulièrement l’ambiance du Club des Hydropathes avec en autres une présentation de Maurice Rollinat. (Lire cet article.)
Dans un article intitulé Rollinat – Un poète à l’horizon ! paru dans le n° 17 de Lyon-Revue de novembre 1881 (pages 629 à 635), Jules Barbey d’Aurevilly dresse un portrait de Maurice Rollinat et établit des comparaisons avec Baudelaire et Edgar Poe. Cet article sera publié à nouveau dans Le Constitutionnel du 2 juin 1882, page 3, et dans Le Parnasse du 15 juin 1882, pages 4 à 6. L’auteur reprendra avec de légères modifications cet article pour constituer les points I à III (pages 321 à 331) de la partie consacrée à Maurice Rollinat dans son livre Les Œuvres et les Hommes - Les Poètes (Alphonse Lemerre éditeur, Paris, 1889, 361 pages). (Lire l’article paru dans Le Constitutionnel.)
Dans son article Ces Poètes ! paru dans Le Voltaire du 29 mars 1882, pages 1 et 2, Gustave Vautrey consacre un paragraphe à Maurice Rollinat. (Lire cet article.)
Gustave Guiches dans Portraits parisiens publiés dans Le Feu Follet n° 23 d’avril 1882, pages 399 à 402, consacre la deuxième partie de son article à Maurice Rollinat. Il analyse sa poésie (Dans les Brandes) et indique que "L’œuvre de M. Maurice Rollinat est bien l’expression des tendances modernes". (Lire la deuxième partie de l’article consacrée à Maurice Rollinat.)
Fernand Crésy (nom de plume de Fernand Icres) signe dans Le Réveil du 31 mai 1882, pages 2 et 3, un long article intitulé tout simplement Musique, consacré à Maurice Rollinat. Il présente les partitions de musique éditées chez Hartmann et la manière dont Maurice Rollinat interprète ses chansons. Il termine en indiquant que Mlle Ducasse et Boudouresque ont récemment chanté des mélodies de Maurice Rollinat. (Lire cet article.)
Dans Le Constitutionnel du 2 juin 1882, page 3, nous trouvons l’article de Jules Barbey d’Aurevilly intitulé Un poëte à l’horizon ! déjà paru dans le n° 17 de Lyon-Revue de novembre 1881 (pages 629 à 635). Le texte est identique sauf de petites différences en particulier de ponctuation. Le III de cet article sera repris dans Le Chat Noir n° 22 du 10 juin 1882, pages 2 et 3. (Lire cet article.)
Dans le Gil Blas du 4 juin 1882, page 3 rubrique Journaux et revues, figure un long commentaire signé Jean Ciseaux, de l’article Un poëte à l’horizon de Jules Barbey d’Aurevilly qui vient de paraître dans Le Constitutionnel. L’article parle plus de Charles Baudelaire, d’Edgar Poe et de la poésie en général que de Maurice Rollinat. (Lire la partie de cette rubrique consacrée à Maurice Rollinat.)
Le Progrès libéral (Toulouse) du 5 juin 1882, page 2, reprend une partie de l’article de Jules Barbey d’Aurevilly intitulé Un poëte à l’horizon !, paru dans Le Constitutionnel daté du 2 juin 1882, page 3. (Lire cet article.)
Le Chat Noir n° 22 du 10 juin 1882, reprend pages 2 et 3, le III de l’article de Jules Barbey d’Aurevilly intitulé Un poëte à l’horizon !, paru dans Le Constitutionnel daté du 2 juin 1882, page 3.
Dans Le Parnasse du 15 juin 1882, pages 4 à 6, nous pouvons lire à nouveau l’article de Jules Barbey d’Aurevilly intitulé Un poète à l’horizon !, déjà paru dans le n° 17 de Lyon-Revue de novembre 1881 (pages 629 à 635), et dans Le Constitutionnel daté du 2 juin 1882, page 3. Cette version est quasi-identique à celle de Lyon-Revue.
Dans Le Chat Noir n° 30 du 5 août 1882, pages 2 et 4, Léon Bloy présente le livre Les Gens de Georges Lorin dédié à Maurice Rollinat. Il parle presque exclusivement de Maurice Rollinat et très peu du livre. (Lire cet article.)
Léon Bloy signe un article intitulé Maurice Rollinat publié en trois parties dans Le Chat Noir n° 34 du 2 septembre 1882, page 2, n° 35 du 9 septembre 1882, page 2, et n° 36 du 16 septembre 1882, page 2. Léon Bloy connaissait bien Maurice Rollinat, mais cet article qui se veut un éloge du poète, comporte de nombreuses expressions parfois difficiles à comprendre. Ces trois textes, légèrement modifiés, vont constituer le début d’un article beaucoup plus long qui sera publié en trois parties dans Le Foyer illustré des 17 septembre, 24 septembre et 1er octobre 1882. (Lire ces articles.)
Dans l’édition du 6 novembre 1882 de Le Gaulois, parait en page 1, un article intitulé Une Célébrité de demain et signé "TOUT-PARIS" ; il est très élogieux. Après une présentation de Maurice Rollinat et de sa vie à Paris, on trouve une description de ses premières publications, puis l’article se termine par la soirée de la veille chez Sarah Bernhardt. ("TOUT-PARIS" est le pseudonyme de Charles Buet qui reprendra cet article dans son livre Médaillons et camées pages 275 à 278) (Lire cet article.)
Dans Le Figaro du jeudi 9 novembre 1882, page 1, Albert Wolff dans un article intitulé Courrier de Paris, raconte sa première rencontre avec Maurice Rollinat chez Sarah Bernhardt le 5 novembre 1882, et les débuts du poète à Paris. Cet article rendra célèbre Maurice Rollinat. Il constituera la dernière partie du livre Mémoires d’un Parisien - La Gloire à Paris d’Albert Wolff (Victor-Havard éditeur, Paris, 1886, 334 pages), pages 324 à 332. (Lire cet article.)
Dans L’Évènement du 17 novembre 1882, page 1, nous pouvons lire un article très intéressant intitulé Un poète - Maurice Rollinat signé Zanetto (pseudonyme, vraisemblablement un ami de Maurice Rollinat) ; l’auteur nous apporte son témoignage et nous donne ses impressions sur toute la période parisienne du poète. (Lire cet article.)
Les deux-tiers du n° 45 du Chat Noir du 18 novembre 1882, sont consacrés à Maurice Rollinat avec le poème Les Serpents, les articles Maurice Rollinat d’Émile Goudeau, La musique de Rollinat - Simple note de Léo Montançay, pseudonyme utilisé par Léo Goudeau, (ces deux articles sont des reprises de ceux publiés dans Les Hydropathes n° 8 du 5 mai 1879), l’article Courrier de Paris d’Edmond Deschaumes qui parle de Sarah Bernhardt et à la fin duquel il remercie la comédienne d’avoir mis à l’honneur Maurice Rollinat, et page 3 le portrait de Maurice Rollinat par Uzès (pseudonyme utilisé par Achille Lemot). (Lire l’article Courrier de Paris d’Edmond Deschaumes.)
Dans Panurge n° 8 du 19 novembre 1882, pages 1 et 2 figure l’article Notes sur la vie : Maurice Rollinat signé Harry Alis (pseudonyme utilisé par Jules-Hippolyte Percher). Suite à l’article d’Albert Wolff paru dans Le Figaro du 9 novembre, l’auteur évoque Maurice Rollinat au Quartier Latin et aux Hydropathes, mais on sent poindre de la jalousie en particulier lorsqu’il le compare à Émile Goudeau. (Lire cet article.)
Dans Le Figaro du 21 novembre 1882, page 1, un article intitulé Maurice Rollinat au Figaro, décrit une soirée organisée à l’intention des collaborateurs du journal, qui ont été émerveillés par Maurice Rollinat. (Lire cet article.)
La Chronique d’Henry Fouquier parue dans Le XIXe siècle du 23 novembre 1882, page 2, est consacrée à Maurice Rollinat ; en prenant son exemple l’auteur de l’article regrette que des journalistes fassent la promotion de poètes qui n’ont pas encore publié leurs vers. (Lire cet article.)
Dans Le Temps du 24 novembre 1882, page 3, dans la première partie de sa rubrique La vie à Paris, Jules Claretie signe une attaque au vitriol contre Sarah Bernhardt, son nouveau protégé Maurice Rollinat et toute la littérature macabre et "technologique". (Lire la partie de l’article consacrée à Maurice Rollinat.)
Dans La Justice du 25 novembre 1882, page 1, Gustave Geffroy consacre sa Chronique intitulée Boniments, à Maurice Rollinat. Il y dénonce notamment les journaux qui jugent le poète sans le connaître et en final, il incite Maurice Rollinat à publier son livre Les Névroses le plus rapidement possible. (Lire cet article.)
Dans Le Voltaire du 25 novembre 1882, page 1, Guillaume Livet signe un long article intitulé Rollinat. L’auteur a bien connu Maurice Rollinat mais malheureusement, il ne retient que le côté macabre du poète. (Lire cet article.)
Dans la Revue de la presse du journal La Presse du 26 novembre 1882, page 3, il est fait écho de l’article de Jules Claretie paru dans Le Temps du 24 novembre (voir ci-dessus) et un court extrait est cité.
Le début de l’article Les poètes signé Thomas Grimm et paru dans Le Petit Journal du 26 novembre 1882, page 1, est consacré à Maurice Rollinat. La moitié du texte est la reprise d’un article paru dans Le Voltaire. L’auteur se montre assez critique par rapport à la nouvelle notoriété du poète. (Thomas Grimm est un pseudonyme utilisé au sein du journal, souvent par M. Henri Escoffier rédacteur en chef.) (Lire la première partie de l’article concernant Maurice Rollinat.)
La deuxième partie de la Lettre parisienne de Marcel Fouquier parue dans Le Progrès libéral (Toulouse) du 26 novembre 1882, page 1, est consacrée à Maurice Rollinat. L’auteur évoque en particulier la réception de Maurice Rollinat dans les locaux du Figaro. (Lire la partie concernant Maurice Rollinat.)
Dans Le Petit Parisien du 27 novembre 1882, page 1, le début de l’article Les faux désespérés de Jean Frollo, est consacré à Maurice Rollinat suite à sa prestation chez Sarah Bernhardt. L’auteur attribue le poème "Les Corbeaux" sur lequel il appuie son argumentation à Maurice Rollinat, alors que ce dernier n’est que le traducteur du poème d’Edgar Poe. (Lire cet article.)
Dans le Gil Blas du 27 novembre 1882, page 1, nous pouvons lire un article intitulé Ulric Poitrinas et signé Chose et Machin. Cet article a l’aspect de la présentation d’un jeune poète nommé Ulric Poitrinas avec des comparaisons avec Maurice Rollinat, mais il ressemble fort à un pastiche de l’article d’Albert Wolff paru dans Le Figaro du 9 novembre 1882. "Chose et Machin" est un des pseudonymes utilisés par Abraham Dreyfus qualifié d’auteur dramatique et d’écrivain fantaisiste (cf. Dictionnaire des pseudonymes page 315, de Georges D’Heylli, Dentu et Cie éditeurs, Paris, 1887, 561 pages.) (Lire cet article.)
Dans Les Voix de la Patrie - Organe bi-mensuel de L’Académie poétique de France, n° 94 du 30 novembre 1882, la "Chronique parisienne" de Joséphin Péladan, pages 253 et 254, est consacrée à Maurice Rollinat. L’auteur raconte en particulier sa première rencontre avec Maurice Rollinat chez Charles Buet et l’effet produit sur les participants de la manière de déclamer du poète, alors au faîte de sa gloire. (Lire cet article.)
Dans le Beaumarchais du 3 décembre 1882, page 2, dans sa rubrique A travers la semaine, à la date du jeudi, Charles Gérard évoque la soirée chez Sarah Bernhardt consacrée à Maurice Rollinat et l’article du Figaro ; sur un ton humoristique, il prend la défense de Maurice Rollinat malmené par un article de Victor Meunier paru dans la Bataille. (Lire la partie de l’article consacrée à Maurice Rollinat.)
Dans Paris du 4 décembre 1882, pages 1 et 2, Albert Delpit consacre le début des Notes sur Paris à Maurice Rollint ; il présente l’homme et ses poèmes de manière élogieuse. (Lire le début de l’article consacré à Maurice Rollinat.)
Dans Le Matin (journal républicain indépendant) du 4 décembre 1882, page 3, rubrique Bibliographie, dans la présentation du livre Le Briou de Pierre Elzéar, il est indiqué que le roman est précédé d’une lettre à Maurice Rollinat en partie reproduite. Le texte est très négatif, voire agressif ; l’auteur apparemment déteste « ce grand courant du naturalisme » dont on parle. (Lire cet article.)
Francis Enne, dans un article intitulé Chez Krysinska, paru dans Le Réveil du 7 décembre 1882, page 1, raconte une soirée chez Marie Krysinska au cours de laquelle Maurice Rollinat a interprété ses poèmes. (Lire cet article.)
La deuxième partie de la Lettre parisienne de Marcel Fouquier parue dans Le Progrès libéral (Toulouse) du 8 décembre 1882, page 1, est consacrée à Maurice Rollinat. L’auteur déclare avoir « vu récemment le poète Rollinat », ce qui permet de connaître l’état d’esprit de celui-ci à cette période. (Lire la partie concernant Maurice Rollinat.)
Dans un article intitulé Ni cet excès d’honneur, ni, etc., paru dans Le Rappel du 12 décembre 1882, page 3, Charles Frémine prend la défense de Maurice Rollinat lorsque celui-ci est attaqué dans la presse, et raconte comment il l’a connu. Cet article nous donne un rare témoignage sur les débuts du poète-musicien à Paris. (Lire cet article.)
Dans son article Les Hommes du jour - Maurice Rollinat, paru dans La Revue critique n° 48 du 17 décembre 1882, page 384, Léo d’Orfer (pseudonyme utilisé par Marius Pouget) revient sur l’article d’Albert Wolff consacré à Maurice Rollinat et puis rapporte une conversation avec Léon Cladel à propos de Maurice Rollinat. (Lire cet article.)
Dans son article Le mouvement parisien paru dans Le Phare de la Loire du 25 décembre 1882, pages 1 et 2, Léon Séché raconte une soirée chez Paul Eudel où il a entendu Maurice Rollinat chanter et il donne ses impressions. (Lire la partie de l’article concernant Maurice Rollinat.)
Dans un article intitulé tout simplement Maurice Rollinat, paru dans le numéro du 1er janvier 1883 de La Revue Libérale (pages 160 à 167), Georges Gourdon présente Maurice Rollinat en particulier au travers de ses rencontres à partir de 1879, puis analyse sa poésie. (Lire cet article.)
Le 15 janvier 1883, Marcel Fouquier, journaliste et ami de Maurice Rollinat (ne pas confondre avec Marcel Fouquier, 1866-1961, fils d’Henry Fouquier) a fait une conférence sur Les Névroses de Maurice Rollinat, salle du boulevard des Capucines. Celle-ci a été annoncée dans de nombreux journaux, par exemple dans Le Siècle du 14 janvier 1883, page 3, rubrique « Réunions. – Convocations. », Le Gaulois du 15 janvier 1883, page 4, rubrique « Échos des théâtres », La France du 15 janvier 1883, page 3, rubrique « Faits divers », L’Indépendance française du 15 janvier 1883, page 4, rubrique « Courrier des théâtres », ou encore La Patrie du 16 janvier 1883, page 3, rubrique « Faits divers – Petites nouvelles ». Des compte rendus ont été publiés dans Gil Blas du 17 janvier 1883, page 2, rubrique « Les faits du jour » signée Pierre Ferrare, Le XIXe Siècle du 17 janvier 1883, page 4, rubrique « Courrier des théâtres », L’Indépendance française du 18 janvier 1883, page 4, rubrique « Courrier des théâtres » signée Fernand Samuel, où on peut lire : « Le jeune littérateur s’est efforcé de démontrer que le talent de Rollinat n’a rien de macabre, et que, si parfois il aborde le genre fantastique, il fait son ordinaire des inspirations douces et champêtres. », L’Événement du 18 janvier 1883, page 3, rubrique « Echos de Paris », Le Réveil du 19 janvier 1883, page 3, rubrique « Courrier des théâtres », où l’auteur écrit : « Le public a surtout applaudi les poésies champêtres de Rollinat pleines de sentiment, de délicatesse et de fraîcheur. En somme, très agréable soirée. », ou encore Le Courrier du soir du 20 janvier 1883, page 1, au sein de la « Chronique » signée « Mallat » (Mallat de Bassilan) (voir ci-dessous).
Dans Le Courrier du soir du 20 janvier 1883, page 1, dans sa « Chronique », Mallat de Bassilan explique que Maurice Rollinat n’est pas aussi macabre que sa réputation et qu’il ne faut pas oublier son côté nature. (Lire cet article). Cet article est paru à l’identique dans L’Opinion nationale du 20 janvier 1883, page 1.
Dans Paris du 23 janvier 1883, page 3, Albert Delpit consacre le début de ses Notes sur Paris à Maurice Rollinat et au Chat Noir ; nous avons là un intéressant témoignage sur l’ambiance de cette époque. (Lire le début de l’article consacré à Maurice Rollinat et au Chat noir.)
Gustave Guiches dans un article consacré à Charles Buet et publié dans Le Feu Follet n° 32 de janvier 1883, pages 281 à 286, cite Maurice Rollinat sept fois. Les évènements racontés dans cet article permettent de mieux comprendre comment Maurice Rollinat est devenu célèbre. (Lire cet article.)
Dans le n° 49 (janvier 1883) de la Bibliothèque universelle et revue suisse, rubrique Chronique parisienne, pages 135 et 136, le commentateur sous le titre Une résurrection : M. Rollinat, raconte de manière ironique comment les journaux parisiens ont "lancé" Maurice Rollinat. (Lire cet article.)
Dans sa Chronique littéraire publiée dans la Revue littéraire, bulletin de bibliographie (Supplément littéraire mensuel au journal l’Univers), parue le 31 janvier 1883, page 8, Louis de Saint-Leu commente de manière très négative la poésie de Maurice Rollinat et l’article sur celui-ci d’Albert Wolff paru dans Le Figaro du jeudi 9 novembre 1882, et donne en exemple le poème La Morte embaumée. (Lire cet article.)
Le premier couplet de La Marseillaise des Chats Noirs est consacré à Maurice Rollinat. Cette chanson est publiée dans Le Chat Noir n° 56 du 3 février 1883, page 16 (quatrième du numéro). (Lire le texte de cette chanson.)
À l’occasion de la parution du livre Les Névroses, Marcel Fouquier consacre la majeure partie de sa Lettre parisienne parue dans Le Progrès libéral (Toulouse) du 21 février 1883, page 1, à Maurice Rollinat. Il veut combattre l’idée du poète macabre pour mettre en valeur son amour de la nature. (Lire la partie concernant Maurice Rollinat.)
Dans le Gil Blas du 24 février 1883, page 1, dans l’article Courrier de Paris signé Santillane, Maurice Rollinat est cité trois fois suite au succès de librairie de son livre Les Névroses récemment paru. "Santillane" est un des pseudonymes utilisés par le journaliste Gérard (cf. Dictionnaire des pseudonymes page 33, de Georges D’Heylli, Dentu et Cie éditeurs, Paris, 1887, 561 pages). (Lire les trois paragraphes où Maurice Rollinat est cité.)
Dans La Jeune France du 1er mars 1883, pages 671 à 677, figure un article de Maurice Barrès intitulé Les Hommes de La Jeune France - Maurice Rollinat. L’auteur âgé de vingt ans, commence son article par une description de Maurice Rollinat disant et chantant ses poèmes, puis viennent des généralités et une présentation des Névroses avec des commentaires de plus en plus négatifs (Maurice Barrès réutilisera avec de légères modifications, les chapitres III, IV et début du V de ce texte, pour écrire les pages consacrées à l’analyse de la poésie de Maurice Rollinat dans son article La folie de Charles Baudelaire, seconde partie, paru dans le n° 2 du 5 décembre 1884 de sa gazette intitulée Les Taches d’Encre, pages 21 à 43 ; la poésie de Maurice Rollinat est analysée pages 32 à 36). (Lire l’article paru dans La Jeune France.)
Dans la deuxième partie de Lettres parisiennes parues dans Le Phare de la Loire du 2 mars 1883, page 2, Spiridion (pseudonyme utilisé par Frantz Jourdain) met en valeur les qualités de poète et de musicien de Maurice Rollinat. (Lire la partie concernant Maurice Rollinat.)
Dans L’Impartial du 2 mai 1883, page 1, Marie Krysinska signe un article « Silhouettes – Maurice Rollinat ». Il s’agit du témoignage d’une admiratrice enthousiaste où l’auteur met en valeur le côté nature de Maurice Rollinat, et sa manière d’interpréter ses œuvres et sa musique. (Lire cet article.)
Dans Le Gaulois du 26 mai 1883, en page 1, Robert Estienne signe un article intitulé Des roses ! Des roses !, qui est très critique sur le côté macabre de Maurice Rollinat. "Robert Estienne" est un des pseudonymes utilisés par Robert de Bonnières qui publiera cet article avec de faibles modifications et en rajoutant deux poèmes, dans ses Mémoires d’aujourd’hui - Deuxième série (Paul Ollendorff éditeur, Paris, 1885, 346 pages), pages 249 à 259. (Lire cet article.)
Dans Le Phare de la Loire du 14 novembre 1883, Spiridion (pseudonyme utilisé par Frantz Jourdain) consacre une partie de sa Lettre Parisienne à l’annonce du départ de Maurice Rollinat pour le Berry. (Lire la partie de l’article concernant Maurice Rollinat.)
Au cours du premier semestre 1883 (numéro non précisé dans l’édition en ligne sur Gallica), Les Matinées espagnoles - Nouvelle revue internationale européenne, publient un article intitulé Un poëte naturaliste de Julien des Charmettes (pages 423 à 427), consacré à Maurice Rollinat. L’auteur analyse en particulier Les Névroses et visiblement n’aime pas les côtés macabre et érotique du poète. La fin de l’article est une généralisation avec un plaidoyer contre le naturalisme en littérature. (Lire cet article.)
Dans le numéro d’avril 1884 de L’Artiste, pages 266 à 270, nous pouvons lire un article intitulé Un poète de la décadence latine - Maurice Rollinat, signé A. Nebo. L’auteur défend le côté macabre du poète et analyse son livre Les Névroses. À la fin du numéro d’avril, nous trouvons un portrait de Maurice Rollinat par Ed. Marty qui est peu connu. A. Nebo est un pseudonyme employé par Joséphin Péladan qui réutilise ici une partie de son article Chronique parisienne, paru dans Les Voix de la Patrie , n° 94 du 30 novembre 1882, pages 253 et 254. (Lire cet article.)
Dans le n° 1 daté du 5 novembre 1884, de sa gazette intitulée Les Taches d’Encre, Maurice Barrès publie pages 2 à 22, la première partie de son article La folie de Charles Baudelaire, où Maurice Rollinat est cité parmi les poètes qualifiés de "sataniques" (page 6). La seconde partie est parue dans le n° 2 du 5 décembre 1884, pages 21 à 43 ; la poésie de Maurice Rollinat est analysée pages 32 à 36, si le poète est d’abord qualifié de "rustique", les commentaires deviennent de plus en plus négatifs pour se terminer par le mot "délire" (cette partie est la reprise avec de légères modifications des chapitres III, IV et début du V de l’article Les Hommes de La Jeune France - Maurice Rollinat, paru dans La Jeune France du 1er mars 1883, pages 671 à 677) ; Maurice Rollinat est également cité pages 24 et 38.
Dans Le Feu Follet n° 72 du 1er décembre 1884, page 265 à 269, nous trouvons un article intitulé L’album d’un fantaisiste signé SALTABADIL. Celui-ci en attendant Charles Buet à son domicile, a vu son livre d’or et en a recopié une partie ; on trouve en particulier un quatrain de Maurice Rollinat sur Léon Bloy suivi de la remarque de Léon Bloy (page 268). Le début de l’article est une description du bureau de Charles Buet. (Lire cet article.)
Dans La Presse du 22 mai 1885, la rubrique La jeune littérature d’Émile Goudeau page 1, est consacrée à Maurice Rollinat. L’auteur relate comment il a connu Maurice Rollinat, puis il le décrit et raconte quelques anecdotes des débuts du poète à Paris ; il termine son article par une soirée dans l’appartement de Maurice Rollinat. Ce texte sera repris dans Dix ans de bohème (La librairie illustrée, Paris, 1888, 286 pages), pages 77 à 83. (Lire cet article.)
Alphonse Ponroy a publié un article intitulé Maurice Rollinat - L’Homme et l’Artiste, dans L’Hirondelle (Revue littéraire, pédagogique et artistique - Organe hebdomadaire de l’Académie de l’Ouest), n° 44 du 31 octobre 1885, pages 345 et 346, et n° 45 du 7 novembre 1885, pages 354 et 355. Alphonse Ponroy a très bien connu Maurice Rollinat, il était instituteur à Chantôme, c’est lui qui lui a trouvé la maison de Puy-Guillon et l’a aidé à s’installer. Aussi, cet article est un témoignage très intéressant ; Émile Vinchon l’a utilisé à plusieurs reprises dans son livre Maurice Rollinat - Étude biographique et littéraire en dénommant la revue "l’Hirondelle de Melle". (Lire cet article.)
Le Dictionnaire universel illustré biographique et bibliographique de la France contemporaine publié sous la direction de Jules Lermina (L. Boulanger éditeur, Paris, 1885, II + 1397 pages) comprend un article consacré à Maurice Rollinat (page 1239) et un autre à son livre Les Névroses (pages 1065 et 1066) ; Maurice Rollinat est également cité dans l’article sur Le Chat-Noir (page 296) et dans l’article Monologues (page 1026). (Lire ces quatre articles concernant Maurice Rollinat.)
Mab. dans sa Causerie parisienne parue dans Le Voltaire du 13 avril 1886, page 1, raconte une soirée chez Mme Charpentier au cours de laquelle Maurice Rollinat disait ses vers et faisait frissonner les dames (Maurice Rollinat était à Paris pour la promotion de son livre L’Abîme édité par Charpentier). (Lire la partie de l’article concernant Maurice Rollinat.)
Dans Le XIXe siècle du 4 mai 1886, pages 2 et 3, figure un long article intitulé Rollinat et signé Vincent. À l’occasion de la parution de L’Abîme, l’auteur présente la vie du poète à Paris après la soirée chez Sarah Bernhardt, puis analyse le livre. (Lire cet article.)
Dans Le Monde illustré du 21 janvier 1888, pages 34 et 35 (deuxième et troisième du numéro), Pierre Véron consacre une partie de sa chronique Courrier de Paris à Maurice Rollinat ; ses commentaires sont beaucoup moins négatifs que ceux émis lors de la parution des Névroses. (Lire cet article.)
Dans le numéro du 10 mars 1888 de Le Livre – Revue du monde littéraire, page 149, un article présente La musique de Rollinat et annonce la mise en vente de dix nouvelles mélodies. (Lire cet article.)
Dans Le Pierrot n° 9 du 31 août 1888, page 4, l’article Ne bougeons plus !... signé Collodio est consacré à Maurice Rollinat ; l’auteur en particulier, décrit Maurice Rollinat chantant au piano. L’ensemble de ce texte va constituer le début de l’article La Vie littéraire signé Maurice Guillemot, entièrement consacré à la présentation du livre Les Apparitions de Maurice Rollinat, paru dans le Gil Blas du 29 juin 1896, page 2. (Lire l’article paru dans Le Pierrot.)
Dans la Revue politique et littéraire - Revue Bleue, du 6 octobre 1888, pages 443 à 448, Charles Buet consacre un long article à Maurice Rollinat intitulé Les artistes mystérieux - M. Maurice Rollinat. Il y décrit en particulier ses débuts dans la vie parisienne, analyse sa poésie et termine par le départ de Maurice Rollinat pour le Berry. Ce texte sera repris en majeure partie dans le livre Grands Hommes en Robe de Chambre (Société libre d’édition des gens de lettres, Paris, 1897, 333 pages), pages 321 à 333. (Lire l’article paru dans la Revue politique et littéraire.)
Gustave Geffroy dans un long article intitulé Poète aux champs, paru dans le Supplément littéraire du Figaro du 9 février 1889 (pages 2 et 3), décrit la vie de Maurice Rollinat à Fresselines et analyse la genèse de son livre L’Abîme. (Lire cet article.)
Dans Le National du 2 octobre 1889, page 3, la rubrique Varité est consacrée à la première partie d’un très long article signé Jean-Jacques Pradher intitulé Un poète et consacré à Maurice Rollinat. L’auteur découvre l’œuvre du poète qu’il n’a jamais rencontré ; il parle de la poésie en général puis discoure sur la névrose. La deuxième partie a été publiée dans l’édition du 3 octobre, page 3, rubrique Varité. L’auteur veut alors présenter l’œuvre et le poète mais il confond l’homme et ses écrits, et souvent le texte devient du bavardage sans intérêt. (Lire cet article en deux parties.)
Dans le Supplément littéraire du Figaro du 26 octobre 1889, pages 2 et 3, figure un article de Félicien Champsaur intitulé Dix ans après ; Maurice Rollinat y est cité. Ce texte fait référence à l’article du même auteur publié dix ans auparavant dans Le Figaro du 8 octobre 1879, pages 3 et 4, intitulé Le Quartier latin. (Lire l’article du 26 octobre 1889.)
Maurice Rollinat est apparu en janvier 1890, dans le Grand Dictionnaire Universel par Pierre Larousse, à l’occasion de la publication du deuxième supplément. Trois articles lui sont consacrés : "Maurice Rollinat" (page 1791), "L’Abîme" (page 15) et "Les Névroses" (page 1633). Son nom figure dans les articles sur "Le Chat-Noir" (page 790), "Louis Desprez" (page 1032), "France - Littérature Poésie" (pages 1276 et 1277) et "Les Hydropathes" (page 1408). (Lire ces sept articles.)
L’Écho de Paris a publié sous forme de feuilleton le Journal des Goncourt ; dans l’édition du 17 décembre 1891, page 2, la date du 14 juin 1883 est consacrée à Maurice Rollinat, en particulier à sa musique. (Lire la partie concernant Maurice Rollinat.)
Dans Le Figaro du 14 janvier 1892, page 1, Armand Dayot signe un article intitulé tout simplement Rollinat, dans lequel il évoque l’article d’Albert Wolff paru dix ans plus tôt, la vie actuelle du poète à Fresselines, sa poésie et sa musique, puis comment il l’a connu et il termine en évoquant le projet d’une soirée consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat. Une partie de cet article sera reprise dans Le long des routes (Ernest Flammarion éditeur, Paris, 1897, 388 pages), pages 224 à 228. (Lire cet article.)
Dans Le Gaulois du 17 janvier 1892, page 1, Gustave Geffroy signe un article intitulé Maurice Rollinat, dans lequel l’auteur essaie de convaincre, parfois de façon laborieuse, ses lecteurs d’assister à la soirée qui sera prochainement programmée et consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat (il s’agit de la soirée du dimanche 14 février au Théâtre d’Application, mais ni la date ni le lieu ne sont encore fixés). (Lire cet article.)
En perspective de la soirée consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat, du dimanche 14 février au Théâtre d’Application (date et lieu non annoncés dans ce texte), Sutter-Laumann signe dans L’Intransigeant du 19 janvier 1892, page 2, un article intitulé Maurice Rollinat dans lequel il revient sur les raisons du succès et des critiques des œuvres du poète-musicien. Il développe particulièrement pourquoi il aime sa musique. (Lire cet article.)
Dans La Justice du 20 janvier 1892, pages 1 et 2, nous pouvons lire l’article La musique de Rollinat de Gustave Geffroy écrit en vue de la soirée prochaine consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat. Le titre est en partie trompeur car pendant une moitié de l’article l’auteur donne ses idées personnelles sur la lecture. La fin de l’article concerne bien la musique de Maurice Rollinat mais sans qu’il y ait d’analyse. (Lire cet article.)
Dans le Gil Blas du 15 février 1892, page 1, figure un Instantané consacré à Maurice Rollinat. La description qui y est faite du poète est bizarre. (Lire cet "Instantané".)
Dans Le Soleil du 15 février 1892, page 1, Jean de Nivelle, pseudonyme utilisé par Charles Canivet, signe un assez long article à l’occasion de la soirée du 14 février au Théâtre d’Application. Il se rappelle de Maurice Rollinat chantant pendant sa période parisienne, son départ pour le Berry, puis il parle de sa production actuelle. (Lire cet article.)
Dans La Justice du 16 février 1892, page 1, suite à la soirée du 14 février 1892 au théâtre d’Application où a été jouée l’œuvre de Maurice Rollinat, Gustave Geffroy consacre sa Chronique à la Poésie et musique de Rollinat, dans laquelle il met en valeur de manière élogieuse les qualités du poète en se référant à la soirée du 14 février. (Lire cet article.)
Dans un article intitulé tout simplement Maurice Rollinat paru dans le Gil Blas du 20 février 1892, page 1, Gustave Geffroy évoque la vie de Maurice Rollinat à la campagne et son œuvre. (Lire cet article.)
Suite à la soirée du dimanche 14 février 1892, au Théâtre d’Application, Pierre Véron consacre à Maurice Rollinat, une partie de sa chronique Courrier de Paris dans Le Monde illustré du 20 février 1892, page 115 (troisième du numéro). (Lire cet article.)
Dans la Revue Illustrée n° 150 du 1er mars 1892, pages 189 à 191, l’article intitulé Maurice Rollinat d’Armand Dayot, retrace les retrouvailles de l’auteur avec le poète, ce qui lui rappelle de très nombreux souvenirs, en particulier la première rencontre de Maurice Rollinat avec Jules Barbey d’Aurevilly. La page de garde de la revue et l’article sont illustrés de sept dessins de Paul Renouard représentant Maurice Rollinat. Aux pages 192 à 194, figure la partition de « Le Champ de Colzas » de Maurice Rollinat. Cet article légèrement modifié sera repris dans Le long des routes (Ernest Flammarion éditeur, Paris, 1897, 388 pages), pages 220 à 224. (Lire l’article paru dans la Revue Illustrée.)
Dans Les Annales politiques et Littéraires n° 454 du 6 mars 1892, page 149, figure un court article présentant Maurice Rollinat musicien et annonçant la publication dans le "Supplément illustré" de la partition de musique Le Convoi funèbre. (Lire cet article.)
Dans Le Figaro du 15 mars 1892, page 1 rubrique Échos, il est indiqué que parmi les demandes d’admission à la Société des gens de lettres, figure le nom de Maurice Rollinat. Dans l’édition du 6 avril, page 1 rubrique Échos, nous lisons que Maurice Rollinat a été reçu lundi 4 avril membre de cette Société, il était présenté par MM. Alphonse Daudet et Joseph Montet.
Dans L’Art et l’Idée du 20 mars 1892, pages 192 à 195, Octave Uzanne dans un article intitulé tout simplement Maurice Rollinat, parle du poète qui a quitté Paris depuis dix ans, et décrit en particulier le portrait réalisé par Gaston Béthune. Cette revue fera l’objet d’une présentation dans le Mercure de France de mai 1892, page 87 rubrique Journaux et revues, et l’article sur Maurice Rollinat sera alors signalé. (Lire l’article de L’Art et l’Idée.)
Dans Le Constitutionnel du 7 avril 1892, page 2, rubrique Échos, nous apprenons que Maurice Rollinat a été reçu, lundi 4 avril, membre de la Société des gens de lettres. Il était présenté par MM. Alphonse Daudet et Joseph Montet.
L’Éclair du 7 avril 1892, page 1, rubrique « A Paris », se fait l’écho du refus de Maurice Rollinat d’accepter un emploi à la mairie de Paris. (Lire cet article.)
Dans La Presse du 8 avril 1892, page 1 rubrique Echos, il est indiqué que Maurice Rollinat a été reçu membre de la Société des gens de lettres, et qu’il avait pour parrains MM. A. Daudet et J. Montet.
À l’occasion de la parution du livre La Nature de Maurice Rollinat, Clovis Hugues consacre sa Chronique indépendante parue dans La Petite République Française du 21 juillet 1892, page 1, au poète. Il donne en particulier ses impressions sur la poésie de Maurice Rollinat. (Lire cet article.)
Dans sa rubrique Les décorés - Ceux qui ne le sont pas (sous-entendu de la Légion d’honneur), Frantz Jourdain publie dans le Supplément littéraire du Figaro du 2 septembre 1893, page 1, un article consacré à Maurice Rollinat dans lequel il raconte comment il l’a connu, puis il met en valeur les qualités du poète. Frantz Jourdain reprendra cet article dans son livre Les décorés - Ceux qui ne le sont pas (H. Simonis Empis éditeur, Paris, 1895, 278 pages), pages 159 à 163. (Lire l’article paru dans Le Figaro.)
L’Écho de Paris a poursuivi la publication sous forme de feuilleton du Journal des Goncourt. Maurice Rollinat apparait dans quatre journaux : le 13 mai 1894 page 1 (deux fois : aux dates du 18 mars et du 24 mars 1886), le 17 mai 1894 page 1 (à la date du 20 mai 1886), le 6 juin 1894 (à la date du 29 décembre 1887) et le 9 mai 1895 page 1 (à la date du 10 octobre 1889). (Lire ces quatre extraits du Journal des Goncourt concernant Maurice Rollinat.)
Dans sa Petite Chronique des Lettres parue dans le Supplément littéraire du Figaro du 18 mai 1895, page 3, Jules Huret annonce la parution prochaine d’un nouveau recueil de Maurice Rollinat et regrette que celui-ci ne soit pas encore décoré.
Dans L’Écho de Paris du 8 juillet 1895, page 1, rubrique Échos, à la fin d’un petit article intitulé Pierre et Jean, l’auteur souhaite que Maurice Rollinat soit décoré de la Légion d’Honneur (« Pierre et Jean » recouvrent deux pseudonymes : Pierre c’est Lucien Descaves, et Jean c’est Fernand Vandérem). Dans l’édition du 20 juillet, page 1 même rubrique, Maurice Rollinat est cité parmi les promus.
Dans Le XIXe siècle du 17 juillet 1895, page 2 rubrique Echos et nouvelles, figure "l’annonce officieuse" de la nomination de Maurice Rollinat au grade de chevalier de la Légion d’Honneur au titre du ministère de l’Instruction publique et des beaux-arts. L’annonce officielle figure dans l’édition du 20 juillet, page 3, article Les nominations.
Dans Le Rappel du 17 juillet 1895, page 2 rubrique Les on-dit, bien que l’information ne soit pas encore officielle, figure l’annonce de la nomination de Maurice Rollinat au grade chevalier de la Légion d’Honneur. La liste officielle sera publiée dans l’édition du 20 juillet, page 4, article Les nominations. Le 21 juillet, page 2 dans la rubrique Les on-dit signée "Le Passant" (pseudonyme utilisé par Ernest d’Hervilly), la nomination de Maurice Rollinat rappelle à l’auteur de la rubrique, une soirée chez Leconte de Lisle où la prestation de Maurice Rollinat avait été appréciée par celui-ci. (Lire l’article du 21 juillet.)
La Lanterne du 18 juillet 1895, page 3 rubrique Les coulisses, annonce les "nouveaux chevaliers" dont Maurice Rollinat (l’auteur a simplement oublié d’indiquer qu’il s’agissait de la Légion d’Honneur). Dans l’édition du 20 juillet en page 1 rubrique Échos, la liste des personnes promues ou nommées dans l’ordre de la Légion d’Honneur est complétée ; Maurice Rollinat est de nouveau cité. Le 27 juillet page 2 rubrique La chronique, l’auteur qui signe "Diable-à-Quatre", consacre un paragraphe à Maurice Rollinat et indique que le qualificatif de "poète et musicien" utilisé lors de sa nomination comme chevalier de la Légion d’Honneur, aurait pu être complété par le mot "peintre".
Le Figaro du 19 juillet 1895, présente en page 1, les nouveaux chevaliers de la Légion d’Honneur dont Maurice Rollinat. À la fin de l’article, il est indiqué que Maurice Rollinat s’est retiré dans le Morvan ; un rectificatif est paru dans l’édition du 5 août 1895, page 1, rubrique Échos.
Dans Le Gaulois du 19 juillet 1895, en page 2, un petit article signé Paul Roche, présente Maurice Rollinat à l’occasion de sa promotion au grade de Chevalier de la Légion d’Honneur. (Lire cet article.)
Dans Le Temps du 19 juillet 1895, page 4, rubrique Dernières nouvelles, figure la liste des personnes faisant partie de la promotion de la Légion d’Honneur du 14 juillet, dont Maurice Rollinat en tant que chevalier.
Le Signal du 19 juillet 1895, page 4 rubrique Dernière heure, donne la liste des promus et nommés dans l’ordre de la Légion d’honneur au titre du Ministère de l’instruction publique ; Maurice Rollinat figure parmi les chevaliers de la section Lettres.
L’Express du Midi du 19 juillet 1895, page 2, dans son article Les Décorations du 14 Juillet, signale Maurice Rollinat parmi les personnes nommées chevalier de la Légion d’honneur.
Maurice Rollinat figure dans la liste des personnes nommées chevalier de la Légion d’Honneur, publiée en page 1 du Courrier du Centre du 20 juillet 1895.
Dans l’article Les croix littéraires de Théodore Massiac, paru dans le Gil Blas du 20 juillet 1895 page 2, et consacré à la dernière promotion de la Légion d’Honneur, un paragraphe concerne Maurice Rollinat qui vient d’être nommé chevalier.
Dans Le Radical du 20 juillet 1895, page 2, article Les décorations du 14 juillet, Maurice Rollinat figure dans la liste des personnes promues chevalier de la Légion d’Honneur.
Dans Le Monde Artiste illustré, n° 29 du 21 juillet 1895, page 397, figure la liste des personnes nommées ou promues dans l’ordre de la Légion d’Honneur, dont Maurice Rollinat.
Dans sa rubrique Causerie hebdomadaire parue dans Le Soleil du 21 juillet 1895, page 5, Charles Canivet indique que Maurice Rollinat est proposé chevalier de la Légion d’honneur ainsi que Catulle Mendès et Paul Margueritte, "choix universellement ratifiés dans le monde des lettres".
Dans La Gazette du Centre (Limoges) du 24 juillet 1895, page 2, rubrique Chronique régionale - Creuse, figure l’annonce de la nomination de Maurice Rollinat au grade de chevalier de la Légion d’honneur, avec des commentaires très positifs.
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 631 du 28 juillet 1895, page 53, indiquent que Maurice Rollinat est promu chevalier de la Légion d’Honneur.
Dans La Dépêche (Toulouse) du 2 août 1895, page 1, nous pouvons lire un article intitulé Profils - M. Maurice Rollinat, signé Nick, dans lequel l’auteur, partant de la gloire nouvelle de Maurice Rollinat due à sa nomination au grade de chevalier de la Légion d’Honneur, évoque sa transformation de poète citadin en poète campagnard. (Lire cet article.)
Dans L’Écho de Paris du 28 juin 1896, pages 1 et 2, Lucien Descaves signe un long article intitulé tout simplement Maurice Rollinat. Il évoque tout d’abord la vie parisienne du poète et ses qualités de chanteur, puis sa vie à Fresselines et l’évolution de sa poésie en lien avec la nature. (Lire cet article.) Cet article sera publié à l’identique dans Le Réveil du 29 juin 1896, page 3.
Dans le troisième numéro du second semestre 1896 (1er août ?) de La Revue blanche, pages 126 à 128, Gustave Kahn dans sa rubrique La Vie mentale, décrit et analyse la poésie de Maurice Rollinat, en particulier ce qui a influencé le poète. (Lire cet article.)
Dans le n° 9 de septembre 1896 de Cosmopolis - Revue internationale, Émile Faguet consacre presque deux pages (813 et 814) de son article Le Livre à Paris, à Maurice Rollinat, mais son commentaire n’est pas vraiment positif. (Lire cet article.)
Dans Le Figaro du 18 juin 1898, page 3, la rubrique Notre page musicale est consacrée à Maurice Rollinat. La présentation est sympathique et Maurice Rollinat est qualifié de "grand charmeur". (Lire cet article.)
Emmanuel Hache dans un article intitulé Maurice Rollinat, paru dans Le National du 26 juin 1898, page 2, annonce la venue de celui-ci à Paris. (Lire cet article.)
Gustave Geffroy, dans un article intitulé tout simplement Maurice Rollinat, paru dans Le Journal du 27 juin 1898, pages 1 et 2, annonce la soirée du mardi 28 juin à l’Athénée-Comique consacrée à Maurice Rollinat, puis présente le poète à travers sa vie à Paris puis à Fresselines, et son œuvre. (Lire cet article.)
Dans La Fronde du 28 juin 1898, page 1, nous pouvons lire un article très intéressant de Judith Cladel intitulé Ceux-que j’ai vus - Maurice Rollinat. Le jour de la soirée à l’Athénée-Comique consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat, l’auteur se remémore les visites que le poète faisait chez son père Léon Cladel, l’ambiance des soirées et décrit comment Maurice Rollinat se comportait et interprétait ses chansons. Plusieurs idées de cet article seront reprises par Judith Cladel pour écrire son ouvrage Maurice Rollinat, objet de Portraits d’Hier, n° 31 du 15 juin 1910 (32 pages). (Lire cet article.)
Dans le Journal des débats politiques et littéraires du 4 juillet 1898, page 2, nous pouvons lire l’article Maurice Rollinat chez lui de Jacques-André Mérys (pseudonyme utilisé par Pierre Blanchon), précieux témoignage sur la vie du poète à Fresselines, avec en particulier des descriptions de la vallée de la Petite Creuse, de la maison de La Pouge aussi bien l’extérieur que l’intérieur, et de Maurice Rollinat au piano et à la pêche. (Lire cet article.)
Suite à la soirée du mardi 28 juin 1898, à l’Athénée-Comique, M. Pierre Véron consacre à Maurice Rollinat, une partie de sa Chronique de Paris dans Le Monde illustré du 9 juillet 1898, page 22 (deuxième du numéro). (Lire la partie consacrée à Maurice Rollinat)
Dans L’Écho de Paris du 11 août 1898, page 1, figure un article intitulé Une Maison de Poète signé Nestor (pseudonyme utilisé par Henry Fouquier). L’auteur, à l’occasion d’une visite à Maurice Rollinat à Fresselines, parle un peu de son hôte en tant que poète de la nature, mais surtout donne ses avis personnels sur la pêche et la poésie. (Lire cet article.)
Dans La Vie quotidienne du 14 août 1898, pages 54 à 56, nous pouvons lire la conférence prononcée par M. Maurice Lefèvre lors de la soirée consacrée à Maurice Rollinat, qui a eu lieu le 28 juin 1898, à l’Athénée-Comique, à Paris. (Lire cet article.)
Dans L’Écho de Paris du 17 mars 1899, page 1, rubrique Visions de notre heure signée "La Cagoule", la chronique du 5 mars est consacrée à Maurice Rollinat. L’auteur évoque une soirée avec Maurice Rollinat au cours de laquelle celui-ci a déclamé de nombreux poèmes. (NB : "La Cagoule" est un pseudonyme utilisé par Octave Uzanne.) (Lire la partie de l’article consacrée à Maurice Rollinat.)
Dans Le Temps du 1er avril 1899, la rubrique Quelques poètes contemporains, page 3, est consacrée à Maurice Rollinat avec une présentation du poète suivie du poème "Petit-Loup". (Lire cet article.)
Dans Lemouzi d’avril 1899, pages 41 à 48, c’est un dossier sur Maurice Rollinat qui est proposé, avec Un dimanche à Fresselines raconté par Montal (pages 41 et 42), puis Fernand Borie dans La poésie de la campagne Limousine et M. Maurice Rollinat parle des paysages avant de présenter la poésie champêtre de Maurice Rollinat (pages 42 à 45), ensuite L’œuvre de Rollinat est succinctement présentée par Louis Sauty (page 46), enfin Frédéric Glane (pseudonyme de Johannès Plantadis) analyse Rollinat musicien (page 46). Quatre poèmes : "La chèvre", "Les châtaignes", "A travers champs" et "Le Petit Paysage" terminent le dossier (pages 46 à 48). (Lire ce dossier.)
Dans le numéro de mai 1899 de Lemouzi, pages 66 à 68, nous trouvons un complément au dossier paru en avril avec Portrait graphologique de M. Maurice Rollinat réalisé par Georges de Beauchamp, et La Chataigneraie, poème qui introduit une présentation de Paysages et Paysans, par Pierre L’Escurol (pseudonyme de Johannès Plantadis). (Lire ce dossier.)
Adolphe Brisson dans son article Maurice Rollinat, pêcheur de truites, publié dans Le Temps du 25 octobre 1899, page 2, relate la visite qu’il vient de faire à Maurice Rollinat à Fresselines. Ceci constitue un très intéressant témoignage sur la vie du poète à cette époque. Cet article sera repris quasi à l’identique dans le tome 5 de Portraits intimes d’Adolphe Brisson (Librairie Armand Colin, Paris, 1901, 360 pages), pages 86 à 96. (Lire cet article.)
Dans le tome XIV de La Revue félibréenne (Années 1898 et 1899), figure pages 94 à 113, la suite de l’enquête d’Austin de Croze intitulée Les poètes, Mistral et le vers libre ; la réponse de Maurice Rollinat se trouve pages 111 et 112. (Lire la réponse de Maurice Rollinat.)
Dans son article Promenades et rencontres - La canne à pêche, paru dans Le XIXe siècle du 1er janvier 1900, page 1, Charles Frémine raconte une partie de pêche avec Maurice Rollinat à Fresselines. Au delà de l’aspect amusant de cette histoire, nous avons un témoignage très intéressant sur la vie du poète. Cet article est paru à l’identique dans Le Rappel du 1er janvier 1900, page 1. (Lire cet article.)
Dans La Fronde du 20 janvier 1900, page 2, du 21 janvier, page 2 et du 23 janvier, page 2, nous pouvons lire un très intéressant article signé Jeanne Tullio, intitulé Les êtres et les choses dans l’Œuvre de Maurice Rollinat, dans lequel l’auteur analyse de manière très positive le côté "nature" du poète. Jeanne Tullio est le pseudonyme utilisé par Mme Caruchet, épouse du peintre Henri Caruchet (voir Régis Miannay, Maurice Rollinat, Poète et Musicien du Fantastique, page 524, note 84). (Lire cet article en trois parties.)
La Croix du 4 janvier 1901, page 1, publie un extrait d’une lettre de Maurice Rollinat paru dans les Notes d’art, faisant l’éloge du livre Le Chardon bleu de Lucien Donel. (Lire cet article.)
Dans Les Annales Politiques et Littéraires, n° 917 du 20 janvier 1901, pages 41 et 42, Henry Fouquier, dans un article intitulé La maison de Rollinat, raconte sa visite au poète à Fresselines. (Lire cet article.) L’auteur reprend en grande partie le texte de son article Une Maison de Poète paru dans L’Écho de Paris du 11 août 1898, page 1.
À l’occasion des matinées à la Bodinière, au cours desquelles Yvette Guilbert interprète des poèmes de Baudelaire mis en musique par Maurice Rollinat, avec une conférence de M. Arsène Alexandre, Gustave Geffroy dans un long article intitulé Notre Temps – Maurice Rollinat paru dans La Dépêche (Toulouse) du 29 janvier 1901, page 1, retrace l’œuvre poétique de celui-ci. (Lire cet article.)
La venue de Maurice Rollinat à Paris pour entendre ses vers et sa musique interprétés par Yvette Guilbert, donne l’occasion à Gustave Kahn d’évoquer la soirée chez Sarah Bernhardt et les Hydropathes, dans deux pages de sa rubrique Revue critique dans La Nouvelle Revue du 1er mars 1901 (pages 146 et 147). (Lire la partie concernant Maurice Rollinat.)
Maurice Talmeyr, nom de plume de Marie-Justin-Maurice Coste, dans son article Souvenirs de journalisme paru dans Le Matin (Derniers télégrammes de la nuit) du 4 mars 1901, page 1, raconte une soirée où pour la première fois il a entendu Maurice Rollinat chanter en s’accompagnant au piano (cette soirée a probablement eu lieu en juin 1873). (Lire cet article.)
Suite aux matinées à la Bodinière, au cours desquelles Yvette Guilbert interprète des poèmes de Baudelaire mis en musique par Maurice Rollinat, Jean Alalbert signe dans Le Soir du 17 mars 1901, pages 1 et 2, un article intitulé "Deux revenants, Yvette Guilbert Maurice Rollinat" dans lequel il présente les deux artistes. (Lire cet article.)
Dans La Presse du 24 juillet 1902, page 2, Robert Dieudonné lance une enquête "Chez les porteurs de lyre" à propos de la crise poétique et pour connaître les raisons de la mévente des vers. (Lire la problématique de l’enquête.) La réponse de Maurice Rollinat figure dans l’édition du 9 août page 2 ; il regrette de ne pouvoir répondre aux questions posées. (Lire la réponse de Maurice Rollinat.)
Dans La Quinzaine, n° 194 du 16 novembre 1902, figure la deuxième partie de l’article Baudelaire et les Baudelairiens de Jean Vaudon. Maurice Rollinat figure pages 213 à 220, avec une analyse de son livre Les Névroses. L’aspect macabre est mis en exergue mais de manière très négative. Pour comprendre cette critique, il faut savoir que le P. Jean Vaudon est un chanoine de la métropole de Bourges, supérieur des missionnaires diocésains et un prédicateur. (Lire cet article.)
Dans Le Siècle du 24 octobre 1903, page 2, nous pouvons lire un article intitulé Maurice Rollinat, annonçant l’admission du poète à la maison de santé d’Ivry, et comprenant deux lettres de Maurice Rollinat à Charles Frémine. (Lire cet article.) Dans l’édition du 26 octobre, page 2, dans un article intitulé La maladie de Maurice Rollinat, des précisions sont apportées sur les raisons de son séjour à Ivry, mais celles-ci ne sont qu’en partie exactes. (Lire cet article.) Le 27 octobre, c’est en première page qu’un hommage lui est rendu ; après une introduction annonçant la mort de Maurice Rollinat et son prochain enterrement à Châteauroux, la parole est donnée à Gustave Kahn qui retrace la vie et l’œuvre du poète. (Lire cet article.)
L’Écho de Paris du 24 octobre 1903, page 3 rubrique Les Journaux de ce Matin, reprend l’information parue dans Le Siècle, annonçant l’admission de Maurice Rollinat dans la maison de santé d’Ivry. (Lire cet article.) Dans l’édition du 26 octobre, page 3 rubrique Les Journaux de ce Matin, un article intitulé La maladie de Maurice Rollinat reprend exactement celui paru dans Le Siècle. (Lire cet article.) Le 27 octobre, Paul Acker dans un article intitulé Maurice Rollinat, publié en page 1, annonce la mort du poète et retrace sa vie ; malheureusement, cet article comporte de nombreuses inexactitudes. (Lire cet article.) Le 28 octobre, en page 2 rubrique Carnet mondain - Nécrologie, il est indiqué que le corps de Maurice Rollinat est transféré ce jour à Châteauroux. (Lire cette annonce.) Le 29 octobre, Octave Uzanne signe en page 1, un long article intitulé Le Chantre des Frissons, de la Peur, des Spasmes et de la Mort consacré à Maurice Rollinat ; l’auteur n’analyse que le côté macabre du poète et ignore, volontairement ou non, les poèmes champêtres et ceux destinés aux enfants. (Lire cet article.) Et le 3 novembre, page 1 rubrique Échos, un court article intitulé La fin de Rollinat synthétise le début de l’article de Raoul Aubry paru dans Le Temps du 3 novembre. (Lire cet article.)
Dans Le Soleil du 24 octobre 1903, page 3, rubrique Les journaux de ce matin, l’annonce de l’admission de Maurice Rollinat dans une maison de santé d’Ivry est reprise du journal Le Siècle. (Lire cet article.) Le 27 octobre, page 1, un assez long article intitulé Maurice Rollinat et signé Jean de Nivelle (pseudonyme utilisé par Charles Canivet) retrace la vie et l’œuvre de Maurice Rollinat qualifié de "vrai poète, original et fécond". (Lire cet article.) Dans l’édition du 28 octobre, page 2, rubrique Echos, figure l’annonce des obsèques de Maurice Rollinat à Châteauroux, le lendemain. (Lire cette annonce.) Le 3 novembre, page 2 rubrique Faits divers, on peut lire un court article intitulé Le suicide de M. Rollinat - celui-ci est la reprise exacte du début de l’article de Raoul Aubry paru dans Le Temps du 3 novembre. (Lire cet article.)
Dans Le Figaro du 25 octobre 1903, page 2, rubrique Le Monde et la Ville, il est indiqué que Maurice Rollinat a été conduit dans une maison de santé à Ivry et l’auteur de l’annonce espère qu’après quelques semaines de repos, il pourra reprendre ses occupations littéraires et musicales. (Lire cet article.) Cette information est reprise dans l’édition du 26 octobre, page 5, dans la rubrique Spectacles & concerts, mais de manière beaucoup moins sympathique. (Lire cet article.) Suite à son décès, un article signé André Nède, est paru le 27 octobre, en page 2 ; celui-ci retrace la carrière du poète mais de manière très négative. (Lire cet article.) Ensuite, dans l’édition du 28 octobre, nous trouvons en page 1 dans la rubrique Échos, le poème A Charles Frémine de Maurice Rollinat précédé d’une courte présentation, puis en page 2 dans la rubrique Le Monde et la Ville, l’annonce des obsèques du poète le lendemain à Châteauroux, et en page 3 un court article intitulé Notes d’un Parisien et signé E., qui relate la gloire parisienne de Maurice Rollinat puis son oubli. (Lire ces trois articles.) Enfin, le 3 novembre, en page 3, dans la rubrique Nouvelles Diverses, figure un court article intitulé Le suicide de Maurice Rollinat inspiré du début de l’article de Raoul Aubry paru dans Le Temps du 3 novembre. (Lire cet article.)
Dans Le Petit Parisien du 25 octobre 1903, page 3, nous pouvons lire un court article intitulé Maurice Rollinat, inspiré de l’article Maurice Rollinat paru dans Le Siècle du 24 octobre et illustré d’un portrait du poète étant jeune. (Lire cet article.) Dans l’édition du 27 octobre, son décès est annoncé en page 2 rubrique Échos (avec plusieurs erreurs). (Lire cet article.) Puis le 3 novembre, en page 2 rubrique Échos, des précisions sont données sur les causes de son décès (le texte est vraisemblablement inspiré du début de l’article de Raoul Aubry paru dans Le Temps du 3 novembre. (Lire cet article.)
Le Temps du 25 octobre 1903, reprend en page 3, rubrique Faits divers, l’information parue dans Le Siècle du 24 octobre disant que Maurice Rollinat a été admis à la maison de santé d’Ivry, et publie la deuxième lettre de Maurice Rollinat à Charles Frémine contenue dans cet article. (Lire cet article.) Sa mort a été annoncée dans l’édition du 27 octobre, page 3 rubrique Nécrologie, avec une courte rétrospective de sa vie et de son œuvre. (Lire cet article.) Le 31 octobre 1903, page 2, nous pouvons lire un article signé Nozière (pseudonyme utilisé par Fernand Aaron Weyl) et intitulé tout simplement Maurice Rollinat, dans lequel l’auteur analyse les différents livres de poésie ; les commentaires sont globalement négatifs. (Lire cet article.) Le même jour, en page 3, dans la rubrique Nécrologie figure un compte rendu des obsèques du poète à Châteauroux (ce texte avait été publié presque à l’identique dans Le Gaulois du 30 octobre). (Lire cet article.) Dans l’édition du 3 novembre, page 3 rubrique Au jour le jour, nous trouvons un article intitulé Le suicide de Maurice Rollinat (Lettres inédites) et signé Raoul Aubry (pseudonyme utilisé par Félix Lenclud) ; l’auteur revient sur la fin de vie du poète en affirmant que la cause de sa mort est un suicide, raconte la visite d’Armand Dayot à Auguste Rodin et évoque le bas-relief que celui-ci lui proposa, puis retranscrit quatre lettres de Maurice Rollinat à Armand Dayot. (Lire cet article.)
L’Aurore du 25 octobre 1903, page 1 rubrique Échos, annonce le départ de Maurice Rollinat pour la maison de santé d’Ivry puis cite un extrait d’une lettre du poète à Charles Frémine ; ce texte est fortement inspiré de l’article Maurice Rollinat paru dans Le Siècle du 24 octobre 1903, page 2. (Lire cet article.) Dans l’édition du 27 octobre 1903, page 1 rubrique Échos, figure annonce le décès de Maurice Rollinat et l’article retrace brièvement sa vie et son œuvre ; cet article est fortement inspiré de celui intitulé Nécrologie – Maurice Rollinat paru dans Le Temps du 27 octobre 1903, page 3. (Lire cet article.) Dans son édition du 3 novembre 1903, page 1 rubrique Échos, le journal revient sur les causes et circonstances de la mort du poète ; ce texte est inspiré du début de l’article de Raoul Aubry Le suicide de Maurice Rollinat – Lettres inédites paru dans Le Temps du 3 novembre 1903, page 3. (Lire cet article.)
Dans La Presse du 25 octobre 1903, pages 1 et 2, Fernand Hauser signe un article intitulé Surmenage cérébral - La Folie d’un Poète, où il raconte la peur que lui provoquait Maurice Rollinat lorsqu’il l’écoutait déclamer ses vers, puis sa visite à la maison de santé d’Ivry et enfin sa rencontre avec Charles Frémine qui lui dira ce qu’il sait du décès de Cécile Pouettre et des conséquences de celui-ci sur le poète. Dans l’édition du 27 octobre, page 1 rubrique Dernière Heure, un court article intitulé Mort de Maurice Rollinat annonce le décès du poète et indique que : "Par suite de la neurasthénie, le marasme de l’organisme était profond." Le 29 octobre, page 1, dans un article bizarrement intitulé La Veine, Léon Bailby revient sur la période où Maurice Rollinat était connu et termine sur le surmenage des gens de lettres. Le même jour en page 2, dans la rubrique Comme en Voyage signée Claude Berton, nous pouvons lire un article intitulé Les Névroses qui présente Maurice Rollinat de manière assez négative et indique à la fin qu’il est mort fou. Dans l’édition du 3 novembre, page 2 rubrique Dernières nouvelles, un entrefilet intitulé Le suicide de Rollinat reprend l’information figurant dans l’article de Raoul Aubry paru dans Le Temps, indiquant que Maurice Rollinat s’est tué d’une balle de révolver.
Le XIXe siècle du 25 octobre 1903, page 3 rubrique Revue des journaux de ce matin, reprend l’information parue dans Le Siècle indiquant que Maurice Rollinat a été conduit à la maison de santé d’Ivry. Dans l’édition du 27 octobre, page 3 même rubrique, nous trouvons la reprise à l’identique de l’article La maladie de Maurice Rollinat paru dans Le Siècle. Le 28 octobre, page 3 rubrique Nécrologie, figure un court article intitulé Le poète Maurice Rollinat, qui annonce son décès puis rappelle sa vie avec une bibliographie. Le 29 octobre, page 3 rubrique Nécrologie, un court entrefilet annonce que les obsèques de Maurice Rollinat auront lieu le lendemain, à Châteauroux. Le 31 octobre, page 3 même rubrique, nous pouvons lire un bref compte rendu des obsèques. Le 4 novembre, page 2, l’article Le suicide de Maurice Rollinat reprend le début de l’article de Raoul Aubry paru dans Le Temps du 3 novembre, puis évoque un monument qui pourrait être confié à Auguste Rodin.
Le Gaulois du 25 octobre 1903, page 1, publie un article de Lorenzi de Bradi intitulé La folie d’un poète, suite à l’entrée de Maurice Rollinat dans la maison de santé d’Ivry ; ce texte comporte de nombreuses inexactitudes voire des erreurs. Le 27 octobre 1903, page 1, figure un long article d’un style différent signé Faverolles (pseudonyme utilisé par Joseph Montet) intitulé La mort du Poète - M. Maurice Rollinat, évoquant surtout la période parisienne du poète. Dans l’édition du 30 octobre, page 3, nous pouvons lire un compte rendu des obsèques de Maurice Rollinat.
La Dépêche (Toulouse) du 25 octobre 1903, page 3, rubrique Ça et la, dans un texte intitulé La Folie d’un Poète, reprend une partie de l’article de Fernand Hauser intitulé Surmenage cérébral – La Folie d’un Poète, paru dans La Presse du 25 octobre 1903. (Lire cet article.) Dans l’édition du 27 octobre, page 3, rubrique Poignées de nouvelles, figure l’annonce du décès de Maurice Rollinat. (Lire cette annonce.) Le 31 octobre, pages 1 et 2, suite au décès du poète, dans un long article intitulé Causeries – Maurice Rollinat, Gustave Geffroy se rappelle les bons moments passés ensemble à Paris et à Fresselines, puis parle de son œuvre. (Lire cet article.) Dans l’édition du 1er novembre, page 1, rubrique Menus propos, un ami de Maurice Rollinat raconte une anecdote montrant que celui-ci ne regrettait pas Paris. (Lire cette anecdote.) Et le 3 novembre, page 3, rubrique Ça et la, un texte intitulé La Mort de Maurice Rollinat, reprend en partie le début de l’article de Raoul Aubry Le suicide de Maurice Rollinat – Lettres inédites paru dans Le Temps du 3 novembre 1903, page 3. (Lire cet article.)
La Lanterne du 26 octobre 1903, page 1 rubrique Echos, annonce que Maurice Rollinat vient d’être conduit dans une maison de santé et attribue la crise qu’il subit au chagrin provoqué par "la mort, presque subite, de sa femme". Son décès est annoncé dans l’édition du 28 octobre, en page 2, dans un article intitulé Maurice Rollinat -Mort du poète, dans lequel sa vie est brièvement retracée. Le 4 novembre, page 1 rubrique Echos, on peut lire un court article intitulé Le suicide de Rollinat qui reprend les informations données par Raoul Aubry dans son article paru dans Le Temps du 3 novembre, et présentées comme "la vérité".
Dans L’Intransigeant du 26 octobre 1903, page 3 rubrique Gazette du Jour, nous pouvons lire un entrefilet intitulé Triste nouvelle, annonçant que Maurice Rollinat a été conduit dans une maison de santé. Dans l’édition du 28 octobre, page 3 rubrique Nécrologie, figure un court article retraçant la vie et l’œuvre de Maurice Rollinat.
Le Pays du 26 octobre 1903, page 1 rubrique Dernière heure, annonce que Maurice Rollinat est admis dans une maison de santé. Quatre autres articles publiés le 29 octobre, le 30 octobre, le 5 novembre et le 10 novembre sont la reprise à l’identique de textes parus dans La Justice (voir ci-après).
Dans le Gil Blas du 27 octobre 1903, pages 1 et 2, nous pouvons lire un long article de Georges Loiseau intitulé tout simplement Maurice Rollinat ; l’auteur raconte qu’étant fin août à Gargilesse, il avait alors appris le décès de Cécile Pouettre et qu’un mois après il avait croisé Maurice Rollinat à Crozant, ce qui lui permet d’évoquer la vie et l’œuvre du poète. Dans l’édition du 3 novembre, page 1 rubrique Échos, nous pouvons lire un poème inédit de Maurice Rollinat : Jour de Toussaint, précédé d’une introduction qui revient sur les causes de la mort du poète, et en page 3, rubrique Chez les autres, de larges extraits de l’article de Raoul Aubry Au jour le jour – Le suicide de Maurice Rollinat (Lettres inédites), paru dans Le Temps du 3 novembre 1903, page 3.
Dans La Justice du 27 octobre 1903, pages 2 et 3, figure un court article intitulé Maurice Rollinat, indiquant que le poète est arrivé à la maison de santé d’Ivry. Dans l’édition du 28 octobre, page 1, un article intitulé Rollinat, non signé, annonce le décès de Maurice Rollinat et retrace sa vie et son œuvre. Le 29 octobre, page 2, nous pouvons lire un article intitulé Les poètes sont des fous..., non signé, consacré à la folie de Maurice Rollinat avec une analyse de l’œuvre du poète ; mais l’auteur affirme, ne démontre pas et donne plutôt des arguments contraires. Le 4 novembre, en page 2, rubrique Informations, un court article intitulé La mort de Rollinat reprend des informations parues dans Le Temps. Et le 9 novembre, page 2, la Chronique est consacrée à Maurice Rollinat ; l’article n’est pas signé (décidemment une habitude pour ce journal, pratique aussi lorsque l’on dit des choses négatives) ; l’auteur se remémore des souvenirs à propos de la poésie et de la musique de Maurice Rollinat et fait des liens avec "l’état mental", sous-entendu "la folie", du poète. (NB : Ces quatre derniers articles seront publiés à l’identique dans Le National du 28 octobre, page 2, du 29 octobre, page 2, du 4 novembre, page 1, rubrique Dernière heure, et du 9 novembre, page 1, sous le titre Bulletin, et dans Le Pays du 29 octobre, page 2, du 30 octobre 1903, page 3, du 5 novembre, page 1, rubrique Dernière heure, et du 10 novembre 1903, page 1, sous le titre Bulletin.)
Dans Le Journal du 27 octobre 1903, page 3, l’article intitulé Maurice Rollinat et signé E.L.J. (Ernest La Jeunesse), annonce le décès du poète et retrace succinctement sa vie ; malheureusement cet article comporte de nombreuses inexactitudes ou erreurs. Dans l’édition du 1er novembre, page 1, c’est un texte d’une toute autre teneur que nous pouvons lire : Lucien Descaves dans l’article intitulé L’évadé retrace sa vie du poète et du musicien, et se remémore les bons moments passés en sa compagnie.
Le Petit Journal a annoncé le décès de Maurice Rollinat dans son édition du 27 octobre 1903, page 1 rubrique Échos de partout, et a indiqué la date et le lieu des obsèques le 28 octobre en page 1 rubrique Échos de partout.
L’Est Républicain du 27 octobre 1903, page 1 rubrique Nouvelles diverses, annonce la mort de Maurice Rollinat, et page 3 rubrique Faits divers, que Maurice Rollinat a été conduit dans une maison de santé à Ivry.
Dans Le Constitutionnel daté du 28 octobre 1903, page 3, un court article annonce que "Maurice Rollinat vient d’être interné dans une maison d’asile", mais le commentaire qui suit est sympathique. Dans l’édition datée du 30 octobre, page 2, un article intitulé Rollinat annonce le décès du poète et retrace sa vie et son œuvre ; il s’agit de la reprise à l’identique de celui paru dans La Justice du 28 octobre, page 1. Et dans le journal daté du 31 octobre, page 2, nous pouvons lire un article intitulé Les poètes sont des fous... qui est là-aussi la reprise à l’identique de l’article paru dans La Justice du 29 octobre, page 2.
Le Radical du 28 octobre 1903, page 2, dans un article intitulé Nécrologie, annonce le décès de Maurice Rollinat, en donne les causes et rappelle très brièvement son œuvre. Le 29 octobre en page 1, l’article Bavardage signé "Un Parisien", est consacré au décès de Maurice Rollinat ; l’auteur qui l’a connu à Paris, revient sur sa vie et sur les causes de son décès en reprenant ce qui était dit alors dans de nombreux articles : Maurice Rollinat est mort fou et "sa femme" (en réalité Cécile Pouettre) est morte de la rage. Dans l’édition du 4 novembre, en page 3, nous trouvons un article intitulé La Mort de Maurice Rollinat, sous-titré La vérité sur la fin du poète - Il s’est tué ; à partir du troisième paragraphe, cet article est la reprise à l’identique d’une partie de l’article Le suicide de Maurice Rollinat (Lettres inédites) de Raoul Aubry, paru dans Le Temps du 3 novembre 1903, page 3.
Dans Le Courrier du Centre du 28 octobre 1903, page 2 rubrique Chronique locale, un article intitulé La Mort de Rollinat signé R. G... (vraisemblablement René Guillemot rédacteur en chef du journal), annonce le décès du poète, donne des informations sur sa fin de vie puis retrace son œuvre et rappelle sa manière de chanter. Le lendemain, dans l’édition du 29 octobre, page 1, c’est Adolphe Brisson qui signe un article intitulé Le Poète des Névroses, dans lequel il se remémore la vie parisienne (avec de nombreuses inexactitudes) et à Fresselines de Maurice Rollinat. Le 30 octobre, page 1, dans Lettre de Paris, un paragraphe est consacré au décès de Maurice Rollinat avec des allusions à son œuvre et à son talent de diseur. Et le 31 octobre, en page 3 rubrique Chronique Départementale, dans un article intitulé Châteauroux - Obsèques de Maurice Rollinat, le journal reprend un texte paru dans le Journal du Centre qui décrit toute la cérémonie qui s’est déroulée à Châteauroux.
Dans L’Ouest-Eclair du 28 octobre 1903, page 2 rubrique Informations, un entrefilet annonce le décès de Maurice Rollinat. Le 29 octobre, en page 1, figure un article nécrologique signé R. de V. qui relate la vie du poète ; malheureusement le texte comporte de nombreuses imprécisions ou erreurs. Le 30 octobre, en page 5 rubrique Dernière Heure, un très court article relate les obsèques de Maurice Rollinat la veille à Châteauroux. Le 3 novembre, page 5, rubrique Dernière Heure, un très court article reprend l’information publiée dans l’article de Raoul Aubry paru dans Le Temps du 3 novembre, indiquant que Maurice Rollinat se serait suicidé.
Le Journal des débats politiques et littéraires du 28 octobre 1903, page 3 rubrique Nécrologie, annonce le décès de Maurice Rollinat. Le 28 octobre, page 1 rubrique Au jour le jour, nous pouvons lire un article intitulé Maurice Rollinat et signé André Beaunier ; l’auteur ne parle que de la période parisienne et de l’aspect macabre de Maurice Rollinat, il oublie que celui-ci a ausi été un poète de la nature. Dans l’édition du 4 novembre, page 2 rubrique Échos, figure des précisions sur les causes de sa mort mais en donnant deux versions par rapport au coup de revolver.
Dans Le Messin du 28 octobre 1903, page 3, rubrique Dépêches télégraphiques du Messin, figure une brève annonce du décès de Maurice Rollinat. Le 29 octobre, pages 1 et 2, rubrique Nouvelles du jour, nous pouvons lire un article intitulé Mort de Maurice Rollinat qui reprend des informations publiées dans l’article Maurice Rollinat paru dans Le Siècle du 24 octobre 1903, page 2. Dans l’édition du 30 octobre, page 1, rubrique Nos Echos, se trouve un article d’André Beaunier intitulé Maurice Rollinat ; il s’agit de la reprise à l’identique de celui paru dans le Journal des débats politiques et littéraires du 28 octobre 1903, page 1. Et le 31 octobre, page 1, Arsène Alexandre signe un article intitulé La mort d’un poète, dans lequel il décrit notamment la manière dont Maurice Rollinat déclamait ses textes.
Dans L’Univers du 28 octobre 1903, page 3, la rubrique Nécrologie est consacrée à Maurice Rollinat, malheureusement l’article se termine de manière très négative.
Dans La Patrie du 28 octobre 1903, page 2, dans un article intitulé La Mort de Rollinat, l’auteur recueille le témoignage de M. Georges Charpentier, éditeur de Maurice Rollinat.
Dans l’article Poètes devenus fous paru dans Le Progrès - Journal Républicain de l’Arrondissement d’Orléansville, n° 460 du 29 octobre 1903, en pages 2 et 3, l’auteur se sert du départ de Maurice Rollinat à la maison de santé d’Ivry pour commencer son article et parler de plusieurs poètes et écrivains ayant eu des problèmes de santé mentale.
Dans l’Écho de l’Indre du 30 octobre 1903, page 1, nous pouvons lire un court article intitulé Maurice Rollinat et signé J. A., annonçant le décès du poète et rappelant sa vie en Berry de manière sympathique.
Dans L’Egalité de Roubaix Tourcoing du 30 octobre 1903, la Chronique située en page 1, intitulée La Folie et signée Montfermeil, pseudonyme utilisé par Lucien Victor-Meunier, commence par l’annonce du décès de Maurice Rollinat et un rappel sur la parution des Névroses, avant de parler de personnes décédées récemment en état de folie. Dans l’édition du 3 novembre 1903, c’est un tout autre propos que nous pouvons lire en page 1, puisque Gustave Geffroy dans un article intitulé tout simplement Maurice Rollinat rend hommage au poète juste disparu.
Dans L’Action Régionaliste, n° 8 de 1903, pages 258 et 259, figure l’annonce du décès de Maurice Rollinat avec une courte biographie.
Suite au décès de Maurice Rollinat, Les Annales Politiques et Littéraires n° 1062 du 1er novembre 1903, publient en pages 274 et 275, un article intitulé La folie littéraire signé Le Bonhomme Chrysale (pseudonyme utilisé par Adolphe Brisson). Comme dans ses autres articles, celui-ci préfère les poèmes de la nature au côté macabre de Maurice Rollinat.
Le Ménestrel n° 44 du 1er novembre 1903, page 348, publie dans la rubrique Nécrologie un article sur la vie et l’œuvre de Maurice Rollinat, signé A. P.
Dans L’Express du Midi du 1er novembre 1903, page 1, la Chronique d’Armand Praviel est consacrée au décès de Maurice Rollinat avec une analyse plutôt négative de son œuvre.
Jacques-André Mérys (pseudonyme utilisé par Pierre Blanchon) signe dans le Journal des débats politiques et littéraires du 3 novembre 1903, page 1, un long article intitulé Maurice Rollinat intime, dans lequel il raconte ses souvenirs lorsqu’il rendait visite au poète à Fresselines.
Dans La Gazette du Centre (Limoges) du 3 novembre 1903, page 3, figurent deux articles sur Maurice Rollinat. Le premier, très court, rubrique Indre – Châteauroux – Nécrologie fait un compte rendu des obsèques du poète. Le second, beaucoup plus long, intitulé Variétés - Maurice Rollinat, retrace sa vie avec de nombreuses approximations, voire des erreurs notamment sur les causes des décès de Cécile Pouettre et de Maurice Rollinat.
L’Univers, dans son édition du 4 novembre 1903, page 3, dans un article intitulé La mort du poète Rollinat revient sur les causes du décès et publie une interview du docteur Moreau qui l’a soigné.
Georges d’Esparbès signe un article intitulé « Le cygne noir » dans Le Matin (derniers télégrammes de la nuit) du 7 novembre 1903, page 1. L’auteur a rencontré Maurice Rollinat à Paris alors qu’il avait vingt ans ; il en fut très impressionné mais pas d’une manière favorable car il qualifie le poète de "triste chanteur de la Mort" et de "cygne noir des Mélancolies et des Détresses". Il oublie complètement le côté nature du poète. Georges d’Esparbès a repris cet article dans son livre Printemps (Ernest Flammarion éditeur, Paris, 1906, 332 pages), pour constituer le chapitre intitulé La guirlande de lierres, pages 303 à 311.
Suite au décès de Maurice Rollinat, Judith Cladel dans un long article intitulé Variétés - Maurice Rollinat publié dans La Dépêche (Toulouse) du 7 novembre 1903, page 5, se remémore les visites que celui-ci faisait à son père et la manière dont il interprétait ses poèmes au piano. (Lire cet article.) Elle avait déjà publié un article intitulé Ceux que j’ai vus – Maurice Rollinat dans La Fronde du 28 juin 1898, page 1 ; il y a de nombreux points communs entre les deux textes, même si les idées sont parfois exprimées différemment. Plusieurs idées et passages de ces articles seront repris par Judith Cladel pour écrire son ouvrage Maurice Rollinat, objet de Portraits d’Hier, n° 31 du 15 juin 1910 (32 pages).
En tête de La Revue du Berry du 15 novembre 1903, deux pages (non numérotées) sont consacrées à la "Mort de Maurice Rollinat". Dans le numéro suivant daté du 15 décembre 1903, Joseph Ageorges consacre une page de ses Chroniques berrichonnes à Maurice Rollinat (page 281), puis pages 283 et 284 figure la présentation du numéro qui sera consacré à Maurice Rollinat, enfin pages 297 à 299 nous pouvons lire un poème de J.-B. Gonnin intitulé La mort du poète en l’honneur de Maurice Rollinat.
Le Penseur n° 11 de novembre 1903, page 439 rubrique Petite chronique du mois, annonce le décès de Maurice Rollinat, en indiquant que Les Névroses dont parle souvent la presse, n’est pas le seul livre écrit par le poète.
Un portrait de Maurice Rollinat par Gustave Kahn, retraçant sa vie et son œuvre, est paru dans La Nouvelle Revue du 15 novembre 1903, pages 250 à 254.
Dans le Journal des débats politiques et littéraires du 21 novembre 1903, page 1 rubrique Au jour le jour, nous pouvons lire un article intitulé L’autre Rollinat et signé Jédéheff, dans lequel l’auteur met en valeur Maurice Rollinat poète de la nature.
Dans le numéro de novembre 1903 de Lemouzi, rubrique Échos Limousins (non paginé), figure l’annonce du décès de Maurice Rollinat.
Gustave Geffroy, dans un très long article paru dans la Revue universelle n° 99 du 1er décembre 1903, pages 617 à 626, et intitulé tout simplement Maurice Rollinat (1846-1903), retrace la vie du poète et analyse ses œuvres, en particulier il fait un long développement sur L’Abîme. Il s’agit du témoignage d’un ami proche qui tient à défendre la mémoire de Maurice Rollinat.
Dans Le Magasin pittoresque n° 23 du 1er décembre 1903, page 1 du Supplément, Jacques de Sancère dans sa chronique La Quinzaine Lettres et Arts, suite au décès de Maurice Rollinat, met en valeur Le Livre de la Nature.
Le XIXe Siècle du 2 décembre 1903, page 3 rubrique Revue des journaux de ce matin, dans un court article intitulé Rollinat musicien, annonce l’article de Gustave Geffroy paru dans la Revue universelle, et publie quelques extraits concernant la musique de Maurice Rollinat.
Un avis nécrologique est paru dans La Sylphide n° 12 de décembre 1903 (non paginé).
Dans Le Mois Littéraire et Pittoresque n° 60 de décembre 1903, page 163* (pagination différente de celle des articles), dans la rubrique Nos collaborateurs, figure l’annonce du décès de Maurice Rollinat et une brève biographie.
Dans la Revue de médecine légale de décembre 1903, page 418 rubrique Intérêts professionnels, nous trouvons un article intitulé La rage de Madame Rollinat signé Michaut, où l’auteur s’interroge sur les causes du décès de "Madame Rollinat" ; est-elle morte de la rage ou de la peur d’avoir la rage ?
Dans la Revue Méridionale (Carcassonne) de janvier 1904, pages 5 à 8, Raoul Lafagette, dans un article intitulé tout simplement Maurice Rollinat, rend hommage à celui qui fut son grand ami. (Lire cet article.) Ce texte sera repris à l’identique dans Les Annales de l’Ariège du 7 février 1904, page 1.
Un numéro spécial de La Revue du Berry a été consacré à Maurice Rollinat, "son illustre compatriote, son regretté collaborateur". Il est daté de mars 1904. Il comprend XII + 143 pages, avec la reproduction de la partition "Prélude" de Maurice Rollinat, le long article "Le vrai Rollinat" de Joseph Pierre et de nombreux articles écrits par des amis. La couverture est illustrée d’un dessin d’Ernest Nivet et à l’intérieur nous trouvons des croquis signés Fernand Maillaud et Bernard Naudin, des photographies d’A. Boudot et d’Eugène Alluaud, etc.
La Gazette du Centre (Limoges) du 8 avril 1904, page 3, rubrique Nécrologie, annonce le décès à Châteauroux, de Madame Isaure Rollinat, mère de Maurice Rollinat, et retrace brièvement la carrière de son époux, François Rollinat.
Dans Le Journal du Dimanche - Journal Républicain de la Famille, n° 3296 du 31 juillet 1904, pages 8 à 11, figure un article de Jean-Bernard intitulé Souvenirs sur Maurice Rollinat. Dans celui-ci, l’auteur présente le numéro spécial de la Revue du Berry consacrée au poète. L’article est illustré d’un portrait de Maurice Rollinat, de dessins de Maillaud et Naudin, d’un tableau de Maillard et de la reproduction du manuscrit du poème "Langage du Rêve".
Dans La Revue du 15 août 1904, pages 477 à 491, Marie Krysinska signe un long article intitulé "Les cénacles artistiques et littéraires - Autour de Maurice Rollinat", où elle décrit notamment l’ambiance Aux Hydropathes et au Chat Noir. (Lire cet article.)
Dans Le Petit Troyen du 7 septembre 1904, page 3, la Lettre parisienne signée Jean-Bernard est consacrée à Maurice Rollinat. Cet article comprend entre autres, une lettre de Maurice Rollinat à Claude Monet, un extrait de lettre de Maurice Rollinat à Armand Dayot, une lettre de Maurice Rollinat à Charles Frémine et un court texte de Lucien Descaves.
Henri Focillon, dans un article intitulé Un solitaire : Maurice Rollinat paru dans Les Arts de la Vie de février 1905, pages 108 à 112, retrace les grands traits de la poésie et de la vie du poète et se remémore les "heures inoubliables" passées à Fresselines.
Dans Limoges illustré n° 147 du 1er décembre 1905, pages 1973 et 1974, nous pouvons lire un article intitulé Maurice Rollinat - Biographie signé J. Bhess, illustré de la photographie du poète à sa table de travail par Eugène Alluaud et du fac-similé d’une lettre de Maurice Rollinat ; le texte comporte plusieurs erreurs ou approximations.
Dans Le Monde Artiste illustré, n° 13 du 1er avril 1906, page 204, rubrique Notes et Informations, il est relaté comment Barbey d’Aurevilly rencontra Maurice Rollinat pour la première fois. Ce texte reprend, presque mot pour mot, ce qu’a écrit Armand Dayot dans Le long des routes, publié en 1897, pages 222 et 223.
Dans L’Art et les Artistes n° 16 de juillet 1906, pages 170 et 171, un article non signé, intitulé Le Monument de Rollinat, retrace la vie du poète à l’occasion de la prochaine inauguration de bas-relief de Rodin à Fresselines. (NB : le directeur de la revue est Armand Dayot.)
Dans L’Intransigeant du 25 août 1906, pages 1 et 2, nous pouvons lire un article intitulé Un Rodin refusé - Le bas-relief de Rollinat, signé Charles Doury. L’auteur relate sa visite au domicile d’Auguste Rodin, puis celui-ci raconte ses souvenirs sur Maurice Rollinat et explique la signification du bas-relief qu’il a sculpté et qui va être posé à Fresselines, et les raisons du choix de l’emplacement retenu sur les murs extérieurs de l’église.
En perspective de l’inauguration prochaine du monument à Maurice Rollinat à Fresselines, Gustave Geffroy signe un article intitulé Le Monument de Rollinat, publié dans L’Aurore du 31 août 1906, page 1. Il se rappelle les bons moments passés avec le poète et revient sur la polémique déclenchée à propos du lieu de pose de ce monument.
Dans Les Annales Politiques et Littéraires, n° 1216 du 14 octobre 1906, pages 241 et 242, à l’occasion de la prochaine inauguration du monument à Maurice Rollinat par Auguste Rodin à Fresselines, Adolphe Brisson, dans un article intitulé Le Frisson de Rollinat et signé Le Bonhomme Chrysale, se remémore ses souvenirs de Maurice Rollinat à Paris. Une photo de monument figure en page VIII du supplément.
Dans le Journal des débats politiques et littéraires du 15 octobre 1906, nous pouvons lire pages 2 et 3, un long article intitulé A propos du monument Rollinat signé Jacques-André Mérys (pseudonyme utilisé par Pierre Blanchon), où l’auteur profite de la prochaine inauguration du bas-relief de Rodin à Fresselines, pour rappeler la vie et l’œuvre du poète.
Dans l’article Le rouage inutile paru dans Le Journal du 20 octobre 1906, page 1, Lucien Descaves parle du rôle du délégué cantonal par rapport aux écoles publiques et pour commencer son article raconte une scène vécue chez Maurice Rollinat où celui-ci prenait son rôle de délégué cantonal très au sérieux.
À l’occasion de l’inauguration du monument à Maurice Rollinat à Fresselines, dans La Dépêche (Toulouse) du 21 octobre 1906, pages 1 et 2, Edmond Haraucourt signe un article intitulé Causeries - Maurice Rollinat où il évoque le poète et sa manière d’interpréter ses textes. Une partie de cet article, à partir du quatrième paragraphe sera reprise par Edmond Haraucourt pour écrire la préface de son livre La peur (Bibliothèque-Charpentier, Eugène Fasquelle éditeur, Paris, 1907, IX + 304 pages) , dédicacée « A la mémoire de mon ami Maurice Rollinat ».
Dans Le Correspondant du 25 octobre 1906, pages 398 à 400, au sein de sa rubrique Les œuvres et les hommes, Édouard Trogan, à l’occasion de l’inauguration du monument de Maurice Rollinat à Fresselines, montre "La mentalité et les diverses « manières » du poète" à travers quelques poèmes.
Suite à l’inauguration du monument de Rodin à Fresselines, Louis Vauxcelles signe dans Le Radical du 30 octobre 1906, page 2, un article intitulé Souvenirs sur Rollinat, dans lequel il retrace la vie du poète. Malheureusement, ce texte comporte plusieurs inexactitudes ou erreurs. À la suite de cette parution, Joseph Pierre écrivit au directeur du Radical, lettre qu’il publiera dans son article A propos du monument de Rollinat paru dans la Revue du Berry de décembre 1906, pages 448 et 449.
Dans La Chronique médicale n° 21 du 1er novembre 1906, page 706, nous pouvons lire un article Comment est mort Rollinat, où le Dr P. Dheur donne des précisions sur les causes de la mort du poète.
Dans L’Intermédiaire des chercheurs et curieux n° 1129 du 10 novembre 1906, pages 695 et 696, nous trouvons trois réponses à la question posée par "Y" sur la fin de vie de Maurice Rollinat, dans le n° 1127 du 20 octobre 1906, page 559. La première signée Victor Deséglise renvoie au numéro d’octobre 1906 de la Revue du Berry ; la seconde non signée parle du monument de Rodin à Fresselines et retranscrit la lettre de l’abbé Boithier, curé de Fresselines, au Figaro en date du 26 août 1906 ; la dernière est d’Octave Uzanne qui donne des précisions sur les causes du décès de Maurice Rollinat.
La Gazette des hôpitaux de Toulouse, n° 45 du 10 novembre 1906, page 360, reprend l’information de La Chronique médicale du 1er novembre 1906, et précise que le Dr P. Dheur a indiqué que Maurice Rollinat était mort de neurasthénie compliquée d’entérite.
Dans La Chronique médicale n° 12 du 15 juin 1907, nous pouvons lire pages 365 à 373, un très long article du Dr L. Grellety intitulé Souvenirs sur Rollinat. Celui-ci reprend les quatre cinquièmes, avec quelques variations mineures, le livre du Dr Lucien Grellety Souvenirs sur Rollinat, étude médico-psychologique (Mâcon, Protat frères imprimeurs, 1907, 29 pages).
Le Radical du 4 janvier 1908, page 1 rubrique Échos, reprend les résultats d’une enquête menée par La Revue sur ce que boivent les artistes et les écrivains, et donne trois exemples dont la réponse de Maurice Rollinat.
À la fin d’un article intitulé Cures de silence, paru dans Le Figaro du 14 septembre 1908, page 1, Lucien Descaves prend l’exemple de Maurice Rollinat à Fresselines. Cet article a été en grande partie repris dans Le Patriote (Bruxelles) du 17 septembre 1908, page 1.
Maurice Vaucaire commence son article Le "Chat-Noir" paru dans Musica, n° 74 de novembre 1908, pages 168 et 169, par la description de sa première soirée dans ce célèbre cabaret où il découvrit Maurice Rollinat. L’article est illustré entre autres, par le dessin "L’ancien « Chat-Noir », boulevard Rochechouart" d’Henri Pille où figure Maurice Rollinat, et le portrait de Maurice Rollinat chantant de Gaston Béthune.
Edmond Haraucourt a fait une conférence sur Le rondel et le rondeau, publiée dans le Journal de l’Université des Annales du 15 décembre 1910, pages 3 à 17 ; il présente la poésie de Maurice Rollinat pages 14 à 16 et la conférence a été illustrée de sept rondels de Maurice Rollinat dits ou chantés.
Le Journal des débats politiques et littéraires du 7 juin 1911, page 2 rubrique Échos, reprend une information parue dans Paris-Journal et publie une lettre de félicitations du Dr Branly à Maurice Rollinat pour sa nomination dans la Légion d’Honneur. Cette même information est également parue dans Le Soleil du 7 juin 1911, page 1, rubrique Échos.
Dans son article Leconte de Lisle bibliothécaire, paru dans le Journal des débats politiques et littéraires du 23 août 1911, page 1, Henri Welshinger cite une appréciation de Leconte de Lisle (peu flatteuse) sur Les Névroses de Maurice Rollinat.
Dans La Société Nouvelle d’octobre 1911, pages 25 à 43, Léon Quénéhen (pseudonyme utilisé par Auguste Reiser) signe un long article intitulé tout simplement Maurice Rollinat, où après une biographie, il analyse l’œuvre du poète en tant que "chantre de la nature".
Dans un article paru dans le numéro du 15 janvier 1912 de La Revue de Paris (pages 367 à 395) et intitulé Un poète du fantastique et de la nature Maurice Rollinat, Pierre Blanchon, après une brève biographie, analyse l’œuvre de cet auteur en illustrant son texte de nombreux extraits de poèmes (NB : Pierre Blanchon a écrit plusieurs articles sur Maurice Rollinat sous le pseudonyme de Jacques-André Mérys).
Dans La Revue du 15 juillet 1912, pages 145 à 159, Georges Normandy publie dix-huit lettres de Maurice Rollinat à Charles Buet. Il s’agit de documents très intéressants sur les relations entre les deux hommes. (Lire cet article.)
Georges Lorin, dans un article intitulé Souvenirs sur Rollinat, paru dans La revue musicale SIM, n° VI du 15 juin 1913, pages 14 à 29, raconte ses premières rencontres avec Maurice Rollinat, parle de Maurice Rollinat aux Hydropathes et au Chat-Noir, de la soirée chez Sarah Bernhardt, etc. Il termine son article en analysant la musique de Maurice Rollinat et en racontant l’anecdote sur le nom donné à une rue de Châteauroux.
Dans L’Intermédiaire des chercheurs et des curieux, n° 1372 du 10 aout 1913, page 144, Ulric R.-D. demande des informations sur un quatrain de Maurice Rollinat figurant en dédicace sur l’ouvrage Les Névroses offert à Barbey d’Aurevilly. Une première réponse succincte est apportée par L. R. dans le n° 1374 du 30 août 1913, page 263. Il faut attendre le numéro 1377 du 30 septembre 1913, pour avoir page 392, une réponse détaillée d’Octave Uzanne qui précise comment Maurice Rollinat remis cet exemplaire à Barbey d’Aurevilly et dit l’admiration que le premier avait pour le second. Des informations complémentaires sont apportées par A. Ponroy dans le n° 1388 du 20 janvier 1914, page 70.
Dans Foi et Vie du 16 août - 1er septembre 1913, pages 479 à 485, figure un article intitulé Lettre de la Creuse : La chanson rustique de Maurice Rollinat de Raoul Gout. À l’occasion d’une visite à Fresselines, l’auteur fait une description de la poésie de Maurice Rollinat qu’il apprécie beaucoup.
L’article Souvenirs sur Rollinat de Georges Lorin est répertorié dans Le Ménestrel n° 40 du 4 octobre 1913, page 319, à la rubrique Nouvelles diverses, avec une mise en valeur des points forts.
Dans le Gil Blas du 26 janvier 1914, page 3 rubrique Les Lettres, nous pouvons lire un article intitulé La vérité sur la mort de Rollinat signé A. S., qui consiste principalement en la publication d’une lettre dont l’auteur et le destinataire ne sont pas identifiés, datée du 12 novembre 1903, qui décrit les dernières semaines de la vie de Maurice Rollinat. Des précisions sont apportées dans l’édition du 31 janvier, page 4 rubrique Les Lettres, sous la forme d’une lettre d’Hugues Lapaire. Des informations complémentaires sur l’auteur de la lettre et les causes du décès sont données par M. Albert Lamotte dans l’édition du 3 février, page 3 rubrique Les Lettres. Le 5 février, page 3 toujours dans la rubrique Les Lettres, c’est M. Jehan Durieux qui fait part d’informations complémentaires sur les causes de la mort de Maurice Rollinat. (NB : Cette lettre du 12 novembre 1903 a été publiée dans Fin d’Œuvre, pages 326 à 328 ; il est indiqué comme auteur Saint-Pol Bridoux, cousin de Maurice Rollinat, et comme destinataire M. Fernand des Chaumes.)
À l’occasion de la parution de Fin d’Œuvre de Maurice Rollinat, dans un article intitulé Fin de légende et paru dans Le Petit Marseillais du 11 décembre 1919, page 1, Henry Céard, de l’Académie Goncourt, se remémore les livres Dans les Brandes et Les Névroses de Maurice Rollinat qui lui avait prêtés Henri Baldini, un collègue et ami du poète, ainsi qu’une soirée chez Alphonse Daudet au cours de laquelle il avait entendu Maurice Rollinat chanter. Il termine son article en parlant du poète à partir d’informations parues dans la presse.
Jean Ajalbert dans son article Passants et Souvenirs paru dans L’Écho de Paris du 15 janvier 1920, page 1, parle des Hydropathes, du Chat Noir et des personnes qu’il a alors côtoyées ; un quart du texte est consacré à retracer la vie de Maurice Rollinat.
Dans le n° 190 de décembre 1922 du Larousse mensuel illustré, pages 993 et 994, figure un article sur Rollinat (Maurice) par Emile Vinchon (Paris, 1921, in-I8), signé Emile Magne. Ce résumé du livre constitue une bonne biographie du poète.
Dans son article Un Musicien-Sorcier - Maurice Rollinat, paru dans Comœdia du 1er octobre 1923, page 4, Jehan Durieux essaie d’analyser la musique et la poésie (surtout la poésie) de Maurice Rollinat, mais c’est long et laborieux !
Dans Floréal - L’hebdomadaire illustré du monde du travail, du 27 octobre 1923, pages 676 et 677, Jean-Paul Dubray signe un article intitulé Un poète musicien Maurice Rollinat, dans lequel il retrace rapidement la vie de l’auteur et essaie de comprendre pourquoi il a quitté Paris et préféré la campagne.
Dans Les Nouvelles littéraires artistiques et scientifiques du 27 octobre 1923, page 2 rubrique Échos et Informations, figure un court article intitulé Maurice Rollinat et signé Léon Treich, qui retrace la vie et l’œuvre du poète à l’occasion du quarantième anniversaire de la parution des Névroses.
Pour le vingtième anniversaire de la mort de Maurice Rollinat, dans La Dépêche (Toulouse) du 31 octobre 1923, page 1, Gustave Geffroy publie un article intitulé tout simplement "Souvenirs de Rollinat" où il retrace l’œuvre du poète.
Le Supplément littéraire du Figaro du 12 avril 1924 publie page 3, le fac-similé de l’avis donné par Anatole France, alors lecteur chez l’éditeur Lemerre, sur le projet de livre Les Tentations de Maurice Rollinat (qui sera ensuite publié chez Charpentier sous le titre Les Névroses).
Tancrède Martel, dans un article intitulé tout simplement Maurice Rollinat, publié dans Nos Poètes n° 32 du 15 juillet 1925, pages 289 à 305, raconte ses deux rencontres avec Maurice Rollinat à Paris, puis analyse sa poésie, surtout celle des livres Dans les Brandes et Les Névroses.
L’intermédiaire des chercheurs et des curieux, n° 1627 des 10-20-30 août 1925, pages 646 et 647 reprend un article de la Revue du Berry d’avril-mai-juin 1925, dans lequel J. Pierre explique comment Les Névroses de Maurice Rollinat n’ont pas été publiées chez Lemerre suite au commentaire fait par Anatole France.
L’Intermédiaire des chercheurs et des curieux, n° 1629 du 10 octobre 1925, pages 759 et 760, publie un article intitulé "Maurice Rollinat, musicien" comprenant une lettre non datée de Maurice Rollinat à Maurice Montet (fils de Joseph Montet, Chroniqueur au Gil Blas).
Dans L’Intransigeant du 24 novembre 1925, page 2, rubrique Les Lettres, un court article revient sur les causes du décès de Maurice Rollinat et parle de suicide. Dans l’édition du 24 décembre, page 2, rubrique Les Lettres, M. Ernest Gaubert, directeur du Journal du Département de l’Indre, précise que pour l’Église, Maurice Rollinat ne s’est pas suicidé et il donne le texte figurant sur le registre des sépultures.
Dans un article intitulé Sur un carnet inédit de Rollinat, publié dans le Supplément littéraire du Figaro du 13 février 1926, page 1, André Romane et Jacques Ritreix présentent le contenu d’un des cahiers utilisés par Maurice Rollinat. L’intérêt principal de cet article réside dans l’analyse de l’élaboration du poème Le Boudoir.
À la veille d’une rencontre des Amis de Maurice Rollinat à Fresselines, et de l’apposition d’une plaque commémorative à Châteauroux, Gaston Picard signe dans le Supplément littéraire du Figaro du 30 octobre 1926, page 2, un article intitulé Maurice Rollinat, Berrichon. Mais le titre est trompeur car l’article traite de la période parisienne, en particulier de la soirée chez Sarah Bernhardt, et cite de nombreux extraits de l’article que Charles Buet publia dans Le Gaulois à cette occasion.
À l’occasion de la pose d’une plaque de marbre sur la maison natale de Maurice Rollinat à Châteauroux, Félicien Pascal signe dans Les Annales Politiques et Littéraires n° 2262 du 31 octobre 1926, page 463, un article intitulé Un évadé de la gloire, dans lequel il revient sur la période parisienne du poète.
Félicien Pascal signera un second article dans Le Gaulois du 6 novembre 1926, page 5, intitulé tout simplement Maurice Rollinat, où il retrace la vie du poète.
Émile Vinchon, dans un article intitulé Maurice Rollinat, rond-de-cuir, paru dans Le Domaine, revue littéraire, artistique et théâtrale de l’enregistrement et du notariat, n° 49 du 15 novembre 1926 (pages 5 à 8) décrit la jeunesse et le début de la vie professionnelle de Maurice Rollinat.
Dans La Revue du Centre (Nivernais - Berry - Bourbonnais - Bourgogne - Orléanais) de novembre-décembre 1926, pages 184 et 185, figure l’article Claude Monet à Fresselines d’Émile Vinchon, dans lequel Maurice Rollinat est cité.
Dans Le Figaro du 4 avril 1927, page 4 rubrique Courrier des lettres, est reproduite la dédicace que Maurice Rollinat a faite à Barbey d’Aurevilly sur un exemplaire des Névroses.
Maurice Talmeyr, nom de plume de Marie-Justin-Maurice Coste, dans un article intitulé Souvenirs de la comédie humaine - III - Histoire d’une maison, d’une bière et d’une conférence, publié dans Le Correspondant n° 1562 du 25 octobre 1927, décrit Maurice Rollinat chantant (page 265).
Dans un article intitulé La vérité sur le salon de Nina de Villard paru sous forme de feuilleton dans Le Figaro, Baude de Maurceley, dans l’épisode du 7 avril 1929 (page 10), raconte la réception de Maurice Rollinat dans ce salon.
Dans le Supplément consacré aux conférences de la Haute-Auvergne du numéro d’avril-septembre 1929 de la Revue de la Haute-Auvergne, figure pages 3 à 9, un compte rendu (signé E. D., c’est-à-dire : Ernest Delmas) de la conférence intitulée Le poète de la Nature, de l’Epouvante et du Destin, Maurice Rollinat, de Raymond Mil, donnée le 16 décembre 1927.
Émile Vinchon, dans un article intitulé La Vérité sur Maurice Rollinat, paru Le Figaro du 9 novembre 1929, page 5, rubrique La vie littéraire, essaie de rétablir la vérité sur un certain nombre d’évènements de la vie de Maurice Rollinat, en particulier les causes de son décès.
Jacques Patin dans un article intitulé La jeunesse fiévreuse de Rollinat et publié en trois parties dans Le Figaro, (éditions du 1er février 1930, pages 5 et 6, du 8 février 1930, pages 5 et 6 et du 15 février 1930, pages 5 et 6), raconte la jeunesse de Maurice Rollinat et illustre son texte de lettres et de poèmes de cet auteur qualifiés « d’inédits ».
Dans le Courrier des lecteurs du Figaro du 13 août 1930, page 5, figure un article intitulé La fin de Maurice Rollinat qui reprend une partie d’un texte publié dans les Feuilles du Bas-Berry.
Dans Le Journal du 18 septembre 1930, page 4, Lucien Descaves dans son article Maurice Rollinat et son œuvre, à l’occasion de la sortie du livre d’Hugues Lapaire sur Maurice Rollinat, évoque la vie et l’œuvre du poète.
Dans un long article intitulé Le Cas de Maurice Rollinat paru dans La Dépêche (Toulouse) du 25 janvier 1931, page 1, Edmond Haraucourt évoque le vie de celui-ci à la fin des années 1870 et au début des années 1880, à Paris.
Émile Vinchon, dans un article intitulé La Vérité sur Maurice Rollinat, paru Le Domaine, n° 103 de mai 1931 (pages 203 à 208) essaie de rétablir la vérité sur un certain nombre d’évènements de la vie de Maurice Rollinat, en particulier les causes de son décès. Cet article était déjà paru dans Le Figaro du 9 novembre 1929, page 5, rubrique La vie littéraire.
La conférence L’arbre et l’eau chez Maurice Rollinat prononcée par Émile Vinchon le 2 août 1930 à Argenton-sur-Creuse, devant les membres de la Société Gay-Lussac, est parue dans la revue L’Arbre et l’Eau de 1931, pages 174 à 182 (cette revue est publiée annuellement par la "Société Gay-Lussac et des Congrès de l’Arbre et de l’Eau" de Limoges).
La dernière partie de l’article Trois déjeuners... chez Renan, Théodore de Banville, Rollinat, d’Armand Dayot, paru dans Les Nouvelles littéraires, artistiques et scientifiques du 1er octobre 1932, page 7, est consacrée à Maurice Rollinat. L’auteur parle surtout de la vie du poète à Fresselines et raconte une scène de repas en présence de l’abbé Daure.
Dans Les Nouvelles littéraires, artistiques et scientifiques du 20 janvier 1934, page 10, la rubrique Nos pages anthologiques est entièrement consacrée à Maurice Rollinat avec un article d’Alexandre Zévaès illustré de deux portraits et complété de six poèmes et d’extraits de textes de sept auteurs parlant du poète (Alexandre Zévaès est le pseudonyme de Gustave-Alexandre Bourson).
Dans Les Nouvelles littéraires, artistiques et scientifiques du 24 mars 1934, page 1, nous pouvons lire un article de Lucien Descaves intitulé Du nouveau sur Rollinat. L’auteur se remémore des souvenirs communs à Paris et à Fresselines et termine en affirmant que Maurice Rollinat est mort d’un cancer de l’intestin.
Dans le Journal des débats politiques et littéraires du 1er août 1934, page 1, Raymond Christoflour signe un article intitulé La musique de Rollinat où il analyse celle-ci.
Les quatre premiers paragraphes de l’article Hommes et choses - Léon Bloy d’Edmond Haraucourt, paru dans La Dépêche (Toulouse) du 16 décembre 1934, page 1, racontent le séjour fait en août 1882 par Léon Bloy et Edmond Haraucourt à Bel-Air, invités par Maurice Rollinat. Ils seront repris presque à l’identique, dans le chapitre « Regards en arrière » du livre d’Edmond Haraucourt Mémoires – Des Jours et des Gens (Ernest Flammarion, Paris, 1946, 219 pages), pages 132 à 135.
Dans Comœdia du 15 octobre 1935, pages 1 et 2, nous pouvons lire un long article de Raymond Christoflour intitulé Ce qu’était la musique pour Maurice Rollinat. Dans celui-ci, l’auteur se remémore Maurice Rollinat jouant et chantant et analyse sa musique telle qu’il l’a perçoit. Suite à cet article et aux réactions qu’il a déclenchées, dans l’édition du 23 novembre, page 3, Raymond Christoflour dans un article intitulé Autour d’une polémique - Sur la Musique de Rollinat et ses perspectives, publie une lettre de Roland Miniot représentative du "point de vue de [ses] adversaires" puis précise à nouveau sa vision de la musique de Maurice Rollinat.
Dans Candide du 2 juillet 1936, page 4, Léon Daudet signe une critique du livre L’œuvre [littéraire] de Maurice Rollinat par Émile Vinchon ; en réalité, il s’agit d’un article de Léon Daudet sur Maurice Rollinat.
Dans la rubrique Théâtre de Le Figaro du 8 février 1938, page 4, vous trouverez un article de Maurice Donnay intitulé Mes amis du Chat-Noir. Toute la fin du texte est consacrée à Maurice Rollinat. L’article est illustré notamment du portrait de Maurice Rollinat par Maillaud.
Dans La Vie limousine et La Brise n° 155 du 25 février 1938, pages 335 à 340, nous pouvons lire une très intéressante interview : M. E. Alluaud nous parle de son ami le poète Maurice Rollinat. Eugène Alluaud s’attache à rétablir un certain nombre de vérités sur le poète, en particulier sur sa fin de vie.
En complément de l’interview d’Eugène Alluaud parue dans le n° 155, La Vie limousine et La Brise publie dans le n° 161-162 d’août-septembre 1938, pages 505 à 509, un article de Raymond D’Étiveaud intitulé Une victime de son époque : Maurice Rollinat. Malheureusement, l’auteur mêle trop souvent des idées personnelles sur le poète ou la littérature en général, à des faits exacts, ce qui rend l’article difficilement exploitable.
Gaëtan Sanvoisin profite de la prochaine érection d’un buste en bronze de Maurice Rollinat à Châteauroux, pour publier dans le Journal des débats politiques et littéraires du 13 janvier 1939, page 1, un article intitulé L’hommage régionaliste à Rollinat dans lequel il retrace la vie du poète.
Dans L’Action française du 19 janvier 1939, page 1, Léon Daudet évoque dans un article intitulé A propos de Maurice Rollinat, ses souvenirs personnels sur Maurice Rollinat qu’il a personnellement connu lorsque ce dernier fréquentait le salon littéraire d’Alphonse Daudet.
Dans Candide du 17 mai 1939, page 7, Lucien Descaves, à l’occasion de la prochaine inauguration le dimanche 21 mai 1939, du monument à Maurice Rollinat par Georges Lorin, installé dans le square du Palais de Justice à Châteauroux, dans un article intitulé Maurice Rollinat, personnage fantastique, se remémore la vie de son ami et les moments passés ensemble, notamment à Fresselines.
Dans L’Ordre du 21 mai 1939, pages 1 et 5, Louis Mandin signe un article intitulé La vérité sur la mort du poète Maurice Rollinat, où il publie une lettre que Maurice Rollinat lui a envoyée le 30 août 1903, vraisemblablement parmi les dernières lettres écrites par le poète. (Lire cet article.)
Dans Ce Soir du 13 juin 1939, page 2, Francis Jourdain signe un article intitulé tout simplement Maurice Rollinat. L’auteur, fils de Frantz Jourdain ami de Maurice Rollinat, se rappelle les visites de Maurice Rollinat à ses parents, il était alors très impressionné, et il assimile toujours le poète à "la Peur" qu’il ressentait dans ces moments-là.
Dans les Mémoires de la Société des Sciences Naturelles et Archéologiques de la Creuse, tome 27 1938-1940, figure pages 306 à 330, un long texte d’Émile Vinchon intitulé Maurice Rollinat dans la Creuse, où il retrace la vie du poète à Fresselines.
Dans Le Divan d’avril-juin 1940, pages 222 à 230, nous trouvons un article intitulé Quelques lettres inédites de Rollinat et signé Dussane. Il s’agit de trois lettres à son ami Camille Guymon datées de 1877 et 1879 où il parle en particulier de Marie Sérullaz devenue son épouse en janvier 1878.
Notre province (revue éditée sous le patronage du Centre d’études régionalistes de Limoges) publie dans son n° 13 de mars-avril 1943, pages 70 à 75, un long article de Jeanne Labesse intitulé La Vie de Maurice Rollinat ; il s’agit d’une biographie romancée parfois imaginée. Dans le n° 16 de juillet 1943, pages 152 à 155, nous pouvons lire du même auteur, l’article De Baudelaire et d’Edgar Poë à Rollinat ; c’est un complément à l’article précédent avec une analyse de la poésie de Maurice Rollinat comprenant au début une comparaison avec Edgar Poë et vers la fin une allusion à Baudelaire à propos du sonnet de ce dernier sur le chat.
La communication d’Amédée Carriat Le cent-cinquantenaire de Maurice Rollinat prononcée le 16 novembre 1996, est publiée dans les Mémoires de la Société des Sciences Naturelles et Archéologiques de la Creuse - Année 1996, pages 138 à 141. Dans celle-ci, l’auteur évoque la période creusoise de Maurice Rollinat et parle de sa notoriété passée et actuelle.
Annonces et présentations de livres ou de partitions de musique de Maurice Rollinat |
Dixains réalistes
Une présentation des Dixains réalistes, signée Jean Prouvaire, est parue dans La République des Lettres du 16 juillet 1876, page 63. Maurice Rollinat est cité avec un commentaire peu courtois. (Jean Prouvaire est un pseudonyme vraisemblablement utilisé par Catulle Mendès.) (Lire cet article.)
Dans Le Rappel du 24 juillet 1876, page 2, rubrique Les On-dit, figure une présentation des Dixains réalistes ; Maurice Rollinat est juste cité parmi les auteurs. (Lire cet article.)
Dans Paris-Journal du 20 septembre 1876, page 3, au sein de la rubrique Les Livres signée Hippolyte Fournier, nous pouvons lire une longue présentation des Dixains réalistes ; Maurice Rollinat est juste cité parmi les auteurs. (Lire cet article.)
Dans les Brandes, édition de 1877
Dans Le Courrier littéraire n° 5 du 10 mai 1877, pages 198 à 205, T. Colani, après l’annonce de la parution de Dans les Brandes, procède à une analyse de la poésie de Maurice Rollinat et termine son article de manière très élogieuse. (Lire cet article.)
Dans Les Écoles - Journal des étudiants, n° 11 du 20 mai 1877, nous pouvons lire en page 8, rubrique Chronique des livres, une présentation fort sympathique signée G. T., de Dans les Brandes. (Lire cet article.)
Louis de Villotte (pseudonyme utilisé par Octave Uzanne) consacre sa Petite lorgnette poétique, parue dans Le Conseiller du Bibliophile, du 1er juin 1877, pages 91 et 92, à la présentation de Dans les Brandes. Le commentaire est très sympathique et Maurice Rollinat qualifié de "poëte d’avenir". (Lire cet article.)
Dans La Liberté du 18 juin 1877, page 4, rubrique Revue bibliographique, figure l’annonce de la parution de Dans les Brandes, accompagnée d’un paragraphe de présentation où Maurice Rollinat est qualifié de "poëte de grand avenir". (Lire cette annonce.)
Dans Le National du 19 juin 1877, page 3, Théodore de Banville consacre la deuxième partie de sa Revue dramatique et littéraire à une présentation élogieuse de Dans les Brandes. (Lire cet article.)
Dans la rubrique Causerie littéraire de La Revue politique et littéraire - Revue des cours littéraires, du 14 juillet 1877, page 43, figure la présentation de Dans les Brandes signée Maxime Gaucher. Le commentaire est assez négatif sur les thèmes campagnards du recueil, mais positif sur la forme. (Lire cet article.)
Dans Le Bon Sens – Journal des intérêts démocratiques de l’Aude du 7 juillet 1877, page 3, Auguste Fourès présente de manière sympathique Dans les Brandes. Cet article sera repris quasi à l’identique, mais en rajoutant le poème « Les bottines d’étoffe » dans Le Moniteur de la Lozère du 15 juillet 1877, page 3.
Dans Le Tintamarre du 15 juillet 1877, page 6, Georges Nazim, nom de plume de Georges Mazinghien, signe une présentation de Dans les Brandes. Le commentaire est très sympathique. (Lire cet article.)
Dans Le Petit Parisien du 17 juillet 1877, page 3 rubrique Causeries d’un liseur, nous trouvons une présentation sympathique de Dans les Brandes. (Lire cet article.)
Dans La Vie littéraire du 26 juillet 1877, page 3, rubrique Bibliographie, nous pouvons lire une présentation de Dans les Brandes, signé Hector l’Estraz (pseudonyme utilisé par Gustave Rivet). L’auteur insiste sur le côté nature et termine en qualifiant le livre de « début remarquable ». (Lire cet article.)
Robert Charlie (pseudonyme utilisé par Jean Oscar Labourasse) présente le livre Dans les Brandes dans Le Mot d’ordre du 6 août 1877, page 3, rubrique Les livres, de manière plutôt sympathique et conclue son article par cette expression : « c’est de la poésie saine et franche, "sans difficultés" ». (Lire cet article.)
Charles Canivet dans sa rubrique Poètes et poésies parue dans Le Soleil du 9 septembre 1877, page 3, présente et analyse Dans les Brandes. Il qualifie Maurice Rollinat d’artiste, mais il n’aime pas les bouses de vache dans les poèmes. (Lire cet article.)
Dans Le Rappel du 4 novembre 1877, page 3 rubrique Les Livres signée Émile Blémont, nous pouvons lire une présentation de Dans les Brandes ; le commentaire est sympathique. (Lire cet article.)
Six mélodies (poèmes et musique de Maurice Rollinat)
Dans un article intitulé Notes de musique, paru dans Le Figaro du 22 juin 1881, page 6, Charles Darcours présente un certain nombre de publications musicales récentes dont les Six Mélodies de Maurice Rollinat. (Lire cet article.)
Dans le Gil Blas du 22 juin 1881, page 2 rubrique Petits Echos signée Christian de Trogoff, figure l’annonce de la parution chez Hartmann de Six mélodies de Maurice Rollinat. Celui-ci est qualifié de "musicien raffiné". (Lire cet article.)
Six mélodies (sur des poèmes de Charles Baudelaire)
Dans Les Coulisses parisiennes n° 19 d’avril 1882, page 2, rubrique Échos, figure l’annonce de la publication chez Hartmann de six mélodies de Maurice Rollinat sur des poèmes de Charles Baudelaire. (Lire cette annonce.)
Fernand Crésy (nom de plume de Fernand Icres) signe dans Le Réveil du 31 mai 1882, pages 2 et 3, un long article intitulé tout simplement Musique, consacré à Maurice Rollinat. Il présente les partitions de musique éditées chez Hartmann et la manière dont Maurice Rollinat interprète ses chansons. Il termine en indiquant que Mlle Ducasse et Boudouresque ont récemment chanté des mélodies de Maurice Rollinat. (Lire cet article.)
Trois valses
Dans Le Chat Noir n° 40 du 14 octobre 1882, page 4, figure l’annonce de la parution de Trois Valses chez Hartmann. L’auteur de l’article, Henri Rivière, donne des titres à ces partitions alors que Maurice Rollinat ne les a pas nommées. (Lire cet article.)
Les Névroses
Dans Le Monde illustré du 20 janvier 1883, page 35 (la troisième du numéro), dans la rubrique Courrier de Paris signée Pierre Véron, on peut lire une brève annonce de la prochaine parution des Névroses, mais avec un a priori négatif puisque qu’il est indiqué que le titre pourrait être Les Nécroses. Le même Pierre Véron dans l’édition du 3 mars 1883, page 130 (la deuxième du numéro), toujours dans la rubrique Courrier de Paris, présente Les Névroses avec un commentaire très négatif. (Lire ces deux articles.)
La Jeune France du 1er février 1883 publie pages 621 à 626, trois poèmes de Maurice Rollinat suivis d’un paragraphe signé A.A. (Albert Allenet, le rédacteur en chef ?) présentant le poète de manière élogieuse et annonçant la prochaine parution des Névroses. (Lire ce paragraphe.)
Dans Bibliographie de la France (ou journal général de l’imprimerie et de la librairie) n° 7 du 17 février 1883, page 273, figure l’annonce par Charpentier de la publication des Névroses, avec la mention "En vente aujourd’hui". Dans le n° 10 du 10 mars 1883, page 419, Charpentier annonce la mise en vente du troisième mille des Névroses en précisant que "La première édition a paru le 16 février dernier".
Dans L’Intransigeant du 22 février 1883, pages 1 et 2, figure l’annonce de la parution des Névroses suivie six poèmes : "Marches funèbres", "La Belle Fromagère" (seulement les cinq premières strophes), "Ombres visiteuses", "Les petits Fauteuils", "Le petit Lièvre" et "La Buveuse d’absinthe".
Dans La Justice du 23 février 1883, page 3, nous pouvons lire l’annonce de la parution des Névroses et quatre poèmes : "Villanelle du Ver de terre", "Le petit Lièvre", "Les Frissons" et "Les Roses". (Lire cette annonce.) Dans l’édition du 1er mars 1883, pages 1 et 2, Gustave Geffroy signe un très long article simplement intitulé Les « Névroses », dans lequel il présente l’ouvrage et analyse de manière élogieuse la poésie de Maurice Rollinat. (Lire cet article.) Celui-ci sera repris dans son livre Notes d’un journaliste (G. Charpentier et Cie Éditeurs, Paris, 1887), pages 278 à 286.
Dans La Petite Presse du 23 février 1883, pages 1 et 2, dans un long article intitulé Un nom nouveau, Pierre Véron présente le livre Les Névroses de Maurice Rollinat de manière très négative. (Lire cet article.)
La Chronique d’Henry Fouquier parue dans Le XIXe siècle du 24 février 1883, page 3, est consacrée à la présentation des Névroses ; l’auteur de l’article n’aime pas le côté macabre du poète. (Lire cet article.)
Dans son article Le mouvement parisien paru dans Le Phare de la Loire du 25 février 1883, pages 1 et 2, Léon Séché raconte une soirée chez Paul Eudel à laquelle participait Maurice Rollinat, puis présente longuement Les Névroses. (Lire cet article.)
Le Rappel du 25 février 1883, page 3, annonce la parution des Névroses et publie le poème "Les Frissons". Louis Ulbach, dans l’édition du 11 mars, page 3 rubrique Les livres, fait une analyse détaillée de l’ouvrage avec des commentaires élogieux. (Lire l’article du 11 mars.)
Dans La Revue critique n° 8 du 25 février 1883, page 62 rubrique Critique littéraire, Léo d’Orfer (pseudonyme utilisé par Marius Pouget) fait une présentation des Névroses. (Lire cet article.)
Dans L’Actualité du 26 février 1883, page 3 rubrique Le Livre du jour, figure une présentation des Névroses. (Lire la partie de l’article concernant Maurice Rollinat.)
Dans La Presse du 2 mars 1883, page 2 rubrique Chronique, nous pouvons lire une longue présentation et analyse des Névroses, signée Démocritos. L’article est au début plus négatif que positif, mais l’auteur comme pour se racheter, termine par des poèmes qu’il a bien aimés. (Lire cet article.)
Une présentation du livre Les Névroses est parue dans Le Tintamarre du 4 mars 1883, page 6. (Lire la partie de l’article concernant Maurice Rollinat.)
Dans Le Temps du 6 mars 1883, page 3, dans sa rubrique Le mouvement littéraire, Paul Bourde fait une longue présentation des Névroses en mettant surtout en valeur le côté nature, mais en regrettant le côté macabre. (Lire la partie de l’article concernant Maurice Rollinat.)
Dans Le National du 6 mars 1883, page 2, une partie de la rubrique Le monde comme il va signée Jean des Gaules, pseudonyme utilisé par Édouard Siebecker, est consacrée à la notion de "névrose", aux "névrosés" et à une présentation du livre Les Névroses de Maurice Rollinat. (Lire la partie de l’article concernant Maurice Rollinat.)
Dans La Bavarde du 10 mars 1883, page 1, nous pouvons lire un long article intitulé Les Névroses signé E. Desclauzas, où la présentation du livre de Maurice Rollinat est un prétexte pour parler de cette maladie fin de siècle appelée "névrose". (Lire cet article.)
À l’occasion de la parution des Névroses, Maxime Gaucher signe une "Causerie littéraire" consacrée à Maurice Rollinat, dans la Revue politique et littéraire de la France et de l’étranger - Revue des cours littéraires, du 10 mars 1883, pages 311 et 312. Comme ce fut le cas lors de la parution de Dans les Brandes, le commentaire est très négatif. (Lire cet article.)
Jean de Nivelle (pseudonyme utilisé par Charles Canivet) dans Le Soleil du 12 mars 1883, pages 1 et 2, signe un long article intitulé Les Névroses de M. Rollinat. Celui-ci est qualifié de "poète de premier ordre" bien que l’auteur formule certaines remarques négatives. (Lire cet article.)
Dans Le Figaro du 14 mars 1883, page 6, dans sa "Revue bibliographique", Philippe Gille présente Les Névroses. Visiblement il n’aime pas le côté morbide du poète. (Lire la partie concernant Maurice Rollinat.)
Dans le Beaumarchais du 18 mars 1883, pages 6 et 7, E. Bonnet signe un long article intitulé Rollinat & les "Névroses" ; les commentaires sont globalement négatifs. (Lire cet article.)
Dans le n° 32 du 25 mars 1883 de Paris Moderne, page 178, présentation de Les Névroses par Jean de Lise, avec un commentaire très négatif. (Lire cet article.)
Dans La Revue lyonnaise de mars 1883, pages 289 et 290, nous pouvons lire une présentation des Névroses signée C. Lavenir ; celui-ci préfère le côté nature au côté macabre. (Lire cette présentation.)
Dans Le Pays du 6 avril 1883, page 3, rubrique Revue Littéraire signée H. Pellerin, se trouve une présentation des Névroses. (Lire cette présentation.)
Dans Le Livre - Revue du monde littéraire du 10 avril 1883, figure pages 247 et 248, rubrique Comptes rendus analytiques des publications nouvelles - Poésies, une présentation des Névroses signée U. (c’est-à-dire Octave Uzanne, rédacteur en chef). Le commentaire est très positif et défend le poète contre la critique. (Lire cette présentation.)
Dans le Gil Blas du 11 avril 1883, page 2 rubrique Avis aux amateurs, nous apprenons que la quatrième édition des Névroses vient de paraître. Une publicité figure en page 4.
Dans Le Figaro du 14 avril 1883, nous trouvons page 3, un entrefilet annonçant que la quatrième édition des Névroses vient de paraître, et page 4, une publicité pour ce même livre sur deux colonnes.
Dans sa rubrique Courrier de Paris parue dans L’Univers illustré du 21 avril 1883, page 242 (deuxième du numéro), Gérome, pseudonyme utilisé par Anatole France, fait une présentation des Névroses et commence par une description de Maurice Rollinat disant ses vers. (Lire la partie de l’article concernant Maurice Rollinat.)
Dans le n° 52 (avril 1883) de la Bibliothèque universelle et Revue suisse, rubrique Chronique parisienne, pages 178 et 179, figure une présentation des Névroses ; le commentateur en fait une critique très négative, il s’appuie par exemple sur le mot "putréfaction" pour démolir l’ouvrage, puis conclue en recommandant de fermer le livre. (Lire la partie de l’article concernant Maurice Rollinat.)
Dans les n° 20 du 6 mai 1883, page 1, et n° 21 du 13 mai 1883, page 2, de Le Zig-Zag, nous pouvons lire un long article intitulé Du réalisme en poésie - M. Maurice Rollinat - Les Névroses, signé "Un Rhétoricien masqué". L’auteur parle d’abord de la poésie réaliste et de Baudelaire, on comprend qu’il n’aime pas ce style de poésie. Puis il présente Maurice Rollinat et son livre Les Névroses ; il reconnait des qualités au poète mais critique les aspects réalistes de certains textes. En conclusion de l’article il dit préférer les poètes classiques qui respectent les traditions. (Lire cet article en deux parties.)
Dans le numéro de mai 1883 de Polybiblion - Revue bibliographique universelle, pages 396 à 398, Jean Davranches, pseudonyme utilisé par Jean Vaudon, fait une longue présentation des Névroses de Maurice Rollinat. Celle-ci est très négative avec seulement les aspects macabres mis en exergue. (Lire le texte concernant Maurice Rollinat.)
Dans Le Constitutionnel du 6 juillet 1883, page 3 (et dans Le Pays du 6 juillet 1883, page 3 - les deux journaux sont identiques), Jules Barbey d’Aurevilly signe un très long article intitulé Les Névroses par M. Maurice Rollinat qui va bien au delà de la présentation et de l’analyse du livre, et complète ainsi l’article du même auteur paru dans Le Constitutionnel du 2 juin 1882. (Lire l’article paru dans Le Constitutionnel du 6 juillet 1883.) L’auteur reprendra avec de légères modifications cet article pour constituer les points IV à VII (pages 331 à 344) de la partie consacrée à Maurice Rollinat dans son livre Les Œuvres et les Hommes - Les Poètes (Alphonse Lemerre éditeur, Paris, 1889, 361 pages).
Dans les Brandes, édition de 1883
Dans Le Réveil du 3 août 1883, page 1, Edmond Lepelletier dans un article intitulé tout simplement Dans les Brandes, fait une présentation de ce livre. Il semble qu’il ne connaisse Maurice Rollinat qu’à travers ses poèmes macabres et ignore son côté chantre de la nature. (Lire cet article.)
Dans La Revue critique n° 31 du 5 août 1883, en troisième page de couverture, rubrique Bibliographie de E. Bulin, figure l’annonce de la mise en vente le jour même de Dans les Brandes, avec une courte présentation. (Lire cette présentation.)
Dans La République Française du 13 août 1883, page 3, Fabrice W., pseudonyme utilisé par Valéry Vernier, dans sa rubrique Livres, présente Dans les Brandes de manière sympathique. (Lire cette présentation.)
Dans le Gil Blas du 14 août 1883, page 3 rubrique Les livres, nous pouvons lire une présentation de Dans les Brandes signée Paul Ginisty ; le commentaire est sympathique, dommage que les exemples de poèmes comportent autant de fautes. (Lire cette présentation.) Des encarts publicitaires pour cet ouvrage sont parus dans les éditions du 17 septembre, page 4, et du 30 septembre, page 4.
Dans Le XIXe siècle du 15 août 1883, page 3, figure l’annonce de la parution de Dans les Brandes. (Lire cette annonce.)
Dans Le Gaulois du 19 août 1883, un entrefilet en page 3, annonce la parution de Dans les Brandes à la librairie Charpentier et en page 4 figure un encart publicitaire pour le livre. (Lire cette annonce et le texte de la publicité.)
Dans Le Figaro du 22 août 1883, page 6, Philippe Gille dans sa rubrique Revue bibliographique présente Dans les Brandes. (Lire cette annonce.)
Dans La Justice du 25 août 1883, page 1, la Chronique de Gustave Geffroy est consacrée à Dans les Brandes de Maurice Rollinat ; dans celle-ci, il présente l’ouvrage et analyse de manière élogieuse la poésie de Maurice Rollinat. Cet article sera repris dans son livre Notes d’un journaliste (G. Charpentier et Cie Éditeurs, Paris, 1887), pages 286 à 292. (Lire l’article du 25 août 1883.)
Dans La Jeune France du 1er septembre 1883, rubrique Bulletin bibliographique, page 318, nous pouvons lire une longue présentation de la réédition de Dans les Brandes, mais l’auteur consacre la première moitié de l’article à ses souvenirs personnels lorsqu’en 1876 il rencontra Maurice Rollinat. (Lire cette présentation.)
Dans La Liberté du 10 septembre 1883, page 2, rubrique Bibliographie, figure l’annonce de la parution de Dans les Brandes. (Lire cette annonce.)
Dans La Revue politique et littéraire – Revue des cours littéraires (3e série) du 15 septembre 1883, pages 349 et 350, Maxime Gaucher signe une présentation de Dans les Brandes, dans laquelle il est moins négatif que lors de ses précédents textes. (Lire cet article.)
Dans Le Voleur n° 1369 du 27 septembre 1883, pages 619 et 620, nous pouvons lire l’annonce de la parution de Dans les Brandes, et le poème "Le crapaud". (Lire cet article.)
Dans Le Pays du 28 septembre 1883, page 3, rubrique Revue littéraire signée H. Pellerin, figure une présentation de Dans les Brandes. (Lire cette présentation.)
Louis Ulbach, dans sa rubrique Les livres, parue dans Le Rappel du 13 octobre 1883, page 3, présente de manière sympathique la réédition de Dans les Brandes. (Lire cette présentation.)
Dans le numéro du 10 novembre 1883 de Le Livre – Revue du monde littéraire, pages 699 et 700, rubrique Comptes rendus analytiques des publications nouvelles - Poésies, nous pouvons lire une présentation de Dans les Brandes signée F. G. Le commentaire est à la fois sympathique et négatif. (Lire cette présentation.)
Charles Canivet dans sa rubrique Variétés parue dans Le Soleil du 26 novembre 1883, page 3, fait une présentation de Dans les Brandes. S’il reprend certaines remarques faites pour l’édition de 1877, comme les bouses de vaches, il a évolué dans sa perception de Maurice Rollinat qu’il qualifie de "chantre de la nature". (Lire cette présentation.)
L’Abîme
Dans Le Figaro du 24 avril 1886, page 1 rubrique Échos de Paris signée « Le Masque de fer », pseudonyme utilisé par Philippe Gille, figure une courte annonce de la parution de L’Abîme le jour-même. (Lire cette annonce.)
L’Intransigeant du 25 avril 1886, page 2, annonce brièvement la parution de L’Abîme et publie cinq poèmes extraits du livre : "La Douceur", "Le Mal distingué", "L’Intérêt", "Le Blafard" et "Sagesse de fou". Un entrefilet annonce à nouveau la parution du livre dans l’édition du 4 mai, page 3, rubrique Bibliographie. (Lire ces deux annonces.)
Dans Le Monde illustré du 1er mai 1886, page 275 (troisième du numéro), Pierre Véron dans sa chronique Courrier de Paris annonce la parution de L’Abîme et fait un rappel négatif par rapport à la période de parution des Névroses. (Lire la partie de l’article concernant Maurice Rollinat.)
Dans Le Temps du 3 mai 1886, page 3 rubrique Bulletin bibliographique, figure une très brève annonce de la publication de L’Abîme.
Dans Le XIXe siècle du 4 mai 1886, pages 2 et 3, figure un long article intitulé Rollinat et signé Vincent. À l’occasion de la parution de L’Abîme, l’auteur présente la vie du poète à Paris après la soirée chez Sarah Bernhardt, puis analyse le livre. (Lire cet article.)
La Justice, n° 2302 du 4 mai 1886, page 3, publie le poème "L’Automate" et annonce la récente parution de L’Abîme. C’est dans l’édition du 2 juin 1886, pages 1 et 2, que nous pouvons lire une très longue analyse du livre par Gustave Geffroy, avec de nombreux extraits de poèmes et des commentaires élogieux (NB : la majeure partie de ce texte avec de légères modifications, sera reprise par Gustave Geffroy dans son article intitulé tout simplement Maurice Rollinat (1846-1903), paru dans la Revue universelle n° 99 du 1er décembre 1903, page 617 à 626). (Lire l’article paru le 2 juin.)
Une présentation de L’Abîme signée Paul Ginisty, est parue dans le Gil Blas du 4 mai 1886, page 3 rubrique Journaux et revues. Le commentaire met en valeur les différentes facettes du livre. (Lire cette présentation.)
Dans Le Rappel du 8 mai 1886, page 3, nous trouvons l’annonce de la parution de L’Abîme, accompagnée de la publication d’une partie du poème "Le Soupçon".
Dans Lyon s’amuse du 9 mai 1886, page 2, figure une brève annonce de la parution de L’Abîme qualifié de "digne pendant des Névroses".
Le Phare de la Loire du 28 mai 1886, en page 3, rubrique Bibliographie, publie une longue présentation de L’Abîme signée Spiridion (pseudonyme utilisé par Frantz Jourdain). (Lire cet article.)
Le Journal des débats politiques et littéraires du 10 mai 1886, page 3 rubrique Les livres nouveaux, annonce la parution de L’Abîme, avec un commentaire court mais mettant en valeur les qualités poétiques de l’auteur. Par contre, Henri Chantavoine dans son article Poètes et poésies paru dans l’édition du 22 juin 1886, page 3, fait un commentaire très négatif. (Lire ces deux textes.)
Dans sa Causerie littéraire parue dans la Revue politique et littéraire - Revue bleue du 22 mai 1886, pages 665 à 667, Maxime Gaucher analyse de manière très négative L’Abîme. (Lire cette présentation.)
Adrien Remacle dans le numéro de mai 1886 de la Revue contemporaine, rubrique Critique littéraire, pages 126 à 130, fait une longue présentation de L’Abîme ; ses commentaires sont très positifs. (Lire cet article.)
Dans Le Soleil du 7 juin 1886, page 3, rubrique Variétés, Charles Canivet fait une longue présentation de L’Abîme ; il qualifie Maurice Rollinat d’ "artiste de premier ordre". (Lire cet article.)
Dans le numéro du 10 juin 1886 de Le Livre – Revue du monde littéraire, pages 292 et 293, rubrique Dernières publications - Poésies, figure une présentation de L’Abîme signée O. U. (c’est-à-dire Octave Uzanne, rédacteur en chef de cette revue). L’article est très positif et comporte au début une description de Maurice Rollinat déclamant ses vers. (Lire cet article.)
Dans L’Hirondelle n° 25 du 19 juin 1886, page 200, rubrique Bibliographie, nous pouvons lire une présentation de L’Abîme par Alphonse Ponroy. (Lire cet article.)
Dans Les Annales Politiques et Littéraires n° 166 du 29 août 1886, en page 141, Adolphe Brisson profite de la parution de L’Abîme pour publier un article très critique sur la poésie de Maurice Rollinat. (Lire cette présentation.)
Dix mélodies
Dans sa Revue littéraire parue dans La Justice du 29 novembre 1887, page 2, Gustave Geffroy présente de manière élogieuse Dix mélodies nouvelles, poésie et musique de Maurice Rollinat. (Lire cet article.)
Dans le n° 309 de Le Chat noir daté du 10 décembre 1887, page 1032 (quatrième du numéro), l’article Une émeute ! annonce la parution chez l’éditeur Félix Mackar des partitions de dix nouvelles mélodies de Maurice Rollinat. (Lire cet article.)
Dans Le Soleil du 16 décembre 1887, page 4, rubrique Petite Gazette des Théâtres signée Petit-Jean, annonce de la publication chez Mackar de dix poésies de Maurice Rollinat mises en musique par lui-même. (Lire cet article.)
Le Monde illustré du 14 janvier 1888, page 27 rubrique Chronique musicale, annonce la parution d’une série de mélodies nouvelles de Maurice Rollinat, chez Mackar. (Lire cet article.)
La Nature
Dans Le Journal pour tous du 14 février 1892, page 128 (huitième page de ce numéro), figure une brève annonce de la parution prochaine de La Nature, suivie du poème "Impression d’Hiver". Dans l’édition du 21 février, page 142 (dixième page de ce numéro), rubrique Courrier littéraire, nous pouvons lire la présentation du livre ; le commentaire est sympathique. (Lire cet article.)
Dans La Justice du 16 février 1892, page 3 rubrique Les Livres, nous pouvons lire une présentation élogieuse de La Nature suivie du poème "Les deux Orvets". (Lire cet article.) Dans l’édition du 22 février, page 4 rubrique Librairie, figure l’annonce de la parution le jour-même de La Nature. (Lire cet article.) Et le 16 mars, page 1, la Chronique littéraire signée Gustave Geffroy est consacrée à la présentation de La Nature ; cependant dans les deux premiers tiers de ce long article, l’auteur traite surtout de généralités. (Lire cet article.)
Dans Le Matin (derniers télégrammes de la nuit) du 17 février 1892, page 2 figure l’annonce de la parution de La Nature (ce texte est la reprise des trois premiers paragraphes de l’article paru dans La Justice du 16 février). (Lire cet article.)
Dans Le Soleil du 17 février 1892, page 2, rubrique Livres et Publications, figure une brève annonce de la parution de La Nature. (Lire cette annonce.)
Dans L’Écho de Paris du 18 février 1892, page 1 rubrique Échos, figure l’annonce de la parution de La Nature. (Lire cette annonce.) Dans l’édition du 23 février, page 2, nous pouvons lire un long article intitulé Les deux "Natures" de G. Stiegler, à propos de la polémique née de la similitude de titres des ouvrages de poésie La Nature de Maurice Rollinat et Nature de Jean Rameau (pseudonyme utilisé par Laurent Lebaigt). (Lire cet article.) Le 15 mars, page 2, dans sa Chronique des Livres, Edmond Lepelletier présente et analyse le livre La Nature. (Lire cet article.)
Dans Le Gaulois du 20 février 1892 en page 1, au sein de la rubrique Échos de Paris, nous trouvons un petit article composé de deux paragraphes intitulé La propriété d’un titre, qui relate un conflit à propos du titre La Nature choisi par Maurice Rollinat et déjà utilisé par un autre auteur (Jean Rameau, pseudonyme utilisé par Laurent Lebaigt). (Lire cet article.) Ce texte est repris mot pour mot, dans L’Éclair du 21 février 1892, page 2, rubrique « Dernières dépèches de la nuit », et dans La Fraternité - Organe des intérêts d’Haïti et de la race noire, n° 30 de la 4ème semaine de mars 1892, en page 3. Une information similaire a été publiée dans Le Constitutionnel du 21 février, page 4 rubrique Echos.
Dans Le Temps du 23 février 1892, page 3 rubrique Bulletin bibliographique, figure une très brève annonce de la publication de La Nature. Le 29 février, à la fin de sa Chronique théâtrale, page 2, Francisque Sarcey fait un commentaire court mais fort sympathique sur ce livre. (Lire ce commentaire.)
Dans Le XIXe siècle du 27 février 1892, page 4 rubrique Les Livres, figure une brève annonce de la parution de La Nature.
Dans La Vie Parisienne du 27 février 1892, page 125 (treizième du numéro), rubrique Les livres de la semaine, figure un court paragraphe annonçant la parution de La Nature ; Maurice Rollinat y est qualifié de "poète extraordinaire". (Lire ce paragraphe.)
Dans Art et Critique du 27 février 1892, page 102 (sixième du numéro), rubrique Les Livres, un quatrain suivi d’un commentaire signés "Zoïle", font allusion à la polémique née de la similitude de titres des ouvrages de poésie La Nature de Maurice Rollinat et Nature de Jean Rameau (pseudonyme utilisé par Laurent Lebaigt). (Lire ce quatrain et le commentaire.)
Dans La Presse du 3 mars 1892, page 3 rubrique Livres nouveaux, nous pouvons lire une présentation de La Nature signée P.E. (Lire cet article.) Dans l’édition du 16 janvier 1893, la Causerie littéraire page 2, est consacrée à une longue présentation de La Nature ; elle est signée Henri Schwabacher. (Lire cet article.)
Dans la rubrique Courrier littéraire de la Revue politique et littéraire - Revue bleue du 12 mars 1892, pages 343 et 344, nous trouvons une longue présentation de La Nature, signée Émile Faguet. Le commentaire est globalement positif mais comporte des reproches sur les longueurs des descriptions. (Lire cet article.)
Dans la Revue Méridionale (Carcassonne) d’avril 1892, pages 35 à 38 (troisième à sixième du numéro), Albert Ritt signe une présentation de La Nature. Ses commentaires au départ sont plutôt négatifs mais l’auteur termine sur une note positive. (Lire cet article.)
Dans Le Figaro du 6 juillet 1892, page 6, rubrique Revue bibliographique, nous trouvons une présentation très sympathique du livre La Nature, signée Philippe Gille. (Lire cet article.)
Dans la Revue Encyclopédique n° 57 du 15 avril 1893, pages 380 à 382, Alcide Bonneau fait une longue présentation de La Nature. Le commentaire est sympathique ; comme le livre présenté dans les pages précédentes est Nature de Jean Rameau (pseudonyme utilisé par Laurent Lebaigt), des comparaisons sont faites entre les deux poètes. Le texte est illustré du dessin de Gaston Béthune représentant Maurice Rollinat chantant, du dessin de Maurice Rollinat à la pêche par Cabriol (pseudonyme de Georges Lorin) et d’un autographe du poème Paysage triste. (Lire cet article.)
Le Livre de la Nature
Dans La Justice du 9 avril 1893, page 1, la Chronique littéraire signée Gustave Geffroy est consacrée à une présentation du Livre de la Nature. (Lire cet article.)
Dans Le Temps du 15 avril 1893, page 3 rubrique Bulletin bibliographique, figure une très brève annonce de la publication du Livre de la Nature.
Au sein de l’article Sensations d’un Suspendu, paru dans le Gil Blas du 2 mai 1893, page 1, Jean Ajalbert analyse Le Livre de la Nature. (Lire la partie de l’article concernant la présentation du livre.)
Dans Le Courrier du Centre du 6 juin 1893, page 3 rubrique Variétés, nous pouvons lire une longue présentation, assez élogieuse, du Livre de la Nature signée G... (vraisemblablement René Guillemot, rédacteur en chef du journal). (Lire cet article.)
Dans Le Phare de la Loire du 6 novembre 1903, page 3, rubrique Bibliographie signée Maurice Schwob, nous trouvons une présentation du Livre de la Nature (dix ans après sa parution !). (Lire cette présentation.)
Les Apparitions
Dans le Journal des débats politiques et littéraires du 2 mars 1896, page 3 rubrique Lettres, Sciences et Arts, figure l’annonce de la prochaine publication du livre Les Apparitions, suivie du poème "Les paysages". Dans l’édition du 17 août, page 3 rubrique Les livres nouveaux, nous pouvons lire une courte présentation de l’ouvrage. (Lire cette annonce et cette présentation.)
Dans le Gil Blas du 5 mars 1896, page 1 rubrique Echos et Nouvelles, nous pouvons lire l’annonce de la parution prochaine du livre Les Apparitions et un poème (qui sera publié dans Les Apparitions pages 119 et 120 sous le titre "Les paysages"). (Lire cette annonce.)
Dans Le Temps du 22 juin 1896, page 3 rubrique Bulletin bibliographique, figure une très brève annonce de la publication du livre Les Apparitions.
Dans La Presse du 22 juin 1896, page 4 rubrique Critique littéraire, nous pouvons lire une présentation du livre Les Apparitions signée Henri Duvernois (pseudonyme utilisé par Henri Schwabacher). (Lire cette présentation.)
Le Journal du 24 juin 1896, page 1 rubrique Nos échos, annonce la publication de Les Apparitions.
Dans Le Gaulois du 24 juin 1896, un entrefilet en page 1, annonce la parution de Les Apparitions chez Charpentier et Fasquelle. Dans l’édition du 9 juillet 1896, en pages 2 et 3, le livre est longuement présenté dans un article signé Édouard Rod. (Lire cette annonce et l’article d’Édouard Rod.)
Dans le Gil Blas du 24 juin 1896, page 1 rubrique Echos et Nouvelles, nous pouvons lire l’annonce, présentée de manière humoristique, de la parution de Les Apparitions. (Lire cette annonce.) Dans l’édition du 29 juin, page 2, la rubrique La Vie littéraire signée Maurice Guillemot, est entièrement consacrée à la présentation du livre avec des extraits de poèmes (NB : Le début de ce texte est la reprise de l’article Ne bougeons plus !... signé Collodio, paru dans Le Pierrot n° 9 du 31 août 1888, page 4. (Lire l’article de Maurice Guillemot.)
Dans Le Soleil du 24 juin 1896, page 3, un court article intitulé Les Apparitions, signale la parution du nouveau livre de Maurice Rollinat. (Lire cette annonce.) Le 5 juillet, page 2, dans le Bulletin bibliographique signé Ch. C. (c’est-à-dire Charles Canivet), nous pouvons lire une courte présentation du livre. (Lire cette présentation.) Le même auteur, dans sa Causerie hebdomadaire parue dans l’édition du 11 juillet, page 2, parle plus longuement du livre mais surtout de Maurice Rollinat qualifié de "travailleur" "fidèle à l’art et à la poésie". (Lire le début de la Causerie.)
Dans l’article Revue dramatique et littéraire signé Henry Maret, paru dans Le Radical du 7 juillet 1896, page 2, un paragraphe signale la publication de Les Apparitions ; le commentaire est peu sympathique. (Lire cette annonce.)
Dans Le XIXe Siècle du 16 juillet 1896, page 3 rubrique Bibliographie, le livre Les Apparitions est cité parmi les ouvrages de poésie nouvellement parus.
Dans Le Monde illustré du 18 juillet 1896, page 48 (dernière du numéro), rubrique Bibliographie, figure une courte mais élogieuse annonce de la publication du livre Les Apparitions. (Lire cette annonce.)
Dans La Justice du 21 juillet 1896, page 2, la Revue littéraire est en grande partie consacrée à Maurice Rollinat. L’article n’est pas signé. L’auteur après avoir entendu jouer au piano "La Chanson de la perdrix grise", évoque la poésie de Maurice Rollinat puis analyse Les Apparitions qu’il vient de recevoir. (Lire la partie consacrée à Maurice Rollinat.)
Dans La Petite République du 21 juillet 1896, page 1, la rubrique Politique et Littérature est consacrée à une très longue présentation et analyse du livre Les Apparitions signée Georges Renard. Maurice Rollinat y est qualifié de "Poète du cauchemar" et même si ensuite l’auteur parle de "l’artiste raffiné", les commentaires sont globalement négatifs. (Lire cet article.)
Dans Le Figaro du 23 juillet 1896, page 5, rubrique Les livres, présentation sympathique par Philippe Gille du livre Les Apparitions, avec des extraits de poèmes. (Lire cet article.)
Dans Les Annales Politiques et Littéraires, n° 685 du 9 août 1896, pages 91 et 92, dans la rubrique Livres et Revues, Adolphe Brisson signe un très long article, intitulé tout simplement Maurice Rollinat, dans lequel il présente le livre Les Apparitions. Le texte est globalement sympathique pour Maurice Rollinat, mais il comporte une partie très négative sur le côté macabre du poète. (Lire cet article.) Ce texte sera repris presque à l’identique dans le livre Pointes sèches d’Adolphe Brisson (Armand Colin et Cie éditeurs, Paris, 1898, 360 pages), pages 193 à 203.
Dans le Mercure de France n° 80 d’août 1896, page 341 rubrique Poèmes, figure une présentation de Les Apparitions signée Francis Vielé-Griffin. (Lire cette présentation.)
Ce que dit la Vie - Ce que dit la Mort
Dans Le National du 9 janvier 1898, page 2 rubrique « Notes Littéraires » signée Emmanuel Hache, figure l’annonce de la parution de Ce que dit la Vie, Ce que dit la Mort de Maurice Rollinat, édité par le Dr Émile Goubert. (Lire cet article.) Dans l’édition du 23 janvier, page 2, même rubrique et même auteur, nous pouvons lire une présentation de cet ouvrage. (Lire cet article.)
Dans La Justice du 10 janvier 1898, page 3 rubrique « Notes littéraires », il est indiqué que le Dr Émile Goubert fait éditer deux articles de Maurice Rollinat : Ce que dit la Vie et Ce que dit la Mort. Dans l’édition du 24 janvier, page 2 rubrique Notes littéraires, nous pouvons lire une présentation de ce livre (NB : ces deux textes ne sont pas signés mais sont rigoureusement identiques à ceux parus dans Le National du 9 janvier et du 23 janvier). Les rubriques « Notes Littéraires » de La Justice sont reproduites à l’identique dans Le Public du 10 janvier et du 24 janvier.
Paysages et Paysans
Dans Le Public du 31 janvier 1898, page 3, rubrique Notes littéraires, nous pouvons lire que Maurice Rollinat va faire paraître sous peu un livre intitulé Paysages et Paysans. (Lire cette annonce.)
Dans Les Annales Politiques et Littéraires, n° 822 du 26 mars 1899, page 200, F. Raoul-Aubry (pseudonyme utilisé par Félix Lenclud), dans un article intitulé « Indiscrétions Littéraires », annonce la prochaine parution de Paysages et Paysans de Maurice Rollinat et présente le poète. (Lire cet article.)
Le Journal du 15 avril 1899, page 1, rubrique « Nos échos », annonce de manière fort sympathique la parution de Paysages et Paysans. (Lire cet article.) Cet article sera reproduit à l’identique dans L’Aurore du 16 avril 1899, page 2, dans L’Intransigeant du 18 avril 1899, page 3, rubrique « Bibliographie », dans Le Siècle du 20 avril 1899, page 5, rubrique « Bibliographie », dans L’Estafette du 6 juin 1899, page 4, rubrique « Revue Bibliographique », et dans L’Autorité du 21 juin 1899, page 3, rubrique « La revue des livres ».
Dans Le XIXe Siècle du 18 avril 1899, page 1 rubrique « Les on-dit », figurent l’annonce de la parution et une présentation de Paysages et Paysans signée "Ch. F." (vraisemblablement les initiales de Charles Frémine). (Lire cette présentation.) Cet article a été publié à l’identique dans Le Rappel du 18 avril 1899, page 1 ; les deux journaux étant couplés.
Dans Le Figaro du 18 avril 1899, page 5, dans la rubrique Bulletin de la librairie du Figaro, nous trouvons une brève publicité pour Paysages et Paysans. Dans l’édition du 30 mai 1899, page 5, rubrique Petite revue des livres signée Ph. G., Paysages et Paysans est simplement cité parmi les livres récemment parus.
Dans La Presse du 18 avril 1899, page 2, dans la rubrique Livres parus ou à paraître, Paysages et Paysans est cité.
Dans sa rubrique Les livres de la semaine parue dans La Petite République Socialiste du 2 mai 1899, page 2, Camille de Sainte-Croix fait une courte mais sympathique présentation de Paysages et Paysans. (Lire cette présentation.)
Dans le Mémorial de la Loire et de la Haute-Loire du 7 mai 1899, page 1, un long article intitulé "Au jour le jour - Paysages et paysans", signé "E." présente le livre de Maurice Rollinat au milieu de considérations générales. (Lire cet article.)
Dans La Justice du 8 mai 1899, page 2 rubrique La vie littéraire, Fernand Rouget présente Paysages et Paysans. Pour cela, il s’est fortement inspiré de celle parue dans Le Journal du 15 avril cité ci-dessus. (Lire cette présentation.)
Dans La Fronde du 6 juin 1899, page 7, rubrique Causerie Littéraire, Manoël de Grandfort signe une présentation de Paysages et Paysans. (Lire cette présentation.)
Dans sa rubrique Chronique des Livres parue dans Le Soleil du 15 juin 1899, page 2, Charles Canivet fait une présentation Paysages et Paysans, illustrée par le poème « Magie de la nature ». (Lire la partie de l’article concernant Maurice Rollinat.)
Dans La Lanterne du 20 juin 1899, page 2 rubrique Les Idées et les Livres, nous pouvons lire une longue présentation et analyse de Paysages et Paysans, signée Georges Renard. (Lire cette présentation.)
Dans la Revue encyclopédique du 1er juillet 1899, pages 506 et 507, rubrique Revue littéraire, Charles Maurras présente Paysages et Paysans. Si d’une manière générale, l’auteur n’apprécie pas la poésie de Maurice Rollinat, il est intéressé par la sauvegarde de la manière de parler des paysans. (Lire cette présentation.)
Dans Le Monde illustré du 29 juillet 1899, page 98 rubrique Bibliographie, figure une très brève annonce de la parution de Paysages et Paysans : « tableaux et scènes d’un réalisme puissant ».
En Errant
Dans Le Figaro du 3 novembre 1903, page 2, dans la rubrique Vient de paraître, nous pouvons lire l’annonce de la publication de En Errant. Puis dans l’édition du 6 novembre, en page 3 dans Petite Chronique des Lettres, En Errant est signalé, et en page 5 une publicité pour ce livre figure dans le Bulletin de la Librairie du Figaro.
Dans L’Aurore du 3 novembre 1903, page 1, rubrique Échos, figure l’annonce de la parution de En Errant.
La Chronique littéraire signée Louis Lumet, parue dans La Petite République Socialiste du 10 novembre 1903, page 3, est intégralement consacréee à la présentation de En Errant. Au début de l’article, l’auteur évoque la vie et l’œuvre de Maurice Rollinat.
Dans Le Radical du 12 novembre 1903, page 4 rubrique Bibliographie, nous trouvons une courte présentation de En Errant.
Dans son article Célébrités d’aujourd’hui et d’autrefois, paru dans La Chronique des Livres du 10 décembre 1903, André Thevenin présente pages 395 et 396, En Errant. Il essaie de faire un parallèle entre ce livre et Les Névroses.
Ruminations
Dans Le Figaro du 21 novembre 1904, page 2 dans la rubrique Vient de paraître, figure l’annonce de la publication de Ruminations.
Dans L’Aurore du 22 novembre 1904, page 1 rubrique Echos, nous pouvons lire l’annonce de la parution et une courte présentation de Ruminations.
Dans Carnet Mondain du 26 novembre 1904, page 2 rubrique Bibliographie, figure la présentation de Ruminations. Le commentaire est assez négatif.
Dans La Dépêche (Toulouse) du 27 novembre 1904, pages 1 et 2, dans un article intitulé Causeries – Ruminations, Gustave Geffroy présente longuement le livre Ruminations – Prose d’un solitaire de Maurice Rollinat.
Présentation de Ruminations, signée PIP, parue dans La Nouvelle Revue, numéro du 1er décembre 1904, pages 420 et 421.
Dans Le Pays du 2 décembre 1904, page 3, rubrique Nos livres, nous pouvons lire une présentation élogieuse de Ruminations (celle-ci sera reprise à l’identique dans l’édition du 10 décembre, page 3).
Dans Le Constitutionnel daté du 11 décembre 1904, page 3 rubrique Nos livres, figure l’annonce de la parution avec une présentation élogieuse de Ruminations.
Dans le Mercure de France n° 185 du 1er mars 1905, pages 109 et 110, rubrique Littérature, nous pouvons lire une présentation assez critique de En Errant et de Ruminations, signée Jean de Gourmont.
Dans la rubrique La Quinzaine des Livres signée Octave Uzanne, parue dans La Dépêche (Toulouse) du 5 mai 1905, page 5, nous pouvons lire la présentation du livre Ruminations.
Georges Normandy consacre le chapitre XVIII (pages 61 à 67) de son livre L’Heure qui passe (Bibliothèque générale d’édition, Paris, 1907, 16+VI+245 pages) à une présentation de Ruminations (à noter que Maurice Rollinat est également cité pages 52, 69, 110 et 111, 120 et 217).
Les Bêtes
Dans Le Figaro du 6 mars 1911, page 2 dans la rubrique Vient de paraitre, nous trouvons l’annonce de la parution de Les Bêtes. Une présentation de ce livre sur un ton sympathique signée Ph-Emmanuel Glaser, figure dans l’édition du 17 mars 1911, page 4 rubrique Petite Chronique des Lettres.
L’Aurore du 6 mars 1911, page 1 rubrique Echos annonce la parution le jour-même de Les Bêtes. Dans l’édition du 3 avril 1911, page 2 rubrique Les Idées et les Livres, nous pouvons lire une longue présentation de ce livre, signée V. Paul-Duprey.
Dans L’Attaque du 6 mars 1911, page 2 rubrique Echos et Nouvelles, figure une brève annonce de la parution du livre Les Bêtes.
Dans L’Intransigeant du 28 mars 1911, page 2, rubrique Nos Echos, nous trouvons l’annonce de la parution du livre Les Bêtes.
Dans Le Radical du 3 avril 1911, page 2, Jean Mélia dans sa Chronique des livres, présente Les Bêtes et qualifie Maurice Rollinat de "poète subtil" et de "savant artiste".
Dans le Journal des débats politiques et littéraires du 25 avril 1911, page 2 rubrique Revue des livres, nous pouvons lire une présentation de Les Bêtes signée P.B.
Ph.-Emmanuel Glaser, dans son livre Le Mouvement Littéraire (Petite chronique des Lettres) 1911 (Librairie Paul Ollendorf, Paris, VIII + 432 pages), pages 100 et 101, au titre du mois de mars, présente Les Bêtes.
Fin d’Œuvre
Brève annonce de la publication de Fin d’Œuvre, dans Le Ménestrel n° 4 du 7 novembre 1919, page 36.
Dans L’Homme Libre du 31 octobre 1919, page 2 rubrique Les Lettres, nous pouvons lire une présentation de Fin d’Œuvre signée Paul Lombard.
Dans L’Intransigeant du 4 novembre 1919, page 2, à l’intérieur de la rubrique Nos Échos, Fernand Divoire dans un petit article intitulé Quelques mots sur... Maurice Rollinat, rappelle qui était le poète et présente le livre Fin d’Œuvre.
Dans la rubrique Les livres signée Jean-Jacques Brousson, parue dans l’Excelsior du 10 décembre 1919, page 4, figure l’annonce de la parution de Fin d’Œuvre ; si l’auteur de la rubrique présente le livre, il fait surtout un portrait très noir de Maurice Rollinat non conforme à la réalité.
Le Populaire de Paris du 17 décembre 1919, annonce en page 2, la parution de Fin d’Œuvre, en faisant allusion à un texte de Jean-Jacques Brousson.
Dans le Mercure de France n° 547 du 1er janvier 1920, page 194 rubrique Les poèmes, nous pouvons lire une présentation de Fin d’Œuvre signée André Fontainas. C’est l’occasion pour l’auteur d’évoquer la vie du poète.
Présentation de Fin d’Œuvre, signée Roland de Marès, dans Les Annales Politiques et Littéraires, n° 1924 du 9 mai 1920, page 401.
Choix de poésies
Dans L’Homme Libre des 27 et 28 mars 1926, page 2 rubrique Les Lettres, figure l’annonce de la publication de Choix de poésies.
Dans le Supplément littéraire du Figaro du 3 avril 1926, page 3, Jacques Patin dans sa rubrique Le carnet du bouquiniste, présente Choix de poésies. Il retrace l’œuvre du poète et conclut que ce livre donnera "une juste idée de l’excellent poète".
Dans Le Gaulois du 10 avril 1926, page 6 rubrique Les Livres de la Semaine, nous pouvons lire une présentation de Choix de poésies.
Dans Les Nouvelles littéraires artistiques et scientifiques du 5 juin 1926, page 3 rubrique La critique des livres, figure une présentation de Choix de poésies.
Dans les Brandes (réédition de 1946)
Dans Le Populaire du Centre du 7 août 1946, page 3 rubrique Echos littéraires, se trouve l’annonce de la réédition de Dans les Brandes par la société "Les Amis de Rollinat".
Livres sur Maurice Rollinat, disponibles en téléchargement au format pdf |
Émile Vinchon, Maurice Rollinat - Étude biographique et littéraire, Jouve et Cie éditeur, Paris, 1921, 248 pages. Émile Vinchon est le principal biographe de Maurice Rollinat ; pour écrire ce livre, il a recueilli de nombreux témoignages de personnes ayant connu Maurice Rollinat.
Judith Cladel, Maurice Rollinat, Collection "Portraits d’Hier", n° 31 du 15 juin 1910, Paris, 32 pages. En plus d’une biographie et d’une présentation de l’œuvre de Maurice Rollinat, nous avons le témoignage d’une personne qui l’a bien connu.
Dr Félix Codvelle, Essai sur la psychose de Rollinat, A. Rey imprimeur-éditeur de l’Université, Lyon, 1917, 104 pages. Il s’agit de la thèse de doctorat de ce médecin militaire ; après une analyse des sources d’émotion et du caractère de Maurice Rollinat, le Dr Codvelle étudie les différents troubles qui peuvent affecter le poète en partant de l’analyse de ses écrits.
Ouvrages parlant de Maurice Rollinat |
Louis Desprez dans L’évolution naturaliste (Tresse éditeur, Paris, 1884, 374 pages), dans le chapitre "Baudelaire et les Baudelairiens", consacre six pages à Maurice Rollinat et à sa poésie qu’il compare souvent à celle de Baudelaire (pages 286 à 292).
Léo Trézenik (pseudonyme utilisé par Léon Épinette) dans Les Hirsutes (Léon Vanier éditeur, Paris, 1884, 47 pages), cite Maurice Rollinat pages 8, 24 et 44.
Armand de Pontmartin consacre un chapitre de son livre Souvenirs d’un vieux critique - Quatrième série (Calman Lévy éditeur, Paris, 1884, 357 pages) à Maurice Rollinat (pages 242 à 256). Il s’agit d’une longue présentation et analyse des Névroses. Les commentaires sont très négatifs, voire au vitriol ; même des amis de Maurice Rollinat comme Charles Buet ou Jules Barbey d’Aurevilly sont pris à partie. En fait l’auteur, catholique et royaliste comme il se définit, regrette la disparition d’une poésie où l’on a l’habitude de chanter les exploits des héros de la mythologie, au profit d’une poésie "naturaliste". Ce texte est la reprise de l’article paru dans La Gazette de France du 18 mars 1883.
Propos d’un entrepreneur de démolitions de Léon Bloy (Tresse éditeur, Paris, 1884, 296 pages) est constitué d’articles publiés dans divers journaux parisiens, principalement Le Chat Noir. La dernière partie (pages 257 à 294) est consacrée à Maurice Rollinat ; Léon Bloy y raconte sa première rencontre avec Maurice Rollinat, puis donne ses impressions cinq ans après, sur sa musique et sa poésie (Léon Bloy a repris avec de légères modifications les trois articles parus dans Le Foyer illustré des 17 septembre, 24 septembre et 1er octobre 1882). Maurice Rollinat est cité dans deux autres articles, aux pages 88 et 171.
Charles Buet reproduit pages 275 à 278 de son livre Médaillons et camées (E. Giraud et Cie éditeurs, Paris, 1885, 324 pages), l’article qu’il avait publié dans Le Gaulois du 6 novembre 1882, où il raconte les débuts de Maurice Rollinat. Le poète est également cité page II de l’introduction.
Stanislas de Guaita, dans la préface de son livre de poésies Rosa Mystica (Alphonse Lemerre éditeur, Paris, 1885, 270 pages), parle des poètes de son époque. Il consacre trois paragraphes (pages 20 et 21) à Maurice Rollinat ; il situe celui-ci dans la veine baudelairienne.
Robert de Bonnières dans ses Mémoires d’aujourd’hui, Deuxième série (Paul Ollendorf, éditeur, Paris, 1885, 346 pages) consacre un chapitre à Maurice Rollinat (pages 249 à 259). Celui-ci est intitulé "Un élève de Baudelaire". L’auteur est très critique sur le côté macabre de Maurice Rollinat. Ce texte reprend quasi à l’identique, mais en y rajoutant deux poèmes, un article publié dans Le Gaulois du 26 mai 1883, en page 1, sous la signature de Robert Estienne et intitulé Des roses ! Des roses !.
Dans le livre Têtes de Pipes signé L.-G. Mostrailles (pseudonyme derrière lequel se cachent Léo Trézenik, de son vrai nom Léon-Pierre-Marie Épinette, rédacteur en chef de Lutèce, et Georges Rall, secrétaire de rédaction du même journal) avec 21 photographies par Émile Cohl (Léon Vanier Éditeur des Modernes, Paris, 1885, VII + 198 pages), Maurice Rollinat figure parmi les vingt-et-une personnes portraiturées (pages 24 à 30). Il s’agit d’un dénigrement systématique. À la fin de l’ouvrage, nous trouvons les réponses des personnes concernées ; celle de Maurice Rollinat figure page 178. (Lire la présentation générale et la partie concernant Maurice Rollinat.)
Albert Wolff consacre la dernière partie de son livre Mémoires d’un Parisien - La Gloire à Paris (Victor-Havard éditeur, Paris, 1886, 334 pages), à Maurice Rollinat (pages 324 à 332). Il s’agit de la reprise de son article paru dans Le Figaro du 9 novembre 1882, page 1 (sauf la fin qui est différente).
Dans Notes d’un journaliste (G. Charpentier et Cie Éditeurs, Paris, 1887), Gustave Geffroy nous livre deux chroniques publiées dans La Justice, datées du 1er mars 1883 et du 25 août 1883 relatives à la parution de Les Névroses et de Dans les brandes de Maurice Rollinat (pages 278 à 292).
Dans Dix ans de bohème (La librairie illustrée, Paris, 1888, 286 pages), Émile Goudeau décrit la création des « Hydropathes » et du « Chat noir » ; il parle de Maurice Rollinat à de nombreuses reprises, en particulier il relate leurs premières rencontres (pages 77 à 85). Pages 77 à 83, l’auteur reprend l’article qu’il a consacré à Maurice Rollinat paru dans La Presse du 22 mai 1885, rubrique La jeune littérature page 1.
Maurice Rollinat figure dans l’Anthologie des poètes français du XIXème siècle, tome 3 (Alphonse Lemerre éditeur, Paris, 1888, 413 pages), pages 193 à 211, avec un portrait, une présentation de Gustave Geffroy et sept poèmes.
Une présentation de Maurice Rollinat et de son livre Les Névroses figure dans De A à Z – Portraits contemporains de Charles Monselet, paru en 1888 (G. Charpentier et Cie, éditeurs, Paris, 337 pages) (pages 292 à 296). L’auteur reprend ici son article intitulé « Chronique – Les Névroses » paru dans L’Évènement du 6 mars 1883, page 1, mais il a enlevé la dernière phrase : « Je ne doute pas du succès des Névroses. »
Dans la collection "Les écrivains d’aujourd’hui", Jules Tellier a publié Nos poètes (A. Dupret, éditeur, Paris, 1888, 258 pages). Maurice Rollinat est cité pages 175 et 208, et une analyse de sa poésie figure pages 185 à 188.
Charles Morice dans La littérature de tout à l’heure (Perrin et Cie, libraires éditeurs, Paris, 1889, 385 pages) consacre l’équivalent d’une page (pages 245 et 246) à Maurice Rollinat. Ses commentaires ne sont pas sympathiques, il le présente comme un poète "tué" par Paris et retiré dans la nature.
Jules Barbey d’Aurevilly a consacré une partie de son livre Les Œuvres et les Hommes - Les Poètes (Alphonse Lemerre éditeur, Paris, 1889, 361 pages) à Maurice Rollinat. L’auteur a repris avec de légères modifications pour constituer les points I à III (pages 321 à 331), l’article intitulé Rollinat – Un poète à l’horizon ! paru dans le n° 17 de Lyon-Revue de novembre 1881 (pages 629 à 635), puis dans Le Constitutionnel du 2 juin 1882, page 3, et dans Le Parnasse du 15 juin 1882, pages 4 à 6. Pour les points IV à VII (pages 331 à 344), c’est l’article intitulé Les Névroses par M. Maurice Rollinat paru dans Le Constitutionnel du 6 juillet 1883, page 3, qui a été utilisé avec de légères modifications.
Victor Jeanroy-Félix dans sa Nouvelle histoire de la littérature française sous le second Empire et la troisième République (Bloud et Barral libraires-éditeurs, Paris, 1889, 504 pages) analyse la poésie de Maurice Rollinat, pages 200 à 204. Si le début est sympathique, la suite est négative et l’auteur ne parle que d’un seul livre, Les Névroses.
Charles Buet dans J. Barbey d’Aurevilly : impressions et souvenirs (Albert Savine, éditeur, Paris, 1891, 469 pages) parle de Maurice Rollinat et de sa poésie aux pages 186 à 190. Maurice Rollinat est également cité pages 26, 261 et 270.
Dans le Journal des Goncourt – Mémoires de la vie littéraire, Tome sixième 1878-1884 (Paris, Bibliothèque-Charpentier, G. Charpentier et E. Fasquelle, éditeurs, 1892, 357 pages), le texte à la date du jeudi 14 juin 1883 (pages 265 et 266) est consacré à Maurice Rollinat, en particulier à sa musique. Dans le Tome septième 1885-1888 (même éditeur, 1894, 337 pages), Maurice Rollinat est cité pages 112 et 113 (jeudi 18 mars 1886), page 116 (mercredi 24 mars 1886), page 132 (jeudi 20 mai 1886) et page 228 (jeudi 29 décembre 1887). Dans le Tome huitième 1889-1891 (même éditeur, 1895, 301 pages), pages 93 et 94, la journée du jeudi 10 octobre 1889 est consacrée à Maurice Rollinat. Dans le Tome neuvième 1892-1895 (même éditeur, 1896, 428 pages), Maurice Rollinat est cité page 11 (jeudi 18 février 1892), page 139 (mercredi 28 juin 1893), page 177 (lundi 18 décembre 1893) et pages 193 et 194 (dimanche 4 février 1894).
Max Nordau (1849 - 1923) est un médecin, auteur et critique sociologique allemand. Un de ses principaux ouvrages est intitulé Dégénérescence publié en deux tomes (traduit de l’allemand par Auguste Dietrich, Paris, Félix Alcan éditeur, 1894, 430 + 575 pages). Dans le dernier chapitre du tome I, Les Parodies du Mysticisme, les pages 399 et 404 sont consacrées à Maurice Rollinat. L’analyse est basée uniquement sur le livre Les Névroses, les commentaires sont très négatifs, par exemple Max Nordau dit que Maurice Rollinat incarne "une forme de dégénérescence mystique". Les termes utilisés par Maurice Rollinat dans ses poèmes sont pris au sens premier et Max Nordau considèrent qu’ils caractérisent la personnalité du poète. Cet ouvrage a fait l’objet d’une présentation dans la Revue bleue signée Jean Thorel, reprise dans L’Œuvre d’Art n° 9 du 20 août 1893, pages 1 et 2, avec une introduction et une conclusion de Paul Lafage.
Frantz Jourdain a repris dans Les décorés - Ceux qui ne le sont pas (sous-entendu de la Légion d’honneur) (H. Simonis Empis éditeur, Paris, 1895, 278 pages), les articles parus dans la rubrique éponyme du Figaro. L’article consacré à Maurice Rollinat et publié dans Le Supplément littéraire du Figaro du 2 septembre 1893 page 1, figure pages 159 à 163. L’auteur raconte comment il a connu Maurice Rollinat puis il met en valeur les qualités du poète.
Charles Buet consacre le dernier chapitre de son livre Grands Hommes en Robe de Chambre (Société libre d’édition des gens de lettres, Paris, 1897, 333 pages) à Maurice Rollinat (pages 321 à 333) ; il décrit en particulier ses débuts dans la vie parisienne, analyse sa poésie et termine par le départ de Maurice Rollinat pour le Berry. Ce texte reprend en majeure partie l’article paru dans la Revue politique et littéraire - Revue Bleue, du 6 octobre 1888, pages 443 à 448.
Armand Dayot dans Le long des routes (Ernest Flammarion éditeur, Paris, 1897, 388 pages) décrit le retour de Maurice Rollinat à Paris après un séjour dans la Creuse et se remémore les débuts de Maurice Rollinat (pages 220 à 228). NB : la première partie (pages 220 à 224) reprend un article paru dans la Revue Illustrée, n° 150 du 1er mars 1892, pages 189 à 191, légèrement modifié ; la deuxième partie (pages 224 à 228) reprend elle une partie de l’article paru dans Le Figaro du 14 janvier 1892, page 1.
Dans le troisième volume de l’Album Mariani préparé par Joseph Uzanne (Librairie Henri Floury, Paris, 1897, 240 pages), Maurice Rollinat y figure avec deux pages de présentation, un portrait par F. Desmoulins et la reproduction d’un quatrain autographe.
Gabriel Montoya dans Le Roman comique du Chat Noir (Ernest Flammarion éditeurs, Paris, 1897, 326 pages), page 57 cite Maurice Rollinat comme étant un de ses "inspirateurs" en poésie. Pages 200 à 207, il raconte la représentation de la troupe du Chat Noir à Châteauroux en février 1897, ce qui lui permet de parler de Maurice Rollinat et de sa poésie, et d’évoquer les débuts du cabaret Le Pierrot Noir de Châteauroux juste créé.
Dans Pointes sèches (Armand Colin et Cie éditeurs, Paris, 1898, 360 pages), Adolphe Brisson parle des derniers livres publiés par Maurice Rollinat mais souvent d’une manière très critique (pages 193 à 203). Il s’agit de la reprise presque à l’identique de l’article paru dans Les annales politiques et littéraires, n° 685 du 9 août 1896, pages 91 et 92.
Dans Histoire de la Langue et de la Littérature française, des origines à 1900, publiée sous la direction de L. Petit de Julleville, tome VIII Dix-neuvième siècle - Période contemporaine (1850 - 1900) (Armand Colin & Cie éditeurs, Paris, 1899, 928 pages), Maurice Rollinat figure pages 56 et 57 (chapitre "Les poètes", rubrique "À côté du Parnasse"). Le texte est illustré par le poème "Le Goût des Larmes" (extrait de Les Névroses, page 28).
Adolphe Brisson dans le tome 5 de Portraits intimes (Librairie Armand Colin, Paris, 1901, 360 pages), consacre un chapitre beaucoup plus sympathique que dans Pointes sèches à Maurice Rollinat intitulé « Maurice Rollinat, pêcheur de truites » (pages 86 à 96) où il décrit la vie de notre poète à Fresselines. Il s’agit de la reprise quasi-identique de l’article paru dans Le Temps du 25 octobre 1899, page 2.
Dans le Rapport à M. le Ministre de l’Instruction publique et des Beaux-Arts sur le Mouvement poétique français de 1867 à 1900, par Catulle Mendès, paru en 1902, Maurice Rollinat est cité page 146. Il figure dans le Dictionnaire bibliographique et critique annexé au rapport, pages 256 et 257, avec des citations de Robert de Bonnières, Stanislas de Guaita, Charles Buet, Gustave Geffroy, Charles Morice et Jules Barbey d’Aurevilly.
Une biographie de Maurice Rollinat par Paul Verlaine, est parue dans Les Hommes d’aujourd’hui et incluse pages 353 à 359, dans le tome cinq des Œuvres complètes (Librairie Léon Vanier, éditeur, Paris, 1904, 486 pages).
Georges d’Esparbès consacre le chapitre intitulé La guirlande de lierres, pages 303 à 311, de son livre Printemps (Ernest Flammarion éditeur, Paris, 1906, 332 pages), à Maurice Rollinat. L’auteur a rencontré Maurice Rollinat à Paris alors qu’il avait vingt ans ; il en fut très impressionné mais pas d’une manière favorable car il qualifie le poète de "triste chanteur de la Mort" et de "cygne noir des Mélancolies et des Détresses". Il oublie complètement le côté nature du poète. Ce texte est principalement constitué de l’article « Le cygne noir » paru dans Le Matin (derniers télégrammes de la nuit) du 7 novembre 1903, page 1.
Maurice Rollinat figure dans le deuxième tome de l’Anthologie des poètes français contemporains de Gérard Walch (Charles Delagrave éditeur, Paris et A.-W. Sijthoff éditeur, Leyde, 1906, 555 pages), pages 59 à 71, avec une fiche bio-bibliographique, cinq poèmes et le fac-similé du manuscrit de "La Bibliothèque" ; il est également cité page 18 dans la fiche de Jean Richepin.
Toute la préface (pages V à IX) du livre La Peur d’Edmond Haraucourt (Bibliothèque Charpentier, Eugène Fasquelle éditeur, Paris, 1907, IX + 304 pages), signée d’Edmond Haraucourt, est consacrée "A la mémoire de mon ami Maurice Rollinat" à qui il "offre ces contes". L’auteur se remémore Maurice Rollinat chantant en lien avec "la peur" qui pouvait alors se dégager de ses poésies. Une grande partie de cette préface est reprise de l’article Causeries – Maurice Rollinat d’Edmond Haraucourt, paru dans La Dépêche (Toulouse) du 21 octobre 1906, pages 1 et 2.
Georges Normandy dans L’Heure qui passe (1905-1906) (Bibliothèque générale d’édition, Paris, 1907, 16+VI+245 pages) consacre le chapitre XVIII, pages 61 à 67, à une présentation du livre Ruminations de Maurice Rollinat, et cite Maurice Rollinat pages 52, 69, 110 et 111, 120 et 217.
Henri Lavedan dans Bon an, Mal an (Perrin et Cie libraires-éditeurs, Paris, 1908, 419 pages), raconte pages 236 à 238 ses soirées passées chez Maurice Rollinat en 1883, rue Oudinot à Paris, où tous les deux s’amusaient à se faire peur.
Dans l’Anthologie des Poètes de Montmartre de Bertrand Millanvoye (Société d’éditions littéraires et artistiques, Librairie Paul Ollendorff, Paris, 1909, 432 pages), Maurice Rollinat figure aux pages 367 à 375 avec une courte biographie et trois poèmes ; il est également cité pages 173 (dans la biographie d’Emile Goudeau), 215 (dans la biographie de Jules Jouy), 231 et 232 (dans la biographie de Georges Lorin) et 272 (dans un poème d’Armand Masson "Ode à Montmartre").
Maurice Rollinat figure dans l’anthologie d’Adolphe van Bever Les poètes du terroir du XVe siècle au XXe siècle, tome premier (Librairie Ch. Delagrave, Paris, 1909, 575 pages), pages 192 à 197, avec une biographie (reprise de l’article Maurice Rollinat, biographie de Maurice Dauray paru dans la Revue du Berry en 1904), suivie de quatre poèmes.
Dans l’Anthologie des écrivains français contemporains - Poésie, publiée sous la direction de Gauthier-Ferrières (Bibliothèque Larousse, Paris, 1919, 238 pages), Maurice Rollinat figure pages 59 à 64, avec une courte biographie et trois poèmes : La Mare aux grenouilles, Chopin et Les petits Fauteuils.
Léon Daudet dans Souvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux (Nouvelle librairie nationale, Paris, 1920, 669 pages), évoque pages 99 et 100, Maurice Rollinat chantant lors des soirées chez Alphonse Daudet.
Dans Au temps des Parnassiens - Nina de Villard et ses amis d’Albert de Bersaucourt (La Renaissance du livre, Paris, 1921, 190 pages), Maurice Rollinat est cité page 8, le début du chapitre V lui est consacré (pages 88 à 95) et il est cité pages 165 et 166. Il ne s’agit pas d’un témoignage mais d’une étude ; les livres et articles qui ont servi à rédiger les passages concernant Maurice Rollinat sont cités pages 186 et 187.
Dans Les dates et les œuvres - Symbolisme et poésie scientifique (Les éditions G. Crès et Cie, Paris, 1923, XVI + 339 pages) René Ghil donne sa vision des mouvements littéraires, des journaux et des revues, à partir de 1883. Maurice Rollinat est cité pages 2 et 8 ; à chaque fois, les commentaires sont plutôt négatifs.
Dans Au Banquet de la Vie de Gustave Guiches (Éditions Spes, Paris, 1925, 239 pages), Maurice Rollinat est cité 66 fois dans 36 pages différentes. Gustave Guiches raconte en particulier une soirée au Chat Noir avec Maurice Rollinat (pages 58 à 62), une soirée au domicile de Maurice Rollinat (pages 71 à 75), la fameuse soirée chez Sarah Bernhardt qui valut la célébrité à Maurice Rollinat (pages 87 à 95) et la gloire qui s’en suivit (pages 95 à 105).
Les tomes IV et V des Œuvres complètes de Jules Laforgue publiées au Mercure de France en 1925, sont consacrés à sa correspondance. Dans quatre lettres adressées à Charles Henry, Maurice Rollinat est cité. Dans le tome IV : pages 185 (lettre du 12 août 1882) et 208 (lettre du 18 novembre 1882) ; dans le tome V : pages 12 (lettre du 26 février 1883) et 38 (lettre du 14 juillet 1883). Dans ces deux dernières, les commentaires sur Les Névroses et sur "le feu d’artifice Rollinat" ne sont pas sympathiques. Dans le tome VI (Mercure de France, 1930), figure l’ "Agenda" et à la date du 11 août 1883 (page 252), on apprend que Jules Laforgue a lu Les Névroses jusqu’à 4 h du matin.
Jules Lévy dans Les Hydropathes (André Delpeuch éditeur, Paris, 1928, 238 pages), décrit la création de ce groupe en citant Maurice Rollinat comme un des cinq fondateurs, il raconte également comment Maurice Rollinat déclamait ses poèmes (pages 5 à 16), puis figurent sept poèmes extraits de Les Névroses (pages 206 à 224).
Léon Bloy dans Quatre ans de Captivité à Cochons-sur-Marne, II 1902-1904 (Mercure de France, Paris, 1935, 254 pages) évoque page 185, la mort de Maurice Rollinat mais en fonction de ce qui était publié dans les journaux de l’époque. Il indique qu’il s’est inspiré de Maurice Rollinat et de son séjour en Berry pour écrire certains passages de La femme pauvre.
Gustave Geffroy dans Claude Monet - Sa vie, son temps, son œuvre (Les éditions G. Crès et Cie, Paris, 1922, 362 pages) consacre un chapitre à "La Creuse - Monet chez Rollinat"(pages 286 à 294). Ceci constitue un témoignage très intéressant sur le séjour que Claude Monet fit à Fresselines au début de l’année 1889.
Dans le livre de Joseph Bollery, Léon Bloy, Ses débuts littéraires du « Chat Noir » au « Mendiant Ingrat » 1882-1892 (Éditions Albin Michel, Paris, 1949, 465 pages), partiellement en ligne sur Gallica, nous pouvons lire pages 19 à 23, la lettre de Léon Bloy à Maurice Rollinat datée du 8 août 1882. Maurice Rollinat est cité page 25, dans la lettre de Léon Bloy à Rodolphe Salis non datée mais d’août 1882, page 29, dans la lettre de Charles Buet à Léon Bloy datée du 25 novembre 1882, et page 42, dans la lettre de Léon Bloy à Charles Buet datée du 24 mars 1883.
Annonces et comptes rendus de conférences et de spectacles où des poèmes de Maurice Rollinat sont chantés ou lus |
Dans le Gil Blas du 16 janvier 1883, page 2 rubrique Petites Nouvelles, nous pouvons lire l’annonce pour le soir-même, à la salle du boulevard des Capucines, d’une conférence de Marcel Fouquier sur le poète Maurice Rollinat et son livre, les Névroses, à paraître prochainement. Dans l’édition du 17 janvier, page 2 rubrique Les faits du jour, figure un bref compte rendu de cette conférence qualifiée d’ "intéressante" et dont "le succès a été vif pour le poète et le jeune critique".
L’annonce de la conférence de Marcel Fouquier figure également dans Le Temps du 16 janvier 1883, page 4.
Dans La Justice du samedi 20 janvier 1883, page 3 rubrique Lettres et arts, figure un bref compte rendu de la soirée de lundi dernier (c’est-à-dire le 15 janvier), salle des Capucines, de la conférence de M. Marcel Fouquier sur Maurice Rollinat : "le jeune conférencier a su, dans une critique très fine, faire ressortir les brillantes qualités du poète".
Dans La Justice du 21 mars 1883, page 4 rubrique Échos des Théâtres, figure l’annonce pour le vendredi 23 mars à 8 heures et demie, d’une soirée salle des Conférences, 39 boulevard des Capucines, avec Mme Amélie Ernst qui a mis à son programme deux poèmes de Maurice Rollinat.
Dans le Gil Blas du 12 mars 1886, page 1 rubrique Nouvelles et Echos, nous apprenons que le lundi précédent (8 mars) au dîner des Fiévreux, Maurice Rollinat revenu à Paris, a chanté quelques morceaux de son prochain volume l’Abîme.
Soirée du 14 février 1892 au Théâtre d’Application
La soirée annoncée par Armand Dayot à la fin de son article paru dans Le Figaro du 14 janvier 1892, page 1, se réalisera le dimanche 14 février au Théâtre d’Application. Nous trouvons une annonce de celle-ci dans l’édition du 7 février, page 3 rubrique Courrier des Théâtres, puis dans celle du 11 février, page 3 rubrique Courrier des Théâtres. Le 14 février, page 1 rubrique Échos, nous pouvons lire une présentation de Maurice Rollinat et en page 3 rubrique Courrier des Théâtres, une annonce pour le soir-même de la soirée avec la liste des intervenants. Un compte rendu est paru le 15 février 1892, page 4 rubrique Courrier des Théâtres. Cette soirée sera également évoquée dans l’article Notre "Five o’clock" de Maurice Lefèvre, paru le 20 février 1892, pages 1 et 2.
Dans Le Gaulois du 17 janvier 1892, page 1, Gustave Geffroy signe un article intitulé Maurice Rollinat, dans lequel l’auteur essaie de convaincre, parfois de façon laborieuse, ses lecteurs d’assister à la soirée qui sera prochainement programmée et consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat (il s’agit de la soirée du dimanche 14 février au Théâtre d’Application, mais ni la date ni le lieu ne sont encore fixés). (Lire cet article.)
Dans La Justice du 20 janvier 1892, pages 1 et 2, nous pouvons lire l’article La musique de Rollinat de Gustave Geffroy écrit en vue de la soirée prochaine consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat ; le titre est en partie trompeur car pendant une moitié de l’article l’auteur donne ses idées personnelles sur la lecture ; la fin de l’article concerne bien la musique de Maurice Rollinat mais sans qu’il y ait d’analyse. Dans l’édition du dimanche 14 février, page 5 rubrique Échos des Théâtres, nous pouvons lire une courte présentation de la soirée prévue le soir même au Théâtre d’Application avec audition des mélodies et des poèmes de Maurice Rollinat, et page 6 rubrique Programme des Spectacles, un rappel succinct de cette soirée. Le 15 février, page 2, figure un article intitulé La soirée d’hier - Audition des œuvres de Maurice Rollinat, signé Charles Martel qui fait le compte rendu de la soirée du 14 février au Théâtre d’Application. Enfin, le 16 février, page 1, Gustave Geffroy consacre sa Chronique à la Poésie et musique de Rollinat, où il met en valeur de manière élogieuse les qualités du poète, en se référant à la soirée du 14 février.
Dans Art et Critique du 23 janvier 1892, page 20 (quatrième du numéro), Gorgias (pseudonyme) dans son Bulletin de la Semaine, parle de Maurice Rollinat et de sa manière d’interpréter ses œuvres, et annonce une soirée réservée à l’audition de celles-ci.
Dans Le Rappel datée du 9 février 1892, page 3 rubrique Derrière la toile, un court entrefilet annonce pour "Dimanche soir" une "audition de mélodies et de poésies de M. Rollinat" au Théâtre d’Application. Dans l’édition datée du 15 février, page 3 rubrique Derrière la toile, figure l’annonce pour "Aujourd’hui" (c’est-à-dire le dimanche 14 février) de la soirée au Théâtre d’Application où seront récités ou chantés "des vers et des mélodies de l’excellent poète-musicien Maurice Rollinat", avec la présentation du programme. Et dans l’édition datée du 16 février, page 2, un long article de Charles Frémine intitulé Maurice Rollinat, fait le compte rendu de cette soirée ; l’auteur en profite pour se remémorer des souvenirs de 1872 (cette partie correspondant aux paragraphes 3 à 13 inclus, est reprise de l’article « Ni cet excès d’honneur, ni, etc. » du même auteur, paru dans Le Rappel du 12 décembre 1882, page 3).
Dans Le Soleil du 13 février 1892, page 3, rubrique Petite Gazette des Théâtres signée Pierre Thomy, nous pouvons lire une courte annonce de la soirée du lendemain au Théâtre d’Application, avec la liste des récitants prévus au programme. Dans l’édition du 15 février, page 3, même rubrique, figure un bref compte rendu de cette soirée.
Le Ménestrel n° 7 du 14 février 1892, page 55, annonce pour le même jour, une soirée consacrée à l’audition des œuvres poétiques et musicales de Maurice Rollinat, au Théâtre d’Application. Le compte rendu de cette soirée est paru dans le n° 8 du 21 février, pages 63 et 64.
Le XIXe siècle du 15 février 1892, page 3 rubrique Les Théâtres, annonce pour le soir même (c’est-à-dire pour le dimanche 14 février), à huit heures et demie, au Théâtre d’Application, la soirée consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat. Un compte rendu figure dans l’édition du 16 février, page 3 rubrique Les Théâtres.
La Lanterne du 15 février 1892, page 3 rubrique Théâtres, annonce pour le soir même (c’est-à-dire pour le dimanche 14 février), au Théâtre d’Application, la soirée consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat. Un compte rendu sera publié dans l’édition du 16 février, page 3 rubrique Théâtres.
Dans La République Française du 15 février 1892, page 3, rubrique Courrier des spectacles, nous pouvons lire un compte rendu de la soirée de la veille au Théâtre d’Application, qualifiée de "Représentation extraordinaire des œuvres de Maurice Rollinat".
Dans le Gil Blas du 16 février 1892, page 3 rubrique La Soirée Parisienne, figure un article intitulé La soirée de Rollinat et signé Le Bachelier, qui fait le compte rendu de la soirée qui vient de lui être consacrée (sans préciser ni le lieu, ni la date).
Dans L’Intransigeant du 17 février 1892, page 2, Sutter-Laumann, signe un article intitulé La soirée de Maurice Rollinat dans lequel il fait le compte rendu de la soirée du 14 février au Théâtre d’Application. Il détaille notamment la qualité d’interprétation de chaque intervenant.
Dans L’Écho de Paris du 17 février 1892, page 3 rubrique Gazette théâtrale signée Le Capitaine Fracasse, pseudonyme utilisé par Auguste Germain, figure une lettre de Robert Charvay qui n’a pas pu faire le compte rendu de la soirée à la Bodinière en l’honneur du poète Rollinat, car il avait oublié son invitation.
La soirée du 14 février au Théâtre d’Application sera relatée par Octave Mirbeau dans une lettre à Claude Monet datée du 17 février 1892. Celle-ci sera publiée dans Les cahiers d’aujourd’hui n° 9 de 1922, pages 169 à 171.
Dans Art et Critique du 20 février 1892, page 91 (onzième du numéro), nous pouvons lire un compte rendu de "La Soirée de Rollinat" qui s’est tenue au Théâtre d’Application le 14 février 1892.
Dans Le Temps du 22 février 1892, page 2 rubrique Chronique théâtrale, Francisque Sarcey fait un compte rendu très sympathique de la séance consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat, organisée le dimanche précédent au Théâtre d’Application.
Dans La Revue blanche de février 1892, page 128, figure un compte rendu de la soirée au Théâtre d’Application. Un paragraphe est consacré à l’exécution par Mlle Godebska des "Trois valses" de Maurice Rollinat en ouverture à la seconde partie du concert.
Matinées au Théâtre d’Application
Dans La Justice du 15 février 1892, du 16 février, du 17 février, du 18 février, du 19 février, du 20 février, du 21 février, du 22 février, du 23 février, du 24 février, du 25 février, du 26 février, du 27 février, du 28 février, du 29 février, du 1er mars, du 2 mars, du 3 mars, du 4 mars, du 5 mars, du 6 mars, du 7 mars, du 8 mars, du 9 mars, du 10 mars, du 11 mars, du 12 mars, du 13 mars, du 14 mars, du 15 mars, du 16 mars, du 17 mars, du 18 mars, du 19 mars, du 20 mars, du 21 mars, du 22 mars, du 23 mars, du 24 mars, du 25 mars, du 26 mars, du 27 mars, du 28 mars, du 29 mars, du 30 mars, du 31 mars, du 1er avril et du 2 avril, pages 4 rubrique Programme des Spectacles, figure chaque jour la même annonce : "Théâtre d’Application, 12, rue Saint-Lazare - Audition des mélodies et poésies de Rollinat", sans indication ni de l’heure, ni du programme.
Dans Le Figaro du 19 février 1892, page 4 rubrique Courrier des Théâtres, il est indiqué que le même jour à 3 heures au Théâtre d’Application, Yvette Guilbert ajoute à son répertoire deux chansons de Maurice Rollinat. Cette même information figure dans l’édition du 21 février, page 3 rubrique Courrier des Théâtres, pour la séance de 8 heures.
Le XIXe siècle du 20 février 1892, page 3 rubrique Les Théâtres, annonce pour "aujourd’hui" (c’est-à-dire le vendredi 19 février), à trois heures au Théâtre d’Application, une séance avec Mlle Yvette Guilbert et M. Hugues Le Roux, dont le programme comprend "L’Idiot" de Maurice Rollinat.
Dans le Gil Blas du 20 février 1892, page 4, rubrique Propos de Coulisses, nous pouvons lire l’annonce d’une matinée, au Théâtre-d’Application, avec Yvette Guilbert qui ajoutera à son répertoire deux chansons de Maurice Rollinat.
Dans l’édition du 20 février 1892 de Le Gaulois, page 4, nous trouvons le compte rendu de "la matinée d’hier" au Théâtre d’Application, au cours duquel Yvette Guilbert a interprété deux chansons de Maurice Rollinat.
Soirées littéraires et artistiques à l’Eldorado
Dans Le Figaro du 10 mars 1892, page 3 rubrique Courrier des Théâtres, il est indiqué qu’au programme de la dixième Soirée artistique et littéraire qui a lieu le jour-même à l’Eldorado, figurent La Chanson des Yeux et Les Corbeaux de Maurice Rollinat interprétés par Kam-Hill. Le 16 mars 1892, page 6 dans Petites nouvelles, un entrefilet annonce que Kam-Hill vient d’intercaler Les Corbeaux de Maurice Rollinat, dans son programme de chaque soir, à la grande satisfaction du public de l’Eldorado.
Dans le Gil Blas du 11 mars 1892, page 4 rubrique Propos de Coulisses, nous apprenons que les Soirées artistiques et littéraires du jeudi à l’Eldorado, obtiennent le succès et qu’au programme figure Kam-Hill qui interprète La Chanson des Yeux et Les Corbeaux de Maurice Rollinat. Dans l’édition du 17 mars, page 4 rubrique Propos de Coulisses, il est annoncé que devant l’immense succès obtenu par Kam-Hill au dernier Jeudi Artistique et Littéraire de l’Eldorado avec Les Corbeaux de Maurice Rollinat, ce morceau est incorporé dans son programme de chaque soir. Le 18 mars, page 4 toujours dans la rubrique Propos de Coulisses, figure l’annonce du programme de la onzième Soirée Artistique et Littéraire, pour le soir même à l’Eldorado, avec les poèmes de Maurice Rollinat.
Dans La Lanterne du 11 mars 1892, page 3 rubrique Théâtres, annonce dans un court article, pour "ce soir jeudi" (c’est-à-dire le 10 mars) de la 10ème soirée artistique et littéraire à l’Eldorado, au cours de laquelle Kam-Hill interprétera La Chanson des Yeux et Les Corbeaux de Maurice Rollinat. Dans l’édition du 17 mars, page 3 rubrique Théâtres, nous pouvons lire que devant le succès obtenu lors de cette soirée, Kam-Hill a intercalé Les Corbeaux dans son programme de chaque soir à l’Eldorado, à la grande satisfaction du public.
Dans Le Pays du 11 mars 1892, page 4, rubrique Les Théâtres signée Arlequin, un article présente les Soirées artistiques et littéraires à l’Eldorado et indique que Kam-Hill interprète La Chanson des Yeux et Les Corbeaux de Maurice Rollinat. Dans l’édition du 17 mars, page 4, même rubrique, il est annoncé que devant le succès obtenu par Kam-Hill avec Les Corbeaux, cette pièce est interprétée chaque soir à l’Eldorado, à la grande satisfaction du public.
Dans L’Écho de Paris du 12 mars 1892, page 1 rubrique Échos, il est indiqué que Kam-Hill interprète des compositions de Maurice Rollinat (sans préciser le lieu).
À la fin de sa Chronique théâtrale, parue dans Le Temps du 14 mars 1892, page 2, Francisque Sarcey indique que Kam-Hill chante avec succès deux poésies de Maurice Rollinat à l’Eldorado.
Dans La Presse du 15 mars 1892, page 4 rubrique Courrier des Théâtres, il est indiqué qu’avant-hier soir, à l’Eldorado, M. Kam-Hill s’est taillé un grand succès en interprétant deux chansons de Maurice Rollinat. Dans l’édition du 17 mars 1892, toujours page 4 rubrique Courrier des Théâtres, on apprend que devant le succès obtenu, M. Kam-Hill rajoute Les Corbeaux de Maurice Rollinat à son répertoire. Et dans l’édition du 18 mars page 4 même rubrique, il est annoncé pour le jour, la onzième Soirée artistique et littéraire à L’Eldorado avec au programme La Chanson des Yeux et Les Corbeaux de Maurice Rollinat interprétés par M. Kam-Hill.
L’Éclair du 17 mars 1892, page 4, rubrique « Théâtre », indique que Kam-Hill a intercalé le poème Les Corbeaux de Maurice Rollinat dans son programme de chaque soir, à la grande satisfaction du public.
Dans L’Écho de Paris du 17 mars 1892, page 4 rubrique Gazette théâtrale, nous pouvons lire que Kam-Hill dit maintenant chaque soir à l’Eldorado, Les Corbeaux de Maurice Rollinat.
Autres manifestations
Dans La Justice du 15 mars 1892, page 2 figure le compte rendu du concert de bienfaisance donné dimanche 13 mars, à la mairie du 14ème arrondissement ; il est indiqué entre autres, que M. Lugné-Poë a superbement récité des pièces exquises de Richepin et de Rollinat.
Dans sa Chronique théâtrale, parue dans Le Temps du 12 septembre 1892, page 2, Francisque Sarcey nous apprend qu’Yvette Guilbert a fait son entrée avec un programme renouvelé comprenant un poème de Maurice Rollinat.
Dans Le Figaro du 17 mars 1893, page 1, au sein de la rubrique Échos signée "Le Masque de Fer", pseudonyme utilisé par Philippe Gille, nous apprenons qu’Yvette Guilbert a eu un énorme succès la veille lors d’une soirée chez la comtesse d’Ormesson, et qu’elle a chanté des œuvres de Rollinat.
Dans Le Pays républicain du 3 février 1894, page 3, rubrique Courrier des théâtres, il est indiqué que Mlle Fernande d’Erlincourt interprétera au Concert-Parisien des œuvres des maîtres de la littérature contemporaine, dont Maurice Rollinat.
Dans Le Figaro du 6 mars 1895, page 5, rubrique « Petites nouvelles », il est annoncé que M. Mévisto aîné fera ses débuts le lendemain au Carillon, et qu’il récitera des pièces de Maurice Rollinat et de Yan-Nibor.
Dans Le Journal du 8 mars 1895, page 4, rubrique « Courrier des Théâtres », il est annoncé l’engagement, au Carillon, de M. J. Mevisto aîné, qui interprétera des œuvres de Rollinat, de Millanvoye, de Yan Nibor, etc.
Dans le Supplément littéraire de La Lanterne du 14 mars 1895, page 3 rubrique « Spectacles, Concerts et Coulisses », il est indiqué que dans un petit hôtel particulier, s’est installé « Le Carillon », rendez-vous de chansonniers et de poètes. Parmi les participants, il y a Mévisto ainé qui « interprète supérieurement Rollinat ».
Dans Le Soleil du 4 janvier 1898, page 4, rubrique Petite Gazette des Théâtres, figure l’annonce pour le samedi suivant (c’est-à-dire le 8 janvier), d’une soirée de poésie ancienne et moderne comprenant, entre autres, des poèmes de Maurice Rollinat.
Dans Le XIXe Siècle du 6 janvier 1898, page 3 rubrique Derrière la toile, figure l’annonce à l’Odéon du prochain "Samedi de poésie ancienne et moderne" ; Maurice Rollinat figure au programme parmi d’autres auteurs. Dans l’édition du 9 janvier, page 4 même rubrique, nous pouvons lire la même annonce commençant par "Aujourd’hui, à 5 heures..." (c’est-à-dire samedi 8 janvier). Et le 10 janvier, page 2 rubrique Chronique dramatique, nous pouvons lire le compte rendu de cette soirée où Janvier a remporté un triomphe avec L’Allée des Peupliers de Maurice Rollinat.
Dans Le Petit Parisien du 8 janvier 1898, page 3 rubrique Courrier des Théâtres, figure l’annonce pour le jour-même, à 5 h à l’Odéon, d’une soirée au cours de laquelle seront dits des poèmes de nombreux auteurs dont Maurice Rollinat. Une annonce similaire figure dans le Gil Blas du 8 janvier, page 4, rubrique Propos de Coulisses.
Dans Pêle-Mêle - Journal humoristique hebdomadaire du 23 janvier 1898, page 11 rubrique Pêle-Mêle-Théâtre, nous pouvons lire un compte rendu des samedis populaires de poésie organisés par le théâtre de l’Odéon, au cours desquels MM. Albert Lambert et Rameau ont fait un triomphe avec L’Allée des Peupliers de Maurice Rollinat.
Dans Le Figaro du 23 mai 1898, page 5, rubrique Spectacles et concerts, nous trouvons une annonce pour le spectacle-concert du jeudi 26 mai, au cours duquel deux poèmes de Maurice Rollinat seront lus par M. et Mme Cossira. Une nouvelle annonce est parue dans l’édition du 26 mai, page 5, rubrique Plaisirs parisiens. Un compte rendu figure dans l’édition du 27 mai, page 4, rubrique Spectacles et concerts.
Dans Le XIXe Siècle du 25 mai 1898, page 3 rubrique Derrière la toile, on annonce qu’à L’Ambigu, le vingt-et-unième et dernier Jeudi populaire de musique ancienne et moderne, sera exceptionnellement brillant... Deux poèmes de Maurice Rollinat sont au programme : Tristesse de la lune et Les Yeux morts.
Dans le Journal des débats politiques et littéraires du 25 mai 1898, page 3, rubrique Courrier des théâtres, figure l’annonce du 21e et dernier jeudi populaire de musique ancienne et moderne, avec deux poèmes de Maurice Rollinat au programme.
Dans Le Figaro du 29 mai 1898, page 2, rubrique Le Monde et la Ville, nous pouvons lire un compte rendu de la soirée qui s’est déroulée la veille chez Mme Ménard-Dorian, au cours de laquelle M. et Mme Cossira ont dit des poèmes de Maurice Rollinat, avec le commentaire suivant : "Cette audition des œuvres si émouvantes de Rollinat a été le clou de la soirée".
Soirée du 28 juin 1898 à l’Athénée-Comique
Cinq articles parus dans Le Gaulois, sont consacrés à la soirée qui a eu lieu le 28 juin 1898, à l’Athénée-Comique, à Paris. Dans le numéro du 29 mai 1898, page 4, un petit article annonce cette soirée consacrée à Maurice Rollinat et réalisée au profit d’un ancien soldat de 1870 que ses blessures ont peu à peu rendu inapte à tout travail et réduit à la plus atroce misère. Il faut attendre le 22 juin pour avoir la date et le lieu dans un entrefilet, page 3. Le programme est précisé dans l’édition du 25 juin, page 3. Le 28 juin, jour de la représentation, c’est un grand article intitulé L’affiche du jour qui présente la soirée en page 1. Pages 2 et 3 de la même édition l’annonce est répétée. Le compte rendu de cette soirée signé Faverolles (pseudonyme utilisé par Joseph Montet) a été publié dans l’édition du 30 juin, page 3, sous le titre Soirée Parisienne, il est indiqué que la soirée a commencé par "une substantielle et vibrante conférence de Maurice Lefèvre, racontant l’homme et son œuvre" (NB : cette conférence a été publiée dans La Vie quotidienne du 14 août 1898, pages 54 à 56).
Dans Le Figaro du 22 juin 1898, page 4, rubrique Spectacles & Concerts, il y a l’annonce pour le mardi suivant (le 28 juin), d’une soirée à l’Athénée-Comique consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat. Dans l’édition du 28 juin, page 2, rubrique La journée, figure une brève annonce de la soirée Maurice Rollinat à l’Athénée-Comique et il est indiqué qu’elle est donnée au profit de M. Leczinski, et en page 4, rubrique Courrier des Théâtres, nous trouvons un entrefilet annonçant cette même soirée.
Dans Le Journal du 22 juin 1898, page 4 rubrique Courrier des Théâtres signée Adolphe Mayer, figure l’annonce pour le mardi 28 juin, de la soirée à l’Athénée-Comique, consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat avec comme commentaire final : "On dit merveille du programme". Dans l’édition du 25 juin, page 3 rubrique Courrier des Théâtres, il est indiqué que la soirée "s’annonce comme un grand succès de curiosité", puis suivent les noms des interprètes prévus au programme. Le 27 juin, pages 1 et 2, dans un long article intitulé tout simplement Maurice Rollinat, Gustave Geffroy annonce la soirée du mardi 28 juin à l’Athénée-Comique en l’honneur de Maurice Rollinat, puis présente le poète à travers sa vie et son œuvre. Dans l’édition du 28 juin, page 4 rubrique Courrier des Théâtres, figure l’annonce de la soirée à l’Athénée-Comique pour le soir-même à 8 h 1/2.
L’Écho de Paris du 23 juin 1898, page 4 rubrique Gazette théâtrale, annonce pour mardi prochain 28 juin, une soirée à l’Athénée-Comique consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat. Cette même annonce est à nouveau parue dans l’édition du 26 juin, page 3 même rubrique. Le 27 juin, c’est dans un article en page 1 intitulé La Soirée de Maurice Rollinat signé Nestor (pseudonyme utilisé par Henry Fouquier), que la manifestation est décrite ; l’auteur présente tout d’abord M. Théophile Leczinski au profit de qui la soirée est donnée, puis le déroulement de celle-ci avec la conférence de M. Lefèvre. Le 29 juin, page 4 rubrique Gazette théâtrale, rappel de la soirée pour "ce soir" à "8 h et demie" (c’est-à-dire le 28 juin).
Dans le Gil Blas du 23 juin 1898, page 4 rubrique Propos de Coulisses, figure l’annonce pour mardi prochain, 28 juin, à l’Athénée-Comique, d’une soirée consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat. Une annonce plus détaillée figure dans l’édition du 25 juin, page 4 même rubrique.
L’Aurore du 23 juin 1898, page 3 rubrique Courrier des Théâtres, annonce pour le mardi suivant (28 juin), une soirée à l’Athénée-Comique sur les œuvres de Maurice Rollinat, avec une conférence de M. Maurice Lefèvre. Dans l’édition du 28 juin 1898, page 1 rubrique Échos et Nouvelles, figure pour le jour même une nouvelle annonce pour cette manifestation ; celle-ci est plus complète et précise que la soirée est donnée au profit de M. Théophile Leczinski, et qu’elle est organisée par MM. Joseph Montet et Armand Dayot. Un compte-rendu assez élogieux est paru le 30 juin, page 3 rubrique Courrier des Théâtres.
Dans Le Temps du 23 juin 1898, page 3, rubrique Théâtres, nous pouvons lire l’annonce de la soirée du mardi 28 juin, consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat, après une conférence de M. Maurice Lefevre. Le 25 juin, page 3, rubrique Théâtres, il est précisé que cette soirée s’annonce comme un grand succès, qu’elle est donnée au profit de M. Théophile Leczinski, et les noms des acteurs qui liront les poèmes de Maurice Rollinat sont indiqués. Le 27 juin, dans sa Chronique théâtrale, page 2, Francisque Sarcey présente la soirée puis Maurice Rollinat, et retrace un entretien avec Joseph Montet qui précise comment la soirée a été organisée. Le 28 juin, page 3, rubrique Théâtres, il y a un rappel pour la soirée du lendemain. C’est dans l’édition du 4 juillet que Francisque Sarcey, dans sa Chronique théâtrale, pages 1 et 2, fait le compte-rendu de cette soirée ; il parle en particulier de la meilleure manière d’interpréter les poèmes de Maurice Rollinat.
Dans La Fronde du 23 juin 1898, page 4 rubrique Nouvelles Théâtrales, figure l’annonce de la soirée du 28 juin à l’Athénée-Comique. Dans l’édition du 26 juin, page 1 rubrique On dit..., un paragraphe est consacré à Maurice Rollinat précisant qu’il est souhaitable d’entendre Maurice Rollinat dire ses vers lui-même.
Dans Le XIXe Siècle du 24 juin 1898, page 3 rubrique Derrière la toile, figure l’annonce pour mardi 28, d’une soirée à l’Athénée-Comique consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat après une conférence de Maurice Lefèvre. Dans l’édition du 29 juin, page 3 même rubrique, la soirée est annoncée pour le soir-même (c’est-à-dire le 28 juin) à 8 heures et demie ; il est alors précisé qu’elle est donnée au bénéfice de M. Théophile Leczinski.
L’Intransigeant du 24 juin 1898, page 3 rubrique Théâtres, annonce la soirée du 28 juin à l’Athénée-Comique consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat.
Dans Le Constitutionnel daté du 26 juin 1898, page 4 rubrique Courrier des Théâtres, un court article annonce la soirée Maurice Rollinat du mardi 28 juin à l’Athénée-Comique et donne le nom des interprètes ; il est indiqué que la soirée "s’annonce comme un grand succès de curiosité". Une annonce quasi identique est parue dans l’édition datée du 29 juin, page 3 rubrique Courrier des Théâtres, pour "ce soir", c’est-à-dire mardi 28. Un compte rendu est paru dans dans l’édition datée du 1er juillet, page 2, sous la forme d’un long article élogieux intitulé La soirée Rollinat, signé G. F. (est-ce Gustave Geffroy ?) et qui se conclut par la phrase : "Quel directeur artistique et avisé aura l’idée de... découvrir Rollinat."
Le Ménestrel n° 26 du 26 juin 1898, page 206, annonce pour le mardi 28 juin à l’Athénée-Comique, une soirée consacrée à Maurice Rollinat, avec une conférence et l’interprétation de ses œuvres. Dans le n° 27 du 3 juillet, page 216, figure un compte-rendu de cette soirée.
Dans L’Attaque du 26 juin 1898, page 1 rubrique Échos et Nouvelles, il est fait allusion à la soirée du 28 à l’Athénée-Comique, mais la présentation de Maurice Rollinat est plus que douteuse.
Dans La Presse du 27 juin 1898, page 2 rubrique La Scène, figure l’annonce de la soirée du 28 à l’Athénée-Comique consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat. Dans l’édition du 28 juin 1898, page 3 rubrique La Scène, il est indiqué que cette soirée s’annonce comme un grand succès.
Dans le Journal des débats politiques et littéraires du mardi 28 juin 1898, page 3 rubrique Courrier des Théâtres, figure l’annonce de la soirée Maurice Rollinat pour "demain mardi" (c’est-à-dire le 28), à l’Athénée-Comique avec une brève présentation. Dans l’édition du 29 juin, c’est un bref rappel de la soirée qui figure page 3 rubrique Courrier des théâtres, pour "ce soir, à huit heures et demie".
Dans Le Petit Parisien du 28 juin 1898, page 4 rubrique Courrier des Théâtres, on trouve l’annonce pour le jour-même à l’Athénée-Comique, de la soirée consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat.
L’article intitulé Maurice Rollinat, poète et musicien, paru dans Le Courrier du Centre du 2 juillet 1898, page 3 rubrique Chronique locale, est en réalité le compte rendu de la soirée du 28 juin à l’Athénée-Comique à Paris. L’article se termine par une courte mais intéressante analyse de la musique de Maurice Rollinat.
Dans Le Monde Artiste illustré, n° 27 du 3 juillet 1898, à la rubrique Chronique théâtrale tenue par Edmond Stoullig, pages 421 et 422, figure un compte-rendu de la soirée à l’Athénée Comique consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat.
Dans Lemouzi n° 38 d’août-septembre 1898, dans la rubrique Echos limousins, deuxième et troisième pages du Bulletin (après la page 104), nous pouvons lire un compte rendu de la soirée du 28 juin 1898 à l’Athénée-Comique à Paris, consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat.
Autres manifestations
Dans Le XIXe Siècle du 23 décembre 1898, page 3 rubrique Petit courrier, nous trouvons l’annonce pour samedi prochain de la deuxième matinée poétique et littéraire au Théâtre des Capucins ; le poème "Le Vent" de Maurice Rollinat est au programme.
Dans Le Figaro du 25 décembre 1898, page 5, rubrique Spectacles & Concerts, nous pouvons lire l’annonce pour le samedi suivant (le 31 décembre), au théâtre des Capucines, d’une matinée littéraire et poétique avec des œuvres de différents auteurs dont Maurice Rollinat.
Dans le numéro du 7 juin 1899 de Le Gaulois, page 3, nous apprenons que Mme Emma Cossira a chanté Recueillement de Maurice Rollinat dans une soirée au théâtre de Bourges.
Dans Le Figaro du 17 décembre 1900, page 5, rubrique Spectacles & concerts, nous pouvons lire le programme de la séance organisée par la Société des Matinées artistiques populaires, au théâtre de la Renaissance le mercredi suivant (le 19 décembre), qui comprend le poème La Musique de Maurice Rollinat avec un accompagnement musical de F. Thomé. Ce programme est repris dans l’édition du 19 décembre, page 5, rubrique Plaisirs parisiens. Une information identique est parue dans Le Temps du 18 décembre 1900, page 3, rubrique Théâtres.
Matinées à la Bodinière où Yvette Guilbert chante des poèmes de Maurice Rollinat et de Charles Baudelaire mis en musique par Maurice Rollinat
La France du 18 décembre 1900, page 3, rubrique Concerts, annonce le prochain retour d’Yvette Guilbert à la Bodinière avec des poèmes de Maurice Rollinat et de Charles Baudelaire.
Dans Le Figaro du 1er janvier 1901, page 2, rubrique Le Monde et la Ville, il est indiqué qu’avant-hier, lors du dîner de crémaillère chez Mme Yvette Guilbert, celle-ci a donné la primeur des mélodies de Maurice Rollinat qu’elle va bientôt faire entendre à la Bodinière, et qu’elle chante avec une passion et un art étrangement captivants.
Dans Le Figaro du 6 janvier 1901, page 4, rubrique Spectacles & concerts, nous trouvons dans le programme de la semaine à la Bodinière, l’annonce de la première séance, le vendredi 11, des matinées Yvette Guilbert avec des poèmes de Baudelaire mis en musique par Maurice Rollinat. Dans l’édition du 8 janvier, page 5, rubrique Spectacles & concerts, figure une annonce plus détaillée et il est précisé que Maurice Rollinat viendra spécialement à Paris pour assister à la première audition de ses œuvres. Un compte rendu de cette séance est paru le 13 janvier, page 5, rubrique Spectacles & concerts, puis dans la même page, dans le programme de la semaine, il est annoncé la deuxième séance pour le mardi 15. La troisième séance est annoncée brièvement le 18 janvier, pour le jour-même, en page 5, rubrique Spectacles & concerts. Dans l’édition du 21 janvier, en page 4, toujours dans la rubrique Spectacles & concerts, figure un nouveau compte rendu des séances à la Bodinière et l’annonce que pour les prochaines séances, deux nouvelles mélodies de Maurice Rollinat complèteront le programme. Le 22 janvier, page 5, dans la rubrique Spectacles & concerts, nous trouvons l’annonce pour le jour-même à la Bodinière, de la deuxième séance des Matinées Yvette Guilbert sur les poèmes de Baudelaire et de Rollinat. Le 25 janvier, page 4, dans la rubrique Spectacles & concerts, figurent une annonce pour le jour-même de la troisième matinée Yvette Guilbert à la Bodinière, puis un compte rendu des séances précédentes avec l’annonce d’une dernière séance le vendredi suivant, et le prochain départ d’Yvette Guilbert pour une tournée en Allemagne. Le 28 janvier, nous pouvons lire en page 5, dans la rubrique Spectacles & concerts, que le lendemain [mardi 29], aura lieu la sixième et dernière audition de Mme Yvette Guilbert sur les poèmes de Baudelaire et de Rollinat. Un rappel est paru le 29 janvier, page 5, rubrique Spectacles & concerts. (NDLR : Il est un petit peu difficile de s’y retrouver dans la numérotation des séances. Nous pouvons dire que les six séances ont eu lieu les 11, 15, 18, 22, 25 et 29 janvier 1901.)
Dans Le Temps du 7 janvier 1901, page 3 rubrique Théâtres, figure l’annonce du programme de la semaine à la Bodinière avec le vendredi [11 janvier] la première séance des matinées Yvette Guilbert sur les poèmes de Baudelaire mis en musique par Maurice Rollinat, avec une conférence de M. Arsène Alexandre. Dans l’édition du 14 janvier 1901, nous pouvons lire dans la Chronique théâtrale signée Gustave Larroumet page 2, un compte rendu de cette matinée, et en page 3 rubrique Théâtres, le programme de la semaine à la Bodinière avec le mardi [15 janvier] la deuxième séance et le vendredi [18 janvier] la troisième des matinées Yvette Guilbert. Le 21 janvier, toujours dans la rubrique Théâtres page 3, nous trouvons l’annonce des quatrième et cinquième séances, le mardi [22 janvier] et le vendredi [25 janvier]. Et le 28 janvier, c’est l’annonce de la sixième et dernière séance le mardi [29 janvier] qui figure dans la rubrique Théâtres, page 3.
Dans le numéro du 8 janvier 1901 de Le Gaulois, page 4, on annonce qu’Yvette Guilbert va chanter des poèmes de Baudelaire mis en musique par Maurice Rollinat et dans l’édition du 14 janvier 1901, page 1, on nous donne le compte rendu de cette soirée qui s’est déroulée le 11 janvier.
Dans Le Soleil du 8 janvier 1901, page 3, rubrique Petite Gazette des Théâtres signée Louis Schneider, on peut lire que le vendredi 11 janvier, à trois heures, à la Bodinière, Yvette Guilbert interprétera des œuvres de Baudelaire mises en musique par Maurice Rollinat, avec des commentaires de M. Arsène Alexandre. Le 12 janvier, page 1 dans la rubrique Au jour le jour signée Furetières, figure un compte rendu de cette soirée mais l’auteur parle surtout de la santé d’Yvette Guilbert. Et le 14 janvier en page 2, Chiffonnette dans Lettres d’une élégante, émet un avis très négatif sur Yvette Guilbert et la musique de Maurice Rollinat.
Dans le Journal des débats politiques et littéraires du 9 janvier 1901, page 3 rubrique Courrier des théâtres, on annonce que Maurice Rollinat assistera à la première audition de ses œuvres le 11 janvier à la Bodinière.
Dans Le Soir du 11 janvier 1901, page 1, rubrique Dernière heure, un article intitulé La résurrection d’Yvette Guilbert fait le compte rendu de la première des matinées à la Bodinière et donne la liste des poèmes de Maurice Rollinat et de Charles Baudelaire interprétés.
Renée Rambaud, dans un article intitulé La rentrée d’Yvette, paru dans La Fronde du 12 janvier 1901, page 1, fait un compte-rendu élogieux de la matinée qui s’est tenue la veille à la Bodinière.
Dans La Presse du 14 janvier 1901, page 2, dans La semaine dramatique signée Edmond Sée, il est indiqué qu’Yvette Guilbert interprète des poésies de Baudelaire mises en musique par Maurice Rollinat, à la Bodinière. Dans l’édition du 18 janvier, page 2 rubrique La vie qui passe - Le carnet des heures signée Martin Gale (pseudonyme utilisé par Albert Flament), la date du mardi 15 janvier est consacrée à Yvette Guilbert et aux matinées à la Bodinière ; le commentaire est très négatif puisque l’auteur conseille à Yvette Guilbert d’arrêter de chanter. C’est un tout autre son de cloche qui nous attend dans l’édition du 21 janvier, page 2, car Edmond Sée dans sa rubrique La semaine dramatique fait un compte rendu de la prestation d’Yvette Guilbert à la Bodinière, dans lequel il loue les qualités de l’actrice.
La Lanterne du 16 janvier 1901, page 3 rubrique Les Coulisses, annonce pour "aujourd’hui mardi" (c’est-à-dire le 15 janvier) à trois heures, la séance à La Bodinière au cours de laquelle "Mme Yvette Guilbert interprétera pour la seconde fois, les œuvres de Baudelaire, mises en musique par le talentueux poète Maurice Rollinat...".
Dans La Patrie du 17 janvier 1901, page 3, rubrique La Vie Théâtrale, un article « Soirée Parisienne », rend compte des matinées à la Bodinière et incite les lecteurs à aller écouter Yvette Guilbert.
Dans Le Radical du mercredi 16 janvier 1901, page 4 rubrique Petites nouvelles, nous pouvons lire qu’aujourd’hui mardi (c’est-à-dire le 15 janvier), à trois heures, à la Bodinière, Mme Yvette Guilbert interprétera, pour la seconde fois, les œuvres de Baudelaire, mises en musique par le poète Maurice Rollinat. Dans l’édition du mercredi 30 janvier, page 4 rubrique Échos des Théâtres, figure l’annonce pour aujourd’hui (c’est-à-dire mardi 29 janvier), à trois heures, à la Bodinière, de la sixième et dernière audition de Mme Yvette Guilbert, sur les poèmes de Baudelaire et de Rollinat, mis en musique par Rollinat.
L’Aurore du 17 janvier 1901, page 3, rubrique Spectacles et Concerts, annonce la troisième séance des matinées Yvette Guilbert sur des poésies de Baudelaire et Maurice Rollinat, et fait un bref compte-rendu des deux premières séances.
Autres manifestations
Dans le long compte rendu d’une séance au Petit Théâtre, paru dans Le Figaro du 13 mai 1901, page 5, rubrique Spectacles & concerts, nous apprenons qu’Yvette Guilbert a chanté un poème de Maurice Rollinat.
Dans Le Courrier du Centre du 11 juillet 1902, page 2 rubrique Chronique locale, figure l’annonce d’une soirée consacrée aux œuvres de Maurice Rollinat, dans le cadre de l’exposition du Limousin pittoresque, et la venue de celui-ci. Dans l’édition du 14 juillet, page 2 rubrique Chronique locale, nous pouvons lire un article intitulé Maurice Rollinat à Limoges qui présente Maurice Rollinat et Léo d’Ageni qui sera le principal interprète de la soirée. Dans le journal daté du 17 juillet, page 2 rubrique Chronique locale, le programme de la soirée du 17 juillet (le lendemain) est publié. Dans celui daté du 18 juillet, page 2 rubrique Chronique locale, se trouve un long article intitulé Le concert des œuvres de Rollinat qui présente à nouveau la soirée et redonne le programme qui sera joué le jour-même (c’est-à-dire le 17 juillet). Et le 19 juillet, page 3 rubrique Chronique locale, nous pouvons lire deux comptes rendus, celui de la clôture de l’exposition du Limousin pittoresque en présence de Maurice Rollinat, et celui sur Le concert de l’œuvre de Rollinat très détaillé, signé G... (vraisemblablement René Guillemot rédacteur en chef du Courrier du Centre).
Dans Lemouzi n° 82 d’août 1902, 3ème page du numéro, rubrique Échos limousins, un paragraphe est consacré à la clôture par Maurice Rollinat de l’exposition du Limousin pittoresque le 17 juillet, et à la soirée consacrée aux œuvres du poète qui a suivi.
Le Figaro du 29 décembre 1902, page 4, dans la rubrique Courrier des théâtres, annonce pour le jour-même, une matinée de gala au théâtre des Mathurins. Le programme comprend un poème de Maurice Rollinat dit par Mlle Georgette Leblanc.
Dans Le Figaro du 29 mai 1903, page 2, dans la rubrique Le Monde et la Ville, figure le compte rendu d’une soirée de bienfaisance chez le comte Robert de Montesquiou, au cours de laquelle Mme Arbel a dit des vers de Maurice Rollinat sur des mélodies de Thomé.
NB : Sauf exception (par exemple des séances entièrement consacrées à Maurice Rollinat), nous ne mentionnons plus les spectacles, émissions de radio... dans lesquels des poèmes de Maurice Rollinat sont dits.
Dans Le Figaro du 23 février 1905, page 4, rubrique Courrier des Théâtres, figure l’annonce de la troisième matinée lyrique le 24 février, au théâtre des Capucines, donnée par Mme Georgette Leblanc, avec en deuxième partie des poésies de Charles Baudelaire mises en musique par Maurice Rollinat. "Cette seconde partie a été inscrite au programme de la matinée par la brillante artiste sur la demande d’un groupe de connaisseurs grands admirateurs du talent de Maurice Rollinat." L’annonce figure à nouveau dans l’édition du 24 février, page 4, rubrique Courrier des Théâtres.
L’Aurore du 11 février 1911, page 3 rubrique Avis et Communications, annonce dans le cadre des Universités populaires, salle de Coopération des Idées, 157 faubourg Antoine, d’une conférence de V. Cyril sur la vie et l’œuvre de Maurice Rollinat.
Dans La Lanterne du dimanche 12 février 1911, page 4 rubrique Universités populaires, figure le programme du samedi 11 février (c’est-à-dire pour le jour-même), avec à la Coopération des Idées, 157 faubourg Saint-Antoine, une conférence de V. Cyril "Maurice Rollinat, sa vie et son œuvre avec le concours de nombreux artistes...".
Dans Le Figaro du 18 novembre 1925, page 2, rubrique Çà et là, figure l’annonce pour le vendredi 20 novembre, à 9 h, d’un Mémorial Maurice Rollinat, salle Comœdia.
Le Journal des débats politiques et littéraires du 19 novembre 1925, page 3 rubrique Théâtres, indique que Mme Denise Sévérin-Mars donnera vendredi 20, à 9 heures, à la Salle Comœdia, un "Memorial Maurice Rollinat", consacré aux œuvres du grand poète.
Le Menestrel n° 48 du 27 novembre 1925, page 489, annonce un "Festival Maurice Rollinat", salle Comœdia. Dans le n° 50 du 11 décembre 1925, à la rubrique "Programme des concerts", ce festival est annoncé pour le lundi 14 décembre.
Dans Le Figaro du 5 janvier 1926, page 2, rubrique Petites nouvelles, figure l’annonce pour le soir même, à l’Université Alexandre Mercereau, d’un Mémorial Maurice Rollinat, donné par Mme Denise Séverin-Mars avec une causerie de M. Jules Lévy.
La Lanterne du 20 janvier 1926, page 3 rubrique Carnet de Lettres, annonce pour le 20 janvier à 21 h, une soirée au cercle "Arts et Lettres", 128 boulevard Saint-Germain, consacrée à Maurice Rollinat et animée par Mme Denise Séverin-Mars assistée d’autres acteurs.
Dans La Presse du 8 novembre 1926, page 2 rubrique Les premières, figure le compte rendu de la troisième matinée poétique à la Comédie-Française, dont une partie était consacrée à Maurice Rollinat.
L’Indépendant du Berry du 13 novembre 1926, page 2, rend compte de la soirée du 3 novembre, organisée par Les Feuilles du Bas-Berry et Les Amis de Rollinat. Des annonces étaient parues dans les éditions du 23 octobre 1926, page 2, et du 30 octobre 1926, page 2.
Dans Les Nouvelles littéraires, artistiques et scientifiques du 27 novembre 1926, page 6 rubrique La Vie Littéraire et Artistique en Province et à l’Étranger, nous pouvons lire le compte rendu de la soirée organisée au Blanc (36) par les Amis de Rollinat et Les Feuilles du Bas-Berry.
Dans La Lanterne du 12 décembre 1926, page 3 rubrique Les Théâtres, figure l’annonce pour le vendredi 17 décembre, à 21 h, d’une soirée au Cercle "Art et Lettres", 128 boulevard Saint-Germain, au cours de laquelle M. Hugues Lapaire parlera du poète chansonnier Maurice Rollinat (anniversaire de sa naissance). Mme Denise Séverin-Mars et d’autres acteurs prêteront leur concours.
Comœdia du 14 décembre 1926, page 3 rubrique La Vie Littéraire - Petit Courrier, publie l’annonce de la soirée du vendredi 17 décembre au Cercle "Arts et Lettres", avec la participation de M. Hugues Lapaire qui parlera du poète-chansonnier Maurice Rollinat, de Mme Denise Séverin-Mars et d’autres acteurs de la Comédie-Française et de l’Odéon.
Dans La Presse du 17 décembre 1926, page 4 rubrique Informations, figure l’annonce pour vendredi 17 à 21 h au Cercle "Arts et Lettres", d’une soirée à l’occasion de l’anniversaire de la naissance de Maurice Rollinat, avec une conférence d’Hugues Lapaire et l’interprétation de poèmes par des comédiens.
Dans Comœdia du 12 février 1930, page 2 rubrique Courrier Théâtral et Musical, nous pouvons lire l’annonce pour le mercredi 26 février au théâtre de Neuilly, d’un Mémorial Maurice Rollinat consacré à "l’œuvre du grand poète musicien", avec Mme Denise Séverin-Mars et M. Fernand-Bastide. Dans l’édition du 23 février, page 1, figure un court article intitulé A la mémoire de Maurice Rollinat annonçant la soirée du 26 février, et un portrait de Mme Denise Séverin-Mars, et en page 2 rubrique Courrier Théâtral et Musical, une nouvelle annonce de la soirée du 26. Le 26 février, page 3, un court article intitulé Le Mémorial Rollinat au Théâtre de Neuilly, nous apprend que M. Georges d’Esparbès qui devait évoquer Maurice Rollinat étant souffrant, est remplacé par M. Georges Millandy.
Maurice Rollinat dans des livres scolaires ou dans la littérature enfantine |
Dans Choix de lectures d’A. Mironneau, cours élémentaire (Librairie Armand Colin, Paris, 1909, 216 pages), pages 202 à 204, figure le poème "Le meunier" de Maurice Rollinat suivi d’une illustration, d’explications et de questions.
Dans Choix de lectures d’A. Mironneau, cours moyen (Librairie Armand Colin, Paris, 1917, 355 pages), pages 21 et 22, c’est le poème "L’enterrement d’une fourmi" de Maurice Rollinat qui est proposé aux élèves, avec des explications, des questions et des conseils pour la lecture et la récitation.
Le livre Poèmes pour l’Enfance de M. et Mme Marcel Braunschvig (Édouard Privat éditeur, Toulouse et Henri Didier éditeur, Paris, 1920, 359 pages) contient quatre poèmes de Maurice Rollinat : "L’enterrement d’une fourmi" (page 52), "Frère et sœur" (page 115), "Les petits fauteuils" (pages 117 et 118) et "Le liseron" (page 159).
Annonces et comptes rendus d’événements commémoratifs en l’honneur de Maurice Rollinat |
Gustave Geffroy, à la fin de son article Les Bustes de Becque et de Rollinat, paru dans La Dépêche (Toulouse) du 7 novembre 1903, page 1, évoque l’idée d’un buste à Maurice Rollinat qui pourrait trouver sa place au jardin du Luxembourg, à Paris.
Le bas-relief de Rodin posé à Fresselines (inauguré le 21 octobre 1906)
Dans Le Temps du 3 novembre 1903, page 3 rubrique Au jour le jour, nous trouvons un article intitulé Le suicide de Maurice Rollinat (Lettres inédites) signé Raoul Aubry (pseudonyme utilisé par Félix Lenclud), où l’auteur raconte entre autres, la visite d’amis de Maurice Rollinat à Rodin et évoque le bas-relief que celui-ci leur proposa. (Lire cet article en entier.)
Dans L’Humanité du 5 août 1905, page 2 rubrique Informations, sous le titre Un buste de Rollinat, nous trouvons l’annonce et la description d’un bas-relief de Rodin devant être posé sur la tombe du poète.
Dans le Journal des débats politiques et littéraires du 5 août 1905, page 2 rubrique Échos, nous pouvons lire qu’un bas-relief de Rodin sera placé sur le tombeau de Maurice Rollinat. Dans l’édition du 3 mars 1906, page 2 rubrique Échos, figure l’annonce de la création d’un comité pour élever un monument à la mémoire de Maurice Rollinat, adossé au mur de l’église de Fresselines ; les principaux membres sont cités. Le 11 juillet, page 2, rubrique Échos, l’article paru dans L’Art et les Artistes de juillet 1906, pages 170 et 171, et intitulé Le Monument de Rollinat, est signalé. Le 30 août, page 2 rubrique Échos, des précisions sont données sur l’emplacement et la lettre du nouveau curé de Fresselines à ce propos est reproduite. Le 4 octobre, page 2 toujours rubrique Échos, on apprend que la date de l’inauguration est fixée au 21 octobre. Le 15 octobre, nous pouvons lire pages 2 et 3, un long article intitulé A propos du monument Rollinat signé Jacques-André Mérys (pseudonyme utilisé par Pierre Blanchon), où l’auteur profite de la prochaine inauguration pour rappeler la vie et l’œuvre du poète. Le 17 octobre, page 2 rubrique Échos, figure à nouveau l’annonce de l’inauguration du monument. Et le 23 octobre, page 3 rubrique Nouvelles du jour, dans un article intitulé L’inauguration du monument de Rollinat à Fresselines et signé L.N., nous pouvons lire le compte rendu de cet événement avec la description du monument et les prises de paroles des différents intervenants.
Dans La Lanterne du 6 août 1905, page 2 rubrique Informations, un entrefilet annonce qu’un bas-relief sculpté par Rodin sera placé "sur le tombeau de Maurice Rollinat". Dans l’édition du 25 août 1906, page 1 rubrique Échos, nous pouvons lire : "Il parait que la famille de Maurice Rollinat a refusé le monument que le sculpteur Rodin a exécuté pour être placé sur la tombe du poète. Le jeudi 18 octobre 1906, page 2 rubrique Informations, la date de l’inauguration est annoncée : "dimanche prochain".
Henri d’Almeras commence sa chronique La semaine littéraire parue dans La Presse du 15 août 1905, page 3, en indiquant que "Prochainement sera élevé sur le tombeau du poète Maurice Rollinat un monument que vient d’achever Rodin." Dans l’édition du 18 février 1906, page 2, dans l’article intitulé Le monument Rollinat - Une visite à Rodin, l’auteur (non identifié) raconte sa visite au sculpteur, décrit le bas-relief puis rapporte les propos d’Auguste Rodin sur ses relations avec le poète et sur l’emplacement choisi pour le monument. Le 22 février, page 2 rubrique Nos échos, nous pouvons lire un court article très critique intitulé Statuomania où l’auteur indique ne pas comprendre pourquoi on élève un monument à Maurice Rollinat. Et dans l’édition du 22 octobre, page 2, figure dans la rubrique Réunions et solennités, un article relatant l’inauguration le 21 à Fresselines du monument, mais l’article est presque exclusivement consacré au discours de M. Joseph Bouchard, délégué de la Société des Poètes français.
Dans Je sais tout du 15 septembre 1905, page 150 rubrique Lettres et Arts - Août 1905, un paragraphe intitulé Rollinat et Rodin présente le bas-relief qui va être "placé sur le tombeau de Rollinat" ; la maquette de ce monument vue dans l’atelier de Rodin est reproduite page 149. Dans l’édition du 15 décembre 1906, page 584 rubrique Lettres et Arts - 20 octobre au 20 novembre 1906, nous pouvons voir une photographie de l’inauguration à Fresselines "du bas-relief de Rodin dédié à Maurice Rollinat et encastré dans le mur de l’église du village".
Dans Le Petit Parisien du 18 février 1906, page 2 rubrique Échos, figure un paragraphe intitulé Un monument à Rollinat où il est annoncé la création d’un comité pour élever un monument à la mémoire de Maurice Rollinat à Fresselines. Dans l’édition datée du 15 octobre (il y a vraisemblablement un problème de date dans le journal, car le bas-relief a été inauguré le dimanche 21 octobre, il faut certainement lire le 22 octobre), nous pouvons lire en page 2, un article Hommage à la mémoire de Maurice Rollinat, comprenant un compte rendu de l’inauguration la veille du monument (illustré d’une photo d’une partie du bas-relief) et une biographie du poète, mais celle-ci comporte plusieurs erreurs.
Dans Le Pays du 18 février 1906, page 1, rubrique Echos et nouvelles, figure l’annonce de la constitution d’un comité en vue d’élever un monument à Maurice Rollinat à Fresselines. Un texte rigoureusement identique sera publié dans l’édition du 20 février, page 1, rubrique Echos et nouvelles. Le 28 août 1906, page 1, dans la rubrique Échos, trois paragraphes évoquent le monument à Maurice Rollinat par Auguste Rodin. Dans l’édition du 23 octobre, page 1, un article intitulé Maurice Rollinat mentionne l’inauguration et parle du poète mais avec de nombreuses erreurs.
Dans le Gil Blas du 21 février 1906, page 1 rubrique Échos, nous pouvons lire un court article intitulé Un monument à Rollinat qui annonce la pose prochaine à Fresselines d’un bas-relief dû à Rodin en l’honneur de Maurice Rollinat ; l’article indique aussi les principaux noms des membres du comité. Dans l’édition du 21 août 1906, page 2, Marcelle Adam signe un article intitulé Rodin et Rollinat relatif à la pose du monument à Fresselines ; malheureusement cet article comporte de nombreuses erreurs qui jettent le doute sur l’ensemble de l’article. Un compte rendu est paru le 22 octobre, page 1 rubrique Echos, le lendemain de l’inauguration ; l’auteur revient sur les raisons du choix de l’emplacement.
Le XIXe Siècle du 24 février 1906, page 3 rubrique Echos, signale la pose d’un bas-relief de Rodin sur le mur de l’église de Fresselines en l’honneur de Maurice Rollinat, et d’une souscription pour couvrir les dépenses. Dans l’édition du 17 juillet, page 2 rubrique Echos, nous pouvons lire l’annonce de la pose de ce bas-relief. Le 25 août, page 1 rubrique Les on-dit, des précisions sont données concernant l’emplacement du monument. Le 31 août, page 3 rubrique Echos, Auguste Rodin fait un commentaire sur le refus de Mme Rollinat de voir le monument placé sur le caveau de famille. Le 6 octobre, page 2 rubrique Echos, on apprend que la date de l’inauguration est fixée au dimanche 21 octobre. Le 18 octobre, page 3 rubrique Echos, des précisions sont données sur l’inauguration le dimanche suivant. Et le 23 octobre, pages 2 et 3 rubrique Echos, figure un bref compte rendu de l’inauguration.
Dans La Justice du 26 février 1906, page 3 rubrique Échos et nouvelles, figure un court article intitulé Le monument du poète Maurice Rollinat avec l’annonce de la création d’un comité de patronage pour élever le monument à Fresselines. Le 28 août 1906, page 1 rubrique Échos, nous pouvons lire dans un court article intitulé Maurice Rollinat, que le monument de Fresselines est réalisé par Rodin, ainsi qu’une brève description de l’œuvre. Et le 22 octobre, page 1, nous trouvons un article intitulé Maurice Rollinat qui relate l’inauguration du monument et rappelle la vie du poète.
Dans Le Journal du Dimanche du 4 mars 1906, page 133 (cinquième du numéro), figure un court article intitulé Le monument de Rollinat annonçant la pose d’un haut-relief de Rodin à Fresselines en l’honneur du poète.
Dans Lemouzi n° 121 de mars 1906, rubrique Les Hommes, les Idées et les Faits - Tablettes limousines, page 71, figure l’annonce de la réalisation par Rodin d’un monument à la mémoire de Maurice Rollinat qui sera posé sur les murs de l’église de Fresselines (avec une erreur car il est indiqué qu’il se compose "d’un émouvant portrait du poète (...)"). Dans le n° 127 de novembre 1906, même rubrique, pages 233 et 234, nous pouvons lire un bref compte rendu de l’inauguration du monument.
Dans Le Radical du 15 mai 1906, page 2 rubrique Échos, figure un court article intitulé Le monument Rollinat, annonçant l’inauguration dans la première quinzaine de juillet du bas-relief de Rodin posé dans le mur de l’église de Fresselines. Le 11 juillet, page 3 rubrique Informations, nous trouvons un rappel de l’inauguration prochaine du monument Rollinat à Fresselines dont on peut voir une reproduction dans L’Art et les Artistes (il s’agit de l’article Le Monument de Rollinat, publié dans L’Art et les Artistes n° 16 de juillet 1906, pages 170 et 171). Dans l’édition du 24 août, page 3 rubrique Notes du liseur signée Alfred-Jousselin, après un rappel de l’amitié de Maurice Rollinat avec Auguste Rodin, il est indiqué que la famille a refusé le monument et que le curé de Fresselines a autorisé l’installation de celui-ci dans l’église. Le 25 août, en page 3, les Notes du liseur d’Alfred-Jousselin sont intégralement consacrées au monument de Maurice Rollinat ; l’auteur résume et reprend de larges extraits de l’article de Charles Doury publié dans L’Intransigeant du 25 août, pages 1 et 2, et intitulé Un Rodin refusé - Le bas-relief de Rollinat. Un compte rendu de l’inauguration est paru dans l’édition du 22 octobre, page 3, sous la forme d’un article intitulé Le Monument de Maurice Rollinat.
Dans L’Art et les Artistes n° 16 de juillet 1906, pages 170 et 171, un article non signé, intitulé Le Monument de Rollinat, retrace la vie du poète à l’occasion de la prochaine inauguration de bas-relief de Rodin à Fresselines. (NB : le directeur de la revue est Armand Dayot.) Dans le n° 20 de novembre 1906, page XXIV rubrique Échos des Arts, il est indiqué que le monument a été inauguré le 21 octobre.
Dans Le Figaro du 23 août 1906, page 1 dans la rubrique Échos, nous pouvons lire qu’un monument sculpté par Rodin va être érigé à Fresselines en l’honneur de Maurice Rollinat. Dans l’édition du 28 août, en page 1, toujours dans la rubrique Échos, des précisions sont apportées sur l’emplacement de ce monument à la demande de l’abbé Boithier, curé de Fresselines. Le 14 octobre, en page 4, dans Paris au jour le jour, rubrique Ministres en voyage, il est indiqué que M. Briand sera dans la Creuse pour l’inauguration du monument Maurice Rollinat à Fresselines.
Dans L’Intransigeant du 25 août 1906, pages 1 et 2, nous pouvons lire un article intitulé Un Rodin refusé - Le bas-relief de Rollinat, signé Charles Doury. L’auteur relate sa visite au domicile d’Auguste Rodin, puis celui-ci raconte ses souvenirs sur Maurice Rollinat et explique la signification du bas-relief qu’il a sculpté et qui va être posé à Fresselines, et les raisons du choix de l’emplacement retenu sur les murs extérieurs de l’église.
Le Ménestrel n° 34 du 26 août 1906, page 268 (huitième du numéro), annonce que Maurice Rollinat va avoir son monument à Fresselines réalisé par Rodin. Dans le n° 35 du 2 septembre, page 276 (huitième du numéro), des précisions sont données sur l’emplacement retenu. Dans le n° 42 du 21 octobre, page 330 (sixième du numéro), il est indiqué que c’est ce jour l’inauguration du monument, puis des précisions sont données sur les causes de sa mort.
Le Soleil du 29 août 1906, page 1, rubrique Echos, dans le petit article intitulé Le monument de Rollinat, reprend les termes de la lettre envoyée par l’abbé Boithier, curé de Fresselines, au Figaro et publiée dans l’édition du 28 août, page 1.
La Croix du 30 août 1906, page 2, publie l’intégralité de la lettre envoyée par le curé de Fresselines au Figaro (sans en préciser la date), à propos de l’apposition du monument de Rodin en hommage à Maurice Rollinat, sur les murs de l’église. Cette lettre fait suite à l’article paru dans Le Figaro du 23 août 1906 en page 1, rubrique Échos.
En perspective de l’inauguration prochaine du monument à Maurice Rollinat à Fresselines, Gustave Geffroy signe un article intitulé Le Monument de Rollinat, publié dans L’Aurore du 31 août 1906, page 1. Il se rappelle les bons moments passés avec le poète et revient sur la polémique déclenchée à propos du lieu de pose de ce monument. Dans le numéro du 18 octobre 1906, page 3 rubrique Informations, on apprend que la date d’inauguration du monument est fixée pour la dimanche suivant, le 21. Dans l’édition du 22 octobre 1906, page 1, rubrique D’hier à aujourd’hui, un bref entrefilet annonce que le monument a été inauguré la veille.
Dans Les Annales politiques et littéraires n° 1216 du 14 octobre 1906, pages 241 et 242, à l’occasion de la prochaine inauguration du monument, Adolphe Brisson, dans un article intitulé Le Frisson de Rollinat et signé Le Bonhomme Chrysale, se remémore ses souvenirs de Maurice Rollinat à Paris. Une photo de monument figure en page VIII du supplément.
Dans Le Correspondant du 25 octobre 1906, Édouard Trogan consacre trois pages (298 à 400) de sa rubrique "Les œuvres et les hommes" à la vie et aux poèmes de Maurice Rollinat suite à la pose du monument signé Rodin sur le mur de l’église de Fresselines.
Dans Le Messin du 24 octobre 1906, page 2, rubrique Nouvelles du jour, un très court article relate l’inauguration du monument à Maurice Rollinat, le dimanche précédent à Fresselines.
Dans L’Intermédiaire des chercheurs et curieux n° 1129 du 10 novembre 1906, nous trouvons trois réponses à la question posée par "Y" sur la fin de vie de Maurice Rollinat, dans le n° 1127 du 20 octobre 1906. La première signée Victor Deséglise renvoie au numéro d’octobre 1906 de la Revue du Berry ; la seconde non signée parle du monument de Rodin à Fresselines et retranscrit la lettre de l’abbé Boithier, curé de Fresselines, au Figaro en date du 26 août 1906 ; la dernière est d’Octave Uzanne qui donne des précisions sur les causes du décès de Maurice Rollinat.
Dans L’Action Régionaliste n° 11 de novembre 1906, pages 579 et 580, nous pouvons lire un compte rendu de l’inauguration le 21 octobre à Fresselines, de la stèle dédiée à Maurice Rollinat.
Dans Le Mois Littéraire et pittoresque, n° 98 de décembre 1906, un entrefilet annonce que le monument consacré à Maurice Rollinat à Fresselines, a été inauguré le 21 octobre.
Projet de monument par Georges Lorin
Dans Le Figaro du 17 octobre 1908, en page 3, Jacques des Gachons dans un article intitulé Un bas-relief pour Rollinat parle d’un projet de monument commémoratif qui serait réalisé par Georges Lorin.
Pose d’une plaque sur la maison natale à Châteauroux le 31 octobre 1926
Dans un court article intitulé Les Amis de Rollinat, paru dans le Journal des débats politiques et littéraires du 10 septembre 1926, page 4 rubrique Les associations, il est indiqué que le Comité d’initiative des amis de Rollinat prépare l’apposition d’une plaque sur sa maison natale. Dans l’édition du 1er novembre, page 4, un article intitulé Le souvenir de Rollinat fait le compte rendu de la pose de cette plaque le 31 octobre.
Dans La Presse du 16 octobre 1926, page 4 rubrique Informations, il est indiqué qu’un groupe "Les Amis de Rollinat" qui s’est formé à Châteauroux, procèdera le dimanche 31 octobre, à l’inauguration d’une plaque commémorative sur la maison natale du poète.
Dans Le Figaro du 1er novembre 1926, en page 2, on apprend que Les Amis de Maurice Rollinat ont apposé une plaque sur sa maison natale le 31 octobre.
Dans La Lanterne du 1er novembre 1926, page 2 rubrique Dernière heure, un court article intitulé A la mémoire du poète Maurice Rollinat, fait le compte rendu de la pose d’une plaque sur la maison natale du poète à Châteauroux.
Dans L’Homme Libre du 1er novembre 1926, page 2 rubrique Nouvelles brèves, figure un entrefilet annonçant la pose d’une plaque sur la maison natale du poète.
Dans Le Petit Parisien du 1er novembre 1926, page 3, nous pouvons lire un bref article intitulé En souvenir de Maurice Rollinat relatant l’inauguration la veille d’une plaque apposée sur la maison natale du poète, à Châteauroux.
Dans La Vie limousine n° 11 du 1er novembre 1926, troisième page au début de la revue (non numérotée), rubrique Informations, un court paragraphe annonce que Maurice Rollinat a été fêté à Châteauroux le 31 octobre et que Le Gargaillou a publié un numéro spécial à cette occasion.
Dans l’Excelsior du 1er novembre 1926, page 2, rubrique Pont des Arts, nous pouvons lire un compte rendu de la journée de la veille à Châteauroux, à l’occasion de l’inauguration de la plaque posée sur la maison natale de Maurice Rollinat.
Le buste de Maurice Rollinat par Surtel inauguré à Fresselines le 16 avril 1939
La Vie limousine et La Brise n° 166 du 25 janvier 1939, page 612, annonce, qu’à l’initiative d’Émile Vinchon, un buste de Maurice Rollinat sera posé à Fresselines, et qu’une souscription est ouverte.
Dans le Journal des débats politiques et littéraires du 4 février 1939, page 2 rubrique Les Échos de partout, un court article intitulé A la mémoire de Rollinat, annonce la pose prochaine d’un buste de Maurice Rollinat, œuvre du sculpteur Paul Surtel, à Fresselines.
Dans Le Figaro du mercredi 19 avril 1939, en page 2 rubrique Les Échos, un article intitulé tout simplement Maurice Rollinat et signé "Le Masque de Fer", pseudonyme utilisé par Philippe Gille, indique que l’inauguration à Fresselines du buste de Maurice Rollinat a eu lieu le dimanche précédent. C’est l’occasion pour le journaliste d’évoquer brièvement la vie du poète.
Dans Paris-soir du 20 avril 1939, page 4 rubrique Petites nouvelles des Lettres, un court article intitulé A la gloire de Maurice Rollinat, fait le compte rendu de l’inauguration à Fresselines du buste de Maurice Rollinat par Surtel, et annonce pour le 21 mai à Châteauroux, l’inauguration du monument à Maurice Rollinat dû au ciseau de Georges Lorin avec un banquet par souscription.
Le monument à Maurice Rollinat par Georges Lorin dans le square du Palais de Justice à Châteauroux, inauguré le 21 mai 1939
Dans La Presse du 10 février 1927, page 2 rubrique Courrier des ateliers, on peut lire l’annonce d’un projet d’esquisse pour un monument à Maurice Rollinat qui serait élevé à Châteauroux et qui serait confié à Ernest Nivet.
Dans Le Petit Parisien du 18 juin 1931, page 6, nous pouvons lire un court article intitulé Un monument au poète Rollinat, qui annonce la constitution d’un comité en vue d’ériger un buste du poète à Châteauroux. Cette information est reprise dans l’édition du 28 juin, page 2, dans un article intitulé Le monument Maurice Rollinat, avec les noms de nouveaux membres du comité.
Dans Comœdia du 19 juin 1931, page 3 rubrique Petit Courrier littéraire, figure l’annonce de la création d’un comité en vue d’ériger un buste de Maurice Rollinat à Châteauroux, avec les noms des premiers membres.
Dans le Journal des débats politiques et littéraires du 19 janvier 1939, page 4, un court article intitulé Un monument à Maurice Rollinat nous apprend que le Comité des "Amis de Rollinat" a choisi le buste du Rollinat chantant par Georges Lorin pour être installé dans le square du Palais de justice à Châteauroux.
Dans Le Figaro du 13 mai 1939, en page 2 rubrique Courrier des arts, un court article annonce l’inauguration du buste de Maurice Rollinat, œuvre de Georges Lorin, à Châteauroux pour le dimanche 21 Mai. Dans l’édition du du 14 mai 1939, en page 2 rubrique Les Échos, dans l’article intitulé Un ami de Rollinat consacré à Georges Lorin, il est précisé que l’inauguration du buste de Maurice Rollinat a lieu le jour-même à Châteauroux.
Centenaire de sa naissance
Dans Les Nouvelles littéraires du 26 décembre 1946, page 4, Henry Hugault, dans un article intitulé Hommage à Rollinat, relate l’exposition organisée pour une durée d’un mois, à la Galerie Pelletan-Helleu à Paris.
Articles ou ouvrages dans lesquels Maurice Rollinat est cité de manière anecdotique |
(NB : Nous avons trouvé de nombreux articles où le nom de Maurice Rollinat apparait de manière anecdotique, nous n’avons retenu ici que ceux qui peuvent présenter un intérêt.)
L’article intitulé "Les condamnés à mort" et signé Thomas Grimm, paru dans Le Petit Journal du dimanche 26 novembre 1871, page 1, relate la manifestation d’étudiants du samedi 25 à Versailles pour solliciter la grâce de Rossel ; le nom de Rollinat figure parmi les signataires de l’appel "A la jeunesse parisienne". Cette même information se trouve dans Le Constitutionnel daté du 27 novembre, page 2 (un tiers de la page est consacré à l’affaire Rossel et le déroulement de la manifestation à laquelle Maurice Rollinat a participé, est beaucoup plus détaillé), dans Le Figaro du 26 novembre, page 2 (article La manifestation d’hier de Paul Bernier) et dans le Journal des débats politiques et littéraires du 26 novembre 1871, page 1. À notre connaissance, c’est la première fois que le nom de Maurice Rollinat apparait dans la presse. Nous pouvons recouper cette information avec le récit que Maurice Rollinat a fait de cette manifestation à son ami Raoul Lafagette dans sa lettre du 27 novembre 1871. Pour mieux comprendre cette affaire, nous pouvons lire Histoire de la Révolution de 1870-71 de Jules Claretie (Aux bureaux du journal L’Éclipse, Paris, 1872, 796 pages) où le texte de l’appel "A la jeunesse parisienne" est reproduit page 730.
Dans Le Rappel du 30 décembre 1873, page 1, figure le compte rendu des obsèques de François-Victor Hugo, fils de Victor Hugo ; Maurice Rollinat est cité parmi les personnes présentes.
Dans Le Tintamarre du 2 février 1879, page 4, nous pouvons lire un article de Jules Jouy intitulé Les Hydropathes ; Maurice Rollinat est cité et est qualifié de "ciseleur exquis".
Charles Leroy publie dans Le Tintamarre du 27 juillet 1879, page 5, une histoire intitulée Une terrible affaire que Maurice Rollinat lui aurait racontée.
Dans l’article Le mouvement poétique en France de Jules Lemaitre, paru dans La Revue politique et littéraire du 9 août 1879, pages 121 à 127, Maurice Rollinat est cité page 126 avec le commentaire suivant : "Maurice Rollinat, le poète des brandes, un peu brutal et « impressionniste », mais qui voit juste (il est, dit-on, tout jeune et se rasseoira)" (page 126).
Dans La Presse du 14 février 1880, page 2, nous apprenons que Maurice Rollinat était présent la veille au deuxième dîner des "habits noirs" chez Brébant.
Maurice Rollinat est cité dans l’article Séance aux Hydropathes de Félicien Champsaur, paru dans Le Voltaire du 15 février 1880, page 1. (Lire cet article.)
Dans L’Évènement du 14 février 1880, page 2, rubrique Echos de Paris, nous pouvons lire un compte rendu du deuxième dîner des habits noirs chez Brébant ; Maurice Rollinat est cité parmi les participants.
Dans Le Tintamarre du 22 février 1880, page 4, Robert Briquet fait le compte rendu du dîner de la Tintamarmite du 17 février, auquel Maurice Rollinat a participé "avec plusieurs poésies d’un fantastique échevelé".
Dans Le Tintamarre du 24 avril 1881, page 3, figure le compte rendu du dîner de la Tintamarmite du 19 avril, au cours duquel Maurice Rollinat a interprété "trois morceaux de sa composition des plus originaux".
Dans Le Tintamarre du 20 novembre 1881, page 4, nous pouvons lire le compte rendu du dîner de la Tintamarmite du 15 novembre ; Maurice Rollinat y a interprété "deux de ses compositions si puissamment étranges".
Dans le Gil Blas du 22 mars 1882, page 1 rubrique Nouvelles et Echos, nous pouvons lire que Maurice Rollinat était présent le dimanche précédent (19 mars) à une soirée chez le docteur Béni-Barde à Paris.
Dans La Justice du 8 novembre 1882, page 3 rubrique Lettres et arts, figure une présentation de la Jeune France ; Maurice Rollinat figure parmi les collaborateurs de cette revue.
Dans Le Chat Noir n° 47 du 2 décembre 1882, page 2, l’article Mort de Panserose de Constantin Chanouard est constitué d’un dialogue imaginaire entre Panserose mourant et Maurice Rollinat.
Dans le numéro du 10 décembre 1882 de Le Gaulois, page 1, nous avons droit à une note d’humour avec Maurice Rollinat parlant du macabre du roquefort.
Dans La Bavarde du 16 décembre 1882 (édition de Paris paraissant le samedi), page 1, E. Desclauzas consacre un paragraphe de son article Les Bas-bleus, à Marie Krysinska et cite Maurice Rollinat (NB : l’expression "bas-bleu" désigne au XIXe siècle, une femme de lettres). Page 4, dans l’article Les Hirsutes signé Fanfare (pseudonyme utilisé par Marcel Bailliot), deux paragraphes concernent Maurice Rollinat. Ces articles étaient déjà parus dans l’édition du jeudi diffusée en province.
Le Gaulois du 26 décembre 1882, page 1, publie un poème humoristique signé Clavaroche intitulé Le Réveillon ; la dernière strophe est consacrée à Maurice Rollinat.
Maurice Rollinat est cité dans le poème Le passeport jaune de Clovis Hugues, paru dans La Lanterne du 30 janvier 1883, page 2.
Dans son article Salle des Capucines, paru dans La Justice du 21 février 1883, pages 2 et 3, Sutter Laumann fait le compte rendu d’une conférence de M. Jeanbernard sur Léon Cladel ; Maurice Rollinat était présent et "était un de ceux qui marchandaient le moins leurs bravos".
Dans le n° 50 (février 1883) de la Bibliothèque universelle et Revue suisse, rubrique Chronique italienne, page 383, sous le titre Une poésie stupéfiante, il est indiqué que le journal Domenica letteraria a publié le poème Les Larmes du Monde de Maurice Rollinat, et que M. Tribolati a trouvé celui-ci "stupenda".
Dans l’article Lettre de Paris (non signé) paru dans Le Phare de la Loire du 22 mars 1883, page 1, l’auteur raconte une soirée chez Paul Eudel au cours de laquelle Maurice Rollinat, qualifié de "clou de la soirée" a interprété plusieurs de ses poèmes.
Dans sa Chronique parue dans La Justice du 2 avril 1883, page 1, Gustave Geffroy utilise l’exemple des Névroses de Maurice Rollinat pour expliquer comment un écrivain peut être sous les feux de l’actualité puis disparaître.
Théodore de Banville cite Maurice Rollinat dans son article Lettres chimériques - Romans nouveaux, paru dans le Gil Blas du 22 avril 1883, page 1.
Dans Le Figaro du 4 mai 1883, page 1, rubrique A travers Paris, on apprend que Maurice Rollinat était présent au cinquantième anniversaire de la fondation du Charivari.
Page 16 du Supplément du Parnasse du 15 mai 1883, consacré au Salon de Paris, il est indiqué que "M. Neige nous présente un portrait au fusain très ressemblant de M. Maurice Rollinat... le compositeur".
Dans l’article Le Salon paru dans Le Radical du 5 juin 1883, page 1, nous apprenons qu’est exposé "le toujours macabre Rollinat de M. Neige, troublant fusain".
Francis Maratuech présente le livre Contes ironiques de Charles Buet dans Le Feu Follet et l’Alouette Dauphinoise n° 40 du 1er août 1883, pages 73 à 77. Il cite Maurice Rollinat à trois reprises à propos de son influence sur la manière d’écrire de Charles Buet, mais il le fait de façon très négative.
Dans le numéro de septembre 1883 de Polybiblion - Revue bibliographique universelle, pages 196 et 197, Jean Davranches signe la présentation du livre Curiosités esthétiques, De la Création du vers blanc et du véritable poème en prose de Louis Tridon. L’auteur prend des exemples dans Les Névroses de Maurice Rollinat pour démolir le livre. C’est ce même auteur qui avait fait une présentation au vitriol des Névroses dans le numéro de mai de cette revue.
Dans Le Figaro du 9 octobre 1883, page 1 rubrique Échos de Paris, il est indiqué que le roi du Portugal occupe ses loisirs à traduire les poésies de Maurice Rollinat. Cette information est reprise dans La Justice du 11 octobre 1883, page 3 rubrique Gazette du jour.
Dans le Catalogue de l’exposition des Arts Incohérents qui s’est tenue à Paris du 15 octobre au 15 novembre 1883, le portrait de Maurice Rollinat est exposé (n° 254), une œuvre de Mlle Camille Langlois lui est dédiée (n° 160) et deux œuvres de Paul Lheureux font référence à des poèmes de Maurice Rollinat (n° 184 et 186).
Dans son article Le Quinzième fils de Niobé, paru dans Le Chat Noir n° 95 du 3 novembre 1883, page 170 (deuxième de ce numéro), Léon Bloy écrit : "Quoique feu Rollinat m’ait fait la réputation d’un prophète, (...)", ce qui montre que Maurice Rollinat ne fait plus partie de ses amis.
Dans Les mémoires de Sarah Barnum de Marie Colombier (Chez tous les libraires, Paris, 1883, XV + XII + 333 pages), roman caricaturant de manière très négative la vie de Sarah Bernhardt, Maurice Rollinat est cité page 125. La première et la quatrième de couverture sont illustrées par Adolphe Willette. Sur la quatrième de couverture, celui-ci a représenté Maurice Rollinat assis adossé à un cercueil (allusion au fait que Sarah Bernhardt aurait dormi dans un cercueil à une époque) au dessus duquel s’élève "l’âme" de Sarah Bernhardt.
Dans l’article A travers les vers, plantes et bêtes de Pierre Grat, paru dans La Revue générale du 1er janvier 1884, Maurice Rollinat est cité trois fois, pages 13 et 14.
Dans La Revue générale du 15 septembre 1884, Charles Leser conclut son article Deux poètes populaires, en citant, page 395, Maurice Rollinat comme exemple négatif de la poésie dite populaire à laquelle il préfère la poésie des romantiques.
Dans L’Écho de Paris du 19 novembre 1884, pages 1 et 2, Edmond Deschaumes signe un article intitulé Chacun son tour ! dans lequel il évoque la réception pour la remise de la décoration de chevalier de la Légion d’Honneur à l’éditeur Alphonse Lemerre, puis il raconte ses souvenirs aux Hydropathes ; il cite alors Maurice Rollinat.
Dans La Justice du 28 avril 1885, page 2 rubrique Revue littéraire, nous pouvons lire une longue présentation de Pics et vallées de Raoul Lafagette signée Sutter Laumann, dans laquelle Maurice Rollinat est cité.
Dans l’article La jeune littérature (1875-1885) Sic vos non vobis !... d’Émile Goudeau consacré à Adelphe Froger, paru dans La Presse du 5 mai 1885, page 1, Maurice Rollinat est cité trois fois. Il est également cité dans l’article La jeune littérature (1875-1885) Les chansons joyeuses du même auteur paru dans l’édition du 8 mai 1885, page 1.
Dans l’article M. Jean Richepin signé H.A., paru dans le Journal des débats politiques et littéraires du 24 janvier 1886, page 2, Maurice Rollinat est cité.
Dans Le XIXe siècle du 19 mars 1886, page 2 rubrique Echos du jour, il est indiqué qu’Alphonse Daudet reçoit à dîner ses amis chaque jeudi, et qu’hier Maurice Rollinat était présent et a chanté ses compositions.
Maurice Rollinat est cité dans l’article La semaine dramatique de Jules Lemaitre, paru dans le Journal des débats politiques et littéraires du 19 avril 1886, page 1, à propos de sa musique : "Je vais certainement blasphémer, mais je songeais l’autre jour à certaines mélodies sorties du cerveau de cette créature étrange, de ce faune hanté par le surnaturel, qui a nom Maurice Rollinat, à ces mélodies qui semblent vous couler comme une caresse inquiétante tout le long de la moelle épinière et qu’Alphonse Daudet compare à des "piqûres de morphine sympathiques"".
Dans Coup d’œil sur les Hirsutes de Léon Maillard (inclus pages 21 à 36, dans Les Parisiennes de Louis Le Dauphin, Jules Lévy éditeur, Paris, 1888, 36 pages), Maurice Rollinat est cité page 27. Ce texte est intéressant car il décrit l’ambiance au sein de ce groupe vue par un participant.
Dans La Justice du 16 septembre 1887, page 1, Gustave Geffroy, pour illustrer sa Chronique intitulée De la pluie et du beau temps, cite Maurice Rollinat et douze vers extraits du poème "Paysage d’Octobre" (Les Névroses, pages 243 et 244).
Dans L’Intransigeant du 29 décembre 1887, page 2, l’article La vie aux champs de Sutter-Laumann est en grande partie consacré à une critique du roman La Terre d’Émile Zola ; Maurice Rollinat y est cité, il est alors qualifié de "subtil et puissant".
Dans Chat Noir - Guide (64 pages, sans date mais après 1887), Maurice Rollinat est cité page 61 parmi les "Membres fondateurs du Chat Noir".
Dans La Justice du 23 janvier 1889, page 1, Gustave Geffroy commence et termine sa Chronique intitulée Le merle blanc, par la première et la dernière strophe du poéme "L’Espérance" de Maurice Rollinat (Les Névroses, page 41).
Dans le livre de Jules Huret Enquête sur l’évolution littéraire (Bibliothèque Charpentier, Paris, 1891, 455 pages), Gustave Geffroy cite Maurice Rollinat page 240, en disant qu’il aime sa "poésie de nature" et sa "musique extraordinaire".
Dans l’article Le livre de la Pousta de Pierre Valdagne paru dans Le Figaro du 15 avril 1892, page 2, nous pouvons lire que M. Sigismond de Justh a eu l’idée d’enseigner aux Tziganes hongrois les mélodies de Maurice Rollinat et que les Tziganes sont devenus fous de cette musique toute nerveuse.
Dans le Gil Blas du 23 avril 1892, page 1, le Petit billet du matin signé Marzac, est consacré aux propos d’une dame qui a été "frappée" par l’article Ce que dit la Mort de Maurice Rollinat paru la veille.
Maurice Rollinat est cité dans l’article Le Miracle de Janvar d’Armand Silvestre, paru dans L’Écho de Paris du 17 septembre 1892, page 1.
Le Figaro du 4 février 1893, page 1 rubrique Échos, annonce pour le jour-même, l’inauguration à la Bodinière de l’exposition des œuvres de Bac, dont des "esquisses étrangement audacieuses pour illustrer les poèmes de Rollinat".
On apprend dans un article paru le 4 février 1893 dans Le Gaulois, page 1 rubrique Échos de Paris, que des panneaux de l’exposition de Ferdinand Bac au Théâtre d’Application ont été inspirés par des poésies de Maurice Rollinat. Ils sont "d’une facture très osée et d’une grande étrangeté".
Dans son article A propos de chats paru dans La Justice du 13 mars 1893, page 2, B. Guinaudeau cite Maurice Rollinat et illustre son propos avec deux strophes du poème "Le Chat" (Les Névroses, pages 103 et 106).
Dans La Lanterne du 16 février 1894, page 2 rubrique Échos, il est indiqué que le jour-même, des "poésies en musique de Rollinat" sont chantées par Bouvet de l’Opéra-Comique lors du banquet annuel de la Société libre des Artistes Français.
Dans le Gil Blas du 22 février 1894, page 1 rubrique Nouvelles et Échos, et page 3 rubrique Petits salons, nous pouvons lire qu’à l’exposition des femmes peintres et sculpteurs, au palais des Champs-Élysées, Madame Gabrielle Debillement a exposé un pastel intitulé Belle fromagère illustrant trois vers de Maurice Rollinat.
Inauguration du monument de Léon Cladel à Montauban :
Dans Le Figaro du 6 août 1894, page 3, au sein de la rubrique Télégrammes et correspondances signée Argus, un petit article est consacré à l’inauguration le 5 août à Montauban, du monument de Léon Cladel. Maurice Rollinat figure parmi les amis de poète présents. Cette inauguration et la venue de Maurice Rollinat avaient été annoncées dans l’édition du 31 juillet 1894 du Figaro, page 1, rubrique Échos.
Dans Le Gaulois du 31 juillet 1894, page 1 rubrique Ce qui se passe, figure l’annonce de l’inauguration du monument élevé à la mémoire de Léon Cladel à Montauban, et la venue de Maurice Rollinat. Dans l’édition du 6 août, page 1, il est indiqué que Maurice Rollinat est venu de Paris.
Le Journal des débats politiques et littéraires du 31 juillet 1894, page 4 rubrique Les journaux de ce matin, reprend l’information parue dans Le Gaulois relative à l’érection à Montauban d’un monument à Léon Cladel, avec l’annonce de la venue, entre autres, de Maurice Rollinat. Dans l’édition du 5 août, pages 1 et 2 rubrique Dernière heure, figure l’annonce de l’inauguration du monument le même jour, avec la présence de Maurice Rollinat.
Dans La Dépêche (Toulouse) du 1er août 1894, page 2, rubrique Petites nouvelles, figure l’annonce de l’inauguration du monument en l’honneur de Léon Cladel à Montauban, avec la présence, entre autres, de Maurice Rollinat.
Dans Le Pays républicain du 1er août 1894, page 1, rubrique Échos, nous pouvons lire l’annonce de l’inauguration du monument à Léon Cladel, à Montauban, le 5 août ; Maurice Rollinat figure parmi les poètes prévus. Dans l’édition du 6 août 1894, page 1, l’article intitulé Monument Léon Cladel, est identique à celui paru dans le Journal des débats politiques et littéraires (voir ci-dessus).
Dans Le Nouveau Lyon du 2 août 1894, page 1 rubrique Informations, figure l’annonce de la prochaine inauguration du monument à Léon Cladel à Montauban, le 5 août ; la présence de Maurice Rollinat est annoncée.
Dans Le Petit Parisien du 6 août 1894, page 2 rubrique Échos et nouvelles, figure un compte rendu de l’inauguration la veille du monument à Léon Cladel à Montauban. Le texte est identique à celui paru dans le Journal des débats politiques et littéraires (voir ci-dessus).
Le Signal des 6 et 7 août 1894, page 2, dans l’article Le monument Léon Cladel relate l’inauguration de celui-ci. Le texte est identique à celui paru dans le Journal des débats politiques et littéraires (voir ci-dessus).
L’Express du Midi du 6 août 1894, Deuxième édition, pages 2 et 3, dans l’article L’Inauguration du Monument Cladel à Montauban, cite Maurice Rollinat parmi les personnes présentes à cette manifestation.
Dans Le Soleil du 6 août 1894, page 2, Maurice Rollinat est cité dans l’article Le monument de Léon Cladel signé P.N. Une grande partie de l’article est consacrée à la rencontre de l’auteur avec Léon Cladel peu avant le décès de celui-ci.
Un long compte rendu de l’inauguration du monument Cladel à Montauban, figure dans Le Sud-Ouest du 7 août 1894, page 3. Les toasts portés aux poètes présents par M. Émile Pouvillon lors du dîner sont listés, dont celui à Maurice Rollinat "dont les songeries se reflètent si étranges et si pures dans le clair-obscur des ruisseaux berrichons".
La Lanterne dans son édition datée du 7 août 1894, page 2, dans un article intitulé Léon Cladel - Inauguration de son monument, fait le compte rendu de la cérémonie qui a eu lieu le dimanche 5, et signale la présence de Maurice Rollinat "venu tout exprès des solitudes de la Creuse".
Dans Le Radical du 7 août 1894, page 2 rubrique Échos et Nouvelles, nous pouvons le compte rendu de l’inauguration "hier" (c’est-à-dire le dimanche 5) du monument à la mémoire de Léon Cladel à Montauban. Maurice Rollinat était présent.
Le Courrier du Centre du 7 août 1894, page 2 rubrique Dernières nouvelles, dans un article intitulé Le monument Cladel, fait le compte rendu de la manifestation de Montauban et signale la présence de Maurice Rollinat.
Dans l’article Le monument de Léon Cladel, paru dans Le XIXe siècle du 7 août 1894, page 3, il est indiqué que le monument a été inauguré "hier" (c’est-à-dire le dimanche 5 août) et que Maurice Rollinat était présent.
Dans le Gil Blas du 7 août 1894, page 2, figure le compte rendu de l’inauguration le 5 août à Montauban, du monument à Léon Cladel ; il est indiqué que Maurice Rollinat "a quitté Fresselines pour cela".
Dans Le Monde illustré du 11 août 1894, page 94 (quatorzième du numéro), rubrique Nos gravures, un court article relate l’inauguration du monument de Léon Cladel à Montauban (représenté page 85, cinquième du numéro) ; la présence de Maurice Rollinat à cette manifestation est signalée.
Autres articles :
Dans la Chronique de Paul Ginisty, parue dans Le XIXe siècle du 19 septembre 1894, page 1, il est indiqué que le père du roi actuel du Portugal, dom Luis, traduisait Shakespeare... et Maurice Rollinat.
La Plume n° 134 du 15 novembre 1894, publie pages 463 à 467, la causerie de Laurent Tailhade sur Paul Verlaine donnée aux Soirées Procope le 25 octobre 1894. Maurice Rollinat est cité page 465 de manière très négative.
Dans Le Temps du 30 mai 1895, page 2, la rubrique Notes et lectures est consacrée à la présentation d’une anthologie anglaise des poètes français du dix-neuvième siècle par M. W.-J. Robertson, dans laquelle trois poèmes de Maurice Rollinat ont été traduits.
Dans Jean Carriès, imagier et potier d’Arsène Alexandre (Ancienne maison Quantin - Librairies-Imprimeries réunies, Paris, 1895, 209 pages), Maurice Rollinat est cité aux pages 91, 108 et 206.
Jean Lorrain dans son livre Sensations et Souvenirs (Bibliothèque Charpentier, Eugène Fasquelle éditeur, Paris, 1895, 322 pages), cite Maurice Rollinat aux pages 111 et 112 et met sept vers du poème "La Nuit d’Orage" (La Nature, page 212).
Dans Le Journal du 22 février 1896, pages 1 et 2, Jean Lorrain dans son article La Vache enragée, décrit des "Montmartois de 1885" fréquentant le Chat Noir et cite Maurice Rollinat ; or Maurice Rollinat avait déjà quitté Paris depuis le début septembre 1883 et il semble qu’il ait arrêté d’aller au Chat Noir dès la fin de 1882.
Dans l’article Souvenirs du Quartier de Jean Ajalbert, paru dans le Gil Blas du 13 mars 1896, page 1, et consacré au journal Lutèce, Maurice Rollinat est cité et l’auteur indique pourquoi il était jalousé.
Maurice Rollinat est cité par Jean Lorrain au début de son article Riverains paru dans Le Journal du 27 juin 1896, pages 1 et 2.
Dans l’article Le salon paru dans Le Rappel du 8 juin 1898, page 1, Charles Frémine décrit les tableaux exposés dont celui d’Allan Osterlind représentant Maurice Rollinat au coin du feu.
Dans l’article Le Salon paru dans Le XIXe Siècle du 8 juin 1898, page 1, nous pouvons lire que le tableau d’Allan Osterlind représentant Maurice Rollinat assis au coin de sa cheminée avec son chien, est exposé au Salon.
Dans L’Attaque du 29 janvier 1899, page 1 rubrique Échos et Nouvelles, il est indiqué que Maurice Rollinat est à Paris et a été rencontré dans des cabarets à la mode. Le texte a été repris à l’identique dans L’Écho de Paris du 31 janvier, page 1 rubrique Échos.
Dans douze numéros de Le Supplément (édité par La Lanterne) parus entre le 23 mars et 3 juin 1899, Edmond Teulet lance une "Enquête de la chanson" pour savoir "Quel est actuellement le Prince des Poètes-Chansonniers ?". Dans l’édition du 20 avril, page 1, le nom de Maurice Rollinat est proposé par Jacques Constant. Quatorze candidats ont été proposés et c’est Xavier Privas qui a été proclamé "Prince des Poètes-Chansonniers".
Dans l’article Le Monument de Pierre Dupont de Gustave Geffroy, paru dans L’Aurore du 2 mai 1899, page 2, Maurice Rollinat est cité.
Dans Le Journal du 23 décembre 1899, page 2, dans un article intitulé Le dîner des Hydropathes, Paul Bonhomme fait le compte rendu de la soirée qui s’est tenue la veille, pour le vingtième anniversaire de la fondation de leur Société. Maurice Rollinat n’était présent, mais son poème Les Frissons a été dit par Mesplès.
Dans La Vie à Montmartre de Georges Montorgueil, pseudonyme utilisé par Octave Lebesque, (G. Boudet éditeur, Paris, 1899, IV + 293 pages), Maurice Rollinat est présenté page 151 et cité page 161. Si cet ouvrage figure dans cette liste, ce n’est pas par rapport à Maurice Rollinat mais pour la description de l’ambiance de cette époque, notamment lors de la création du cabaret Le Chat noir.
Dans la rubrique "Chroniques" page 59, de Le Feu Follet, tome XI, n° 1 de janvier 1900, il est indiqué que Maurice Rollinat fait partie des collaborateurs de La Veillée.
Dans Le Figaro du 16 février 1900, page 4, dans la rubrique Informations, il est indiqué que le tableau intitulé "La maison de Rollinat" de M. Henry Laurent est exposé à Paris, 19 rue Caumartin, avec un quatrain envoyé par le poète.
Dans L’Écho de Paris du 19 février 1900, page 1 rubrique Échos, il est indiqué qu’à l’exposition annuelle de l’Association artistique, 19 rue Caumartin à Paris, une toile de M. Henry Laurent représentant la maison de Maurice Rollinat à Fresselines est exposée ; sur le cadre est gravé un quatrain envoyé par le poète.
Dans La Fronde du 10 mars 1900, page 1 rubrique On dit..., un court article intitulé Un peintre en Berry, présente les tableaux d’Henry Laurent exposés 19 rue Caumartin, dont celui représentant la maison de Maurice Rollinat avec le quatrain du poète.
Dans son article Coins de France paru dans Le Journal du 22 août 1900, page 1, Jules Claretie cite Maurice Rollinat et indique qu’il figure sur des cartes postales.
Dans sa rubrique Gazette Rimée présentée sous la forme d’un long poème, publiée dans Le Journal du 20 mai 1901, page 1, Raoul Ponchon fait le compte rendu du Congrès des poètes et cite Maurice Rollinat.
Dans Le Figaro du 28 mai 1901, page 3, nous pouvons lire le compte rendu du Congrès des Poètes ; Maurice Rollinat est cité parmi les participants.
Dans Le XIXe siècle du 29 mai 1901, page 2, figure le compte rendu du Congrès des Poètes qui s’est tenu la veille (c’est-à-dire le 27 mai) à Paris, salle des Hautes études sociales, rue de la Sorbonne. Maurice Rollinat est cité parmi les participants.
Dans L’Ouest-Éclair du 29 mai 1901, page 1, un court article annonce le début le 27 mai, du Congrès des Poètes ; Maurice Rollinat est cité parmi les participants.
Dans La Lanterne du 16 juillet 1901, page 2 rubrique Les Idées et les Livres, se trouve la présentation de L’Art de bien manger édité par Edmond Richardin. Maurice Rollinat est cité parmi les poètes et romanciers ayant contribué à l’ouvrage. (NDLR : Une édition de ce livre datée de 1907 est en ligne sur Gallica. La recette de Maurice Rollinat figure pages 131 à 133, il s’agit du poisson à la broche.)
Dans Le Figaro du 4 août 1901, page 5, dans la rubrique Petite revue des livres, nous pouvons lire la présentation de L’Art de bien manger d’Edmond Richardin. Il est indiqué que ce traité comprend une recette de Maurice Rollinat.
Dans Les Annales politiques et littéraires du 15 septembre 1901, pages 172 et 173, rubrique Revue des livres, nous pouvons lire une présentation de Les Poètes du Berry d’Alphonse Ponroy signée Adolphe Brisson ; Maurice Rollinat est cité et deux strophes de son poème La laveuse servent d’illustration.
Dans Le Radical du 23 novembre 1901, page 4, la rubrique Bibliographie est consacrée à une présentation élogieuse de L’Art du bien manger d’Edmond Richardin. Maurice Rollinat est cité parmi les écrivains ayant contribué à ce livre.
Dans Le Petit Parisien du 1er février 1902, page 3 dans l’article intitulé Le tombeau de Baudelaire, nous pouvons lire que Maurice Rollinat figure parmi les personnes qui ont adhéré au comité constitué pour élever un monument funéraire à Charles Baudelaire.
Dans le Mercure de France, n° 147 de mars 1902, page 857 rubrique Échos, il est indiqué que Maurice Rollinat est membre du "comité Baudelaire".
Dans la présentation du roman La Vedette d’Yvette Guilbert, par Adolphe Buisson, parue dans Les Annales Politiques et Littéraires n° 975 du 2 mars 1902, page 141, Maurice Rollinat est cité deux fois.
Dans Le Petit Parisien du 23 mai 1902, page 4 dans l’article A Saint-Pétersbourg, nous apprenons que dans une exposition organisée dans le palais impérial de Saint-Pétersbourg, on peut voir une vasque d’Émile Gallé sur laquelle figure un vers de Maurice Rollinat : "Les cœurs s’y donnent rendez-vous."
Maurice Rollinat est cité dans l’article sur Paul Marrot signé Georges Robert, paru dans L’Avenir de Roubaix-Tourcoing du 30 septembre 1902, en page 1.
Dans Le Monde Artiste illustré, n° 41 du 12 octobre 1902, page 646, rubrique "Lettres et Beaux-Arts", Maurice Rollinat figure parmi les premiers souscripteurs pour l’érection d’un monument funéraire à la mémoire de Charles Baudelaire.
Maurice Rollinat est cité quatre fois dans l’article Comme en Voyage - Les Trente ans de Théâtre qui évoque le Chat-noir et qui est paru dans La Presse du 1er janvier 1903, page 2.
Dans l’article Un peintre : Fernand Maillaud de Gabriel Nigond, paru dans la Revue du Berry du 15 avril 1903, pages 87 à 94, Maurice Rollinat est cité pages 89 et 93 et son poème Le Soufflet est mis en illustration du texte page 93.
Joseph Ageorges consacre une partie de ses Chroniques berrichonnes parues dans la Revue du Berry du 15 octobre 1903, à une participation de Fernand Maillaud à l’exposition organisée à Paris en 1900, par le journal La Plume (pages 214 à 217). Il est indiqué que le tableau "La maison de Rollinat" y a été exposé ; Maurice Rollinat est également cité aux pages 215 et 216.
Dans son article Causeries - La louange paru dans La Dépêche (Toulouse) du 25 novembre 1903, Édouard Conte prend l’exemple de Maurice Rollinat et émet l’hypothèse que l’article d’Albert Wolff dans Le Figaro a pu avoir, dans un deuxième temps, un effet augmentant la tristesse du poète.
Dans Le Tour de France - Guide touristique, n° 1 d’avril 1904, figure un article intitulé Les bords de la Creuse à travers la Marche, le Berry & la Touraine, où le nom de Maurice Rollinat apparait sept fois.
Dans son article Les Salons -Société nationale des Beaux-Arts, paru dans La Dépêche (Toulouse) du 7 mai 1904, page 2, Gustave Geffroy indique que Camille Boiry expose son tableau "La Maison du poète Rollinat à Fresselines", et Fernand Maillaud "Le jour des morts à Fresselines" et qu’alors, celui-ci s’est souvenu de Maurice Rollinat.
Dans l’article La rivière signé Thomas Grimm, paru dans Le Petit Journal du 26 juillet 1904, page 1, Maurice Rollinat est cité et des vers extraits de son poème Le Fond de l’Eau servent d’illustration. (Thomas Grimm est un pseudonyme utilisé au sein du journal, souvent par M. Henri Escoffier rédacteur en chef.)
Dans un article de Jean Frollo intitulé Au Pays des Camoëns, paru dans Le Petit Parisien du 30 novembre 1904, page 1, parlant de la visite en France du roi de Portugal et de la vie dans ce pays, il est indiqué que le père du roi actuel aimait traduire des poètes français, dont Maurice Rollinat, et qu’un jour il aurait écrit à ce dernier pour lui demander la signification d’un mot. Cette information figure à nouveau dans l’édition du 11 février 1908, page 1 dans l’article La semaine parisienne de Paul Ginisty, dont une partie est intitulée Souvenirs du Portugal.
Dans Oscar Wilde - The Story of An Unhappy Friendship (Greening & CO., LTD., London, 1905, 270 pages, en anglais) Robert Harborough Sherard raconte, pages 47 à 49, le dîner offert par Oscar Wilde à Maurice Rollinat et le plaisir qu’Oscar Wilde a eu à entendre Maurice Rollinat dire son poème sur Troppmann. (NB : Il existe une édition antérieure de ce livre publiée chez The Hermes Press, London, datée de 1902, 278 pages.)
Au début de l’article Le romancier de la jeunesse - Jules Verne, paru dans La Presse du 25 mars 1905, pages 1 et 2, l’auteur, Henri Duvernois, indique que Maurice Rollinat lui avait raconté comment George Sand lui avait conseillé d’écrire pour la jeunesse.
Dans Le Pays du 19 octobre 1905, page 3, au sein de l’article Au Portugal, deux paragraphes concernent Maurice Rollinat et indiquent que le roi du Portugal a traduit certains de ses textes.
Robert Harborough Sherard, dans son livre Twenty years in Paris (Hutchinson & Co, London, 1905, 499 pages, en anglais), indique page 118 qu’il a dîné avec Maurice Rollinat à l’hôtel Voltaire, et pages 382 et 383 parle de Maurice Rollinat à Paris et la rencontre de celui-ci avec Oscar Wilde, de son départ à la campagne et de sa fin de vie, en reprenant ce qui s’était dit dans certains journaux c’est-à-dire avec des erreurs.
Dans le Supplément littéraire du Figaro du 9 juin 1906, page 2, nous pouvons lire un article intitulé Un ami d’Alexandre Dumas signé Paul Ravoux, consacré au Dr Henri Favre, médecin de George Sand et que Maurice Rollinat a consulté.
Dans The life of Oscar Wilde de Robert Harborough Sherard (T. Werner Laurie, London, 1906, 470 pages, en anglais), Maurice Rollinat est cité page 243 et on apprend qu’Oscar Wilde avait une grande admiration pour le poème de Maurice Rollinat sur Troppmann.
Dans l’article Suicide de Poète de Gustave Kahn, relatif au suicide de Charles Frémine, paru dans L’Aurore du 14 juin 1906, pages 1 et 2, un parallèle est fait avec la fin de vie de Maurice Rollinat ; ce dernier est également cité à deux reprises dans le texte.
Albert Cassagne a publié sa thèse intitulée Versification et métrique de Charles Baudelaire (Hachette, Paris, 1906, 127 pages) ; il consacre la dernière partie de son chapitre IX Les effets de répétition à une analyse sur "Les mêmes formes chez Leconte de Lisle, Rollinat, Verlaine" ; la comparaison entre Maurice Rollinat et Charles Baudelaire se situe pages 116 et 117.
À la fin de son article Causeries - Pêcheurs à la Ligne, paru dans La Dépêche (Toulouse) du 3 février 1907, pages 1 et 2, Gustave Geffroy décrit Maurice Rollinat à la pêche à Fresselines.
Dans Le Figaro du 4 février 1907, page 1, dans la rubrique Échos, suite au décès de Henry Cros, nous pouvons lire une anecdote racontée par Maurice Rollinat à propos de la famille Cros.
Dans son article Causeries - Un oublié : Charles Cros, paru dans La Dépêche (Toulouse) du 24 mars 1907, page 1, Gustave Geffroy décrit comment Maurice Rollinat célébrait les qualités de son ami Charles Cros.
Dans l’article Chez Bernard Naudin de Louis Vauxcelles paru dans L’Art et les Artistes de juillet 1907, pages 189 à 196, plusieurs paragraphes vers la fin de l’article parlent de la relation entre Bernard Naudin et Maurice Rollinat.
Gustave Geffroy, dans un long article intitulé Louis Rossel à Metz et à Nevers paru dans La Dépêche (Toulouse) du 13 avril 1908, pages 1 et 2, indique que Maurice Rollinat se souvenait très bien des sentiments ressentis lors du déplacement des étudiants à Versailles pour demander à Thiers la grâce de Rossel.
Jean Moréas dans Variations sur la Vie et les Livres (Mercure de France, Paris, 1910, 316 pages) consacre page 181, un paragraphe à Maurice Rollinat. Son commentaire est peu sympathique.
Dans le Journal des débats politiques et littéraires du 1er mars 1911, page 1 rubrique Au jour le jour, Paul Ginisty dans un article intitulé Survivants et disparus, se remémore les soirées et les figures marquantes du Chat Noir. Le début du dernier paragraphe est consacré à Maurice Rollinat.
Dans Le Supplément du 27 juillet 1912 (édité par La Lanterne), page 1 rubrique Echos, suite à la vente à l’hôtel Drouot d’un squelette, l’auteur raconte qu’un jour Marie Colombier proposa à Maurice Rollinat de lui vendre un squelette, mais que celui-ci refusa.
Robert Harborough Sherard dans The real Oscar Wilde (T. Werner Laurie LTD., London, 1916, 431 pages, en anglais) parle à deux reprises de Maurice Rollinat : pages 23 et 24 à propos d’une invitation à déjeuner par Oscar Wilde à l’hôtel Voltaire, et page 252 où il raconte, après avoir parlé des goûts d’Oscar Wilde pour le macabre, un dîner à l’hôtel Voltaire au cours duquel Maurice Rollinat a dit son poème sur Troppmann et où Oscar Wilde l’a remercié et l’a appelé "Maître".
Jean Lorrain dans une lettre adressée à Charles Buet (sans date : 1885-1887), publiée dans Lutecia de janvier 1918, page 5, donne ses impressions sur le livre Les Névroses de Maurice Rollinat.
Adolphe Willette dans son livre autobiographique Feu Pierrot 1857-19 ? (H. Floury éditeur, Paris, 1919, 183 pages + 33 pages de planches), cite Maurice Rollinat pages 120, 152, 154 et 155. Une planche située entre les pages 122 et 123 est dédicacée "A Mademoiselle Squelette", allusion au poème de Maurice Rollinat ; ce dessin avait été publié dans Le Chat Noir n° 46 du 25 novembre 1882, page 3.
Maurice Rollinat est cité dans l’article Les Hydropathes à la Sorbonne de Jules Lévy, paru dans l’Excelsior du 27 décembre 1919, page 5.
Dans Lectures pour tous du 1er janvier 1920, pages 522 et 523, nous pouvons lire l’histoire résumée des Hydropathes signée Émile Goudeau ; Maurice Rollinat est cité cinq fois et un paragraphe lui est consacré. Cet article est composé d’extraits de Dix ans de bohème (La librairie illustrée, Paris, 1888, 286 pages), sélectionnés entre les pages 152 et 237.
Dans l’article Les "Hirsutes" de Léon Roux paru dans le Mercure de France n° 520 du 15 février 1920, pages 279 à 281 rubrique Échos, Maurice Rollinat est signalé parmi les personnes ayant fréquenté ce groupe. Un complément intitulé Les vrais "Hirsutes" signé Dr E. Callamand, est paru dans le numéro 522 du 15 mars 1920, pages 862 et 863 rubrique Échos ; le nom de Maurice Rollinat y figure.
Joseph Ageorges dans son article De l’accent berrichon, paru dans Le Centre artistique et littéraire de mai 1920, pages 97 et 98, évoque Maurice Rollinat et sa manière de décrire les paysans, mais de façon plutôt négative.
Dans l’article Le Cercle des Hydropathes d’Armand Masson, paru dans Je sais tout du 15 avril 1921, pages 516 à 521, Maurice Rollinat est cité deux fois dans le texte et quatre fois dans les illustrations.
Dans l’article Mes Souvenirs sur le Théâtre-Libre signé Antoine, paru dans La Revue hebdomadaire du 20 août 1921, Maurice Rollinat est cité page 294. On y apprend que le 12 novembre 1892, de passage à Paris chez des amis "il nous a tenus toute la soirée avec son piano".
J.-H. Rosny Aîné consacre un chapitre de son livre Torches et Lumignons (éditions La force française, Paris, 1921, 287 pages) à Daudet à Champrosay. Maurice Rollinat est cité dans les invités d’Alphonse Daudet avec une courte présentation (page 138).
Dans son livre "Mes souvenirs" au Théâtre-libre (Arthème Fayard et Cie, Paris, 1921, 324 pages), page 272, Antoine (André Antoine, 1858-1943) raconte la soirée du 12 novembre 1892 qu’il a passée chez des amis à Paris, au cours de laquelle Maurice Rollinat a chanté ses poèmes.
Dans son article intitulé Daudet et la musique paru dans Le Petit Marseillais du 26 mars 1922, page 1, Henry Céard, de l’Académie Goncourt, évoque Maurice Rollinat et sa manière de chanter.
Dans Le Journal du 6 novembre 1922, page 4, Maurice Rollinat est cité dans l’article Claude Monet et son œuvre de Lucien Descaves ; le livre de Gustave Geffroy sur Claude Monet a rappelé à l’auteur des souvenirs de son séjour à Fresselines chez Maurice Rollinat après le passage de Claude Monet.
Dans l’article Le Salon de Banville paru dans le Supplément littéraire du Figaro du 10 mars 1923, page 2, Tancrède Martel raconte comment il rencontra pour la première fois Maurice Rollinat dans le salon de Théodore de Banville et l’impression que celui-ci lui fit lorsqu’il chanta.
Dans Comœdia du 6 août 1923, page 2 rubrique Belles Lettres, il est indiqué dans la présentation du livre de poésie Les pleurs de Pierre Andrieu, que celui-ci avait dans sa préface, écrit que le livre était un "pastiche de Rollinat et même de Baudelaire". Ceci a incité l’auteur de la rubrique à faire un rapprochement avec une phrase de Maurice Barrès extraite d’un article paru dans Taches d’Encre du 5 décembre 1884 (page 36), qui n’était pas à l’avantage de Maurice Rollinat.
Dans son article M. Haraucourt va quitter Cluny, paru dans Le Figaro du 1er décembre 1925, page 2, Robert Destez raconte une scène qui s’est déroulée chez Maurice Rollinat.
Dans un article intitulé La Vie littéraire, paru dans Le Figaro du 24 avril 1925, page 4, Henri de Régnier cite Maurice Rollinat mais de manière peu sympathique.
Dans le Mercure de France n° 661 du 1er janvier 1926, il est indiqué dans la rubrique La revue de la quinzaine, page 227, que Les Cahiers Léon Bloy de novembre-décembre 1925, ont publié un article de Joseph Bollery qui contient le quatrain de Maurice Rollinat sur Léon Bloy et la remarque de Léon Bloy ; ces deux textes sont retranscrits.
Dans Comœdia du 25 octobre 1926, page 2 rubrique Petit Courrier, on apprend que les Amis de Maurice Rollinat viennent d’intervenir auprès de la deuxième commission municipale pour que le nom du poète soit donné à une rue de Paris.
Dans un article intitulé L’Art de faire vivre une chanson, paru dans Les Annales Politiques et Littéraires n° 2289 du 1er juillet 1927, pages 17 à 19, Yvette Guilbert raconte comment Maurice Rollinat voulait que ses poèmes soient chantés (page 19). Cet article sera repris presque à l’identique dans L’art de chanter une chanson d’Yvette Guilbert (Paris, Bernard Grasset, 1928, 157 pages), pages 11 à 36 ; la partie concernant Maurice Rollinat se trouve aux pages 28 et 29 ; il est également cité page 40.
Dans l’article Le carnet d’Oscar Wilde paru dans Le Supplément littéraire du Figaro du 22 octobre 1927, pages 1 et 2, Henry-D. Davray cite des propos d’Oscar Wilde écrits sur une page portant en tête l’inscription "Rollinat" qui était invité ce soir-là au café Voltaire par Wilde.
Dans L’Éclaireur du Dimanche du 1er janvier 1928, pages 13 et 14, Paul-Louis Hervier dans son article Une soirée entre poètes - Verlaine, Wilde et Rollinat, rapporte les propos tenus par Robert Harborough Sherard dans un hebdomadaire londonien, à propos de la rencontre d’Oscar Wilde avec Maurice Rollinat à Paris, soirée qui se serait terminée par une visite à Paul Verlaine dans un café.
Jacques Patin dans son article Chez Nadar paru dans Le Supplément littéraire du Figaro du 24 mars 1928, pages 1 et 2, signale que des vers de Maurice Rollinat figurent dans un album d’autographes de Gaspar-Félix Nadar.
Dans le Larousse mensuel illustré n° 263 de janvier 1929, dans l’article consacré aux Hydropathes, pages 11 et 12, Maurice Rollinat est cité sept fois.
Dans Adorable Clio (éditions Émile-Paul frères, Paris, 1929, 171 pages) Jean Giraudoux, page 62, relate qu’au lycée de Châteauroux, avec ses camarades, ils se disputaient la place occupée auparavant par Maurice Rollinat, puis par Bernard Naudin.
Dans l’article Eugène Alluaud d’Ernest Tisserand, paru dans L’Art et les Artistes n° 102 de décembre 1929, pages 79 à 84, Maurice Rollinat est cité trois fois.
Hubert Colleye dans son livre L’Ame de Léon Bloy - I (Desclée de Brouwer et Cie éditeurs, Bruges, 1930, 285 pages) parle du séjour de Léon Bloy à Bel-Air, invité par Maurice Rollinat (pages 231 à 236) ; il publie en particulier une longue lettre de Léon Bloy à Maurice Rollinat.
Maurice Rollinat est cité trois fois dans l’article Souvenirs du "Chat noir" d’Edmond Haraucourt, paru dans La Dépêche (Toulouse) du 5 mars 1933, page 1. Cet article, repris quasi à l’identique, constituera le chapitre « Souvenirs du Chat Noir » du livre d’Edmond Haraucourt Mémoires – Des Jours et des Gens (Ernest Flammarion, Paris, 1946, 219 pages), pages 117 à 126.
Dans le compte rendu de la séance du 13 septembre 1934, paru dans les Mémoires de la Société des Sciences Naturelles et Archéologiques de la Creuse, tome 26 1935-1937, page XXXV, des précisions sont apportées sur la première rencontre du peintre Paul Madeline avec Maurice Rollinat, à Paris.
Dans L’Art et les Artistes n° 152 de décembre 1934, nous pouvons lire pages 73 à 82, un portrait/biographie d’Armand Dayot signé Jean-Julien Lemordant. Page 74, il est indiqué qu’à vingt-deux ans, Armand Dayot entre comme rédacteur dans les bureaux de l’Hôtel de Ville de Paris, au service des décès, où il a comme camarade Maurice Rollinat.
Georges Fourest dans son livre Le Géranium ovipare (José Corti, Paris, 1935, 112 pages) cite Maurice Rollinat page 65 dans son Épitre bucolique, falote et géographique à Pierre Halary (pages 57 à 66).
Dans son article Le Musée Clémenceau paru dans La Dépêche (Toulouse) du 26 juin 1937, page 1, Georges Lecomte indique que Maurice Rollinat retrouvait des amis dans la salle de rédaction de La Justice (dont Gustave Geffroy était alors secrétaire de la rédaction) et qu’il pouvait y rencontrer Georges Clémenceau.
J.-J. Brousson, dans La Dépêche (Toulouse) du 23 avril 1939, page 2, signe un article intitulé Les névroses et le sport, dans lequel il s’appuie sur l’exemple de Maurice Rollinat. Cet article comporte de nombreuses imprécisions, voire des erreurs.
Dans L’Est Républicain du 24 mai 1939, page 7, figure un court article intitulé Rollinat et les Goncourt, dans lequel il est rappelé un extrait du Journal des Goncourt indiquant que selon Paul Bourget, Maurice Rollinat maltraitait son chien ; or Paul Bourget, quelques années avant sa mort, avait déclaré "qu’il n’avait jamais été chez Rollinat".
Dans les Mémoires de la Société des Sciences Naturelles et Archéologiques de la Creuse, tome 27 1938-1940, pages 534 et 535, sont répertoriés les dons faits au musée de Guéret au cours de l’année 1940, en particulier un don de M. Eugène Alluaud d’un lot important de souvenirs du poète Maurice Rollinat, son piano, son serre-livres, son encrier, son soufflet, des tableaux, des photographies...
Dans L’Echo de Nancy du 23 avril 1941, page 2, un court article intitulé La femme du poète, suite au décès de Marie Rollinat, évoque le souvenir que celle-ci avait par rapport à Maurice.
Dans l’article Quelques souvenirs sur trois auteurs gais de chez nous de Paul Brousse, paru dans Notre province n° 25 de mars 1944, pages 58 à 61, Maurice Rollinat est cité trois fois dans la partie consacrée à Rodolphe Salis.
Présentation de livres, publications ou travaux consacrés en partie ou en totalité à Maurice Rollinat |
Dans La Justice du 6 février 1884, page 4 rubrique Librairie, nous pouvons lire une présentation de L’évolution naturaliste de Louis Desprez, dans laquelle Maurice Rollinat est cité. La première partie de ce texte sera reprise mot pour mot dans Le Tintamarre du 10 février 1884, page 6 rubrique Bibliographie. Le texte paru dans La Justice sera repris à l’identique dans Le Chat Noir du 16 février 1884, page 232 (quatrième du numéro), rubrique Bibliographie.
Dans la rubrique Bibliographie page 314, de Le Feu Follet - Nouvelle série, n° 5 de mai 1899, on nous conseille de lire dans Lemouzi les excellents articles de MM. Montal et Fernand Borie sur "Rollinat en Limousin".
Dans la présentation du livre Les poètes du Berry d’Alphonse Ponroy, parue dans Le XIXe siècle du 26 mai 1900, page 4 rubrique Revue bibliographique, Maurice Rollinat est cité parmi les poètes faisant partie de cette anthologie.
Dans Le Courrier du Centre du 14 juin 1901, page 1 rubrique Lettre de Paris, figure une présentation du livre Portraits intimes - Cinquième série d’Adolphe Brisson, comprenant un texte sur Maurice Rollinat (le texte intitulé Maurice Rollinat, pêcheurs de truites se trouve pages 86 à 96 du livre ; il s’agit de la reprise quasi-identique de l’article paru dans Le Temps du 25 octobre 1899, page 2).
Dans le numéro double 21 et 22 des 10 et 25 novembre 1904 de La Chronique des Livres, Henri Hertz dans sa rubrique Poèmes, présente pages 165 et 166, Le vrai Rollinat de Joseph Pierre. Il s’agit plus de sa propre opinion que d’un compte rendu fidèle de l’esprit du livre.
Dans Le Mois Littéraire et pittoresque, n° 72 de décembre 1904, page 180, le livre Le vrai Rollinat de Joseph Pierre est présenté.
Dans le Mercure de France n° 185 du 1er mars 1905, page 110, rubrique Littérature, nous pouvons lire une présentation de Le Vrai Rollinat de J. Pierre, signée Jean de Gourmont.
Dans le Supplément littéraire du Figaro du 4 septembre 1921, page 2, rubrique Chez le Libraire, Jacques Patin signe une présentation de Maurice Rollinat - Étude biographique et littéraire d’Émile Vinchon, mettant bien en valeur les qualités du livre.
Dans L’Humanité du 21 octobre 1923, page 4 rubrique Petites Lectures, l’article Rollinat, poète de la terre reprend une partie de l’article Un Musicien-Sorcier - Maurice Rollinat de Jehan Durieux, paru dans Comœdia du 1er octobre 1923, page 4.
Dans la rubrique Les Revues de Le Figaro du 19 janvier 1925, page 2, un court article signé Les Alguazils, signale que La Revue de France publie les souvenirs littéraires de Gustave Guiches, et en fait ne parle que de "La découverte de Maurice Rollinat".
Dans le Supplément littéraire du Figaro du 24 janvier 1925, page 3 rubrique Lectures française, Maurice Levaillant dans l’article intitulé Deux poètes des nerfs, évoque la période parisienne de Maurice Rollinat à l’aide d’extraits de Au banquet de la vie de Gustave Guiches publié par La Revue de France.
L’Indépendant du Berry du 17 avril 1926, présente en page 2, le n° 7 des Feuilles du Bas-Berry dont la partie littéraire est entièrement consacrée à Maurice Rollinat (une brève annonce était déjà parue en page 1 de l’édition du 27 mars 1926). Dans l’édition du 8 mai 1926, en page 1, on apprend que cette publication a rencontré un grand succès.
Dans le Bulletin bibliographique figurant en troisième de couverture de La Revue hebdomadaire du 24 septembre 1927, nous pouvons lire la présentation de L’envers du génie du Dr Charles Guilbert, livre dans lequel Maurice Rollinat est analysé. L’auteur de l’article n’aime visiblement pas la manière dont la poésie a été utilisée.
Dans Comœdia du 26 avril 1928, page 2 rubrique Vient de paraître, figure la présentation du Mémorial Maurice Rollinat publié par les éditions du Gargaillou.
Dans La Revue limousine n° 53 du 1er août 1928, page 63 (pages jaunes à la fin de la revue), Albéric Cahuet présente le livre L’Envers du génie du Dr Charles Guilbert qui analyse entre autres, Maurice Rollinat et sa poésie.
Dans Le Divan de 1928, page 333, présentation du livre d’Henriette Willette Georges Lorin et Maurice Rollinat, par Pierre Arrou.
Dans La Revue du Centre (Nivernais, Berry, Bourbonnais, Bourgogne, Orléanais) n° 2 de mars-avril 1929, page 75, rubrique A travers les Journaux, les Revues et les Livres, figure la présentation de La Philosophie de Maurice Rollinat d’Émile Vinchon.
Dans Le Figaro du 7 septembre 1929, page 6, se trouve l’article Une thèse médicale sur Rollinat qui fait la présentation de la thèse de doctorat en médecine de Raymond Frugier intitulée Étude médico-psychologique sur Maurice Rollinat ou contribution à l’étude des rapports du génie poétique et de la névropathie.
Dans Revue des Lectures n° 7 du 15 juillet 1930, page 856, rubrique Les principales nouveautés, nous pouvons lire une présentation de Rollinat, Poète et Musicien d’Hugues Lapaire. Le journaliste met en évidence le côté romancé de l’ouvrage et les parti-pris de son auteur.
Claude Dravaine, dans sa Chronique littéraire parue dans L’Auvergne Littéraire Artistique et Historique, n° 53 d’août-septembre 1930, pages 39 et 40, présente le livre Rollinat, Poète et Musicien d’Hugues Lapaire.
Dans La Revue limousine n° 95 du 15 janvier 1931, page 183, figure une présentation de la thèse de doctorat en médecine du Dr Raymond Frugier sur Maurice Rollinat, signée Georges Massoulard. Celui-ci, plutôt que de faire un compte rendu, exprime tous les a priori négatifs qu’il a sur Maurice Rollinat.
Dans La Chronique médicale n° 10 du 1er octobre 1931, page 280, figure une présentation de la thèse de doctorat en médecine de Roger Grimaud, intitulée Maurice Rollinat, étude médico-psychologique.
Dans L’Homme Libre du 26 octobre 1933, page 2 rubrique Les lettres, nous pouvons lire une présentation du livre Maurice Rollinat d’Alexandre Zévaès. Dans l’édition du 3 novembre, pages 1 et 2, la rubrique Livres à lire signée Paul Lombard, est consacrée à l’ouvrage d’Alexandre Zévaès, ce qui permet à l’auteur de revenir sur la vie de Maurice Rollinat, en particulier sa période parisienne (Alexandre Zévaès est le pseudonyme de Gustave-Alexandre Bourson).
Dans Le Populaire du Centre du 2 décembre 1933, page 2 rubrique Nouveautés littéraires, figure une présentation du livre Maurice Rollinat d’Alexandre Zévaès signée R. Margerit. L’auteur rappelle la vie et l’œuvre du poète.
Dans le n° 969 du 3 décembre 1933, de Femme de France, André Billy présente sur une page entière (p. 18), le livre Maurice Rollinat d’Alexandre Zévaès. Il en profite pour rappeler la vie et l’œuvre du poète.
Dans La Nouvelle Revue du 1er mai 1934, page 79 rubrique Livres, figure une présentation de l’ouvrage Maurice Rollinat d’Alexandre Zévaès.
Dans Le Domaine n° 141 de juillet 1934, page 277, nous pouvons lire la présentation du livre La Musique de Maurice Rollinat d’Émile Vinchon, par Louis Piselli.
Dans L’Homme Libre du 18 octobre 1934, page 2 rubrique Les Lettres, se trouve la présentation de La musique de Maurice Rollinat d’Émile Vinchon.
Dans Marianne du 14 novembre 1934, page 4 rubrique Vient de paraître, nous pouvons lire une présentation de La musique de Maurice Rollinat d’Émile Vinchon.
Dans le Cahier n° 34, juillet-décembre 1934, de La Proue - Revue des poëtes Libres et Recréateurs, Suzanne Colas-Lévy, dans sa "Chronique", présente de manière succincte le livre Maurice Rollinat d’Alexandre Zévaès (page 89).
Dans Les Nouvelles littéraires, artistiques et scientifiques du 20 juin 1936, page 6 rubrique La Semaine Bibliographique, figure une présentation de L’Œuvre littéraire de Maurice Rollinat par Émile Vinchon, signée Hector Talvart.
Dans L’Archer n° 9 de novembre 1936, pages 439 à 441, un long article présente L’œuvre littéraire de Maurice Rollinat d’Émile Vinchon.
Dans la Revue d’Histoire Littéraire de la France de mai-juin 1985, un long article signé Georges Cesbron, présente le livre de Régis Miannay Maurice Rollinat, Poète et musicien du fantastique (pages 207 à 509).
Livres de Maurice Rollinat illustrés |
L’article A la Bodinière paru dans La Petite République Française du 28 février 1893, page 2, présente l’exposition dans ce lieu, des dessins et aquarelles de Ferdinand Bach ; parmi celles-ci figurent les « Névrosés » destinées à l’illustration des œuvres de Maurice Rollinat.
Dans Le Mercure de France du 1er avril 1893, page 384, rubrique Expositions, figure l’annonce de l’exposition à la Galerie Bodinier, des Œuvres de Bac où "les esquisses pour les Névroses de Rollinat sont ce qu’il y a de plus intéressant".
Dans Le Figaro du 6 février 1909, page 7, rubrique Les grandes ventes, figurent les résultats de la troisième vacation de la bibliothèque Bélinac, avec notamment le lot 418 correspondant aux Névroses de Maurice Rollinat, illustrées de vingt-huit aquarelles originales de Caruchet (ouvrage relié par Gruel).
Le Soleil du 7 février 1909, page 4, rubrique A l’Hôtel des Ventes annonce les principaux résultats de la mise aux enchères de la bibliothèque de feu M. Bélinac qui contient en particulier l’exemplaire des Névroses de Maurice Rollinat illustré avec les aquarelles de Caruchet.
Sur le site des bibliothèques de Châteauroux, nous trouvons numérisé le livre La Nature illustré de 101 aquarelles d’André des Gachons.
Poèmes de Maurice Rollinat traduits en espagnol |
Dans le livre Musas de Francia de Balbino Dávalos, paru en 1913, vous trouverez quatre poèmes de Maurice Rollinat issus de Les Névroses, traduits en espagnol (pages 95 à 105) : « La Peur », « Chopin », « La Lanterne » et « La Joconde ».
Ouvrages où Maurice Rollinat a servi de modèle pour un personnage |
Félicien Champsaur s’est inspiré de Maurice Rollinat pour décrire le poète et musicien Michel Maury dans son roman Dinah Samuel paru en 1882 (l’édition en ligne sur Gallica est celle parue chez Paul Ollendorf en 1889, XLVIII + 381 pages). Les descriptions qui figurent pages 119 à 121 et 170 sont très négatives.
Dans La femme pauvre de Léon Bloy (Société du Mercure de France, Paris, 1897, 395 pages) l’auteur qui a bien connu Maurice Rollinat, s’est inspiré de ce dernier pour créer son personnage « Rollon Crozant ». Les descriptions qui figurent entre les pages 199 et 210, ont de nombreux points communs avec des portraits de Maurice Rollinat déclamant des poèmes au piano, ou avec des épisodes de sa vie.
Tableau inspiré d’un poème de Maurice Rollinat |
Le livre Napoléon raconté par l’image d’Armand Dayot (Librairie Hachette, Paris, 1895, 500 + IV pages) est illustré en page III d’une lithographie de Willette intitulée Le mort s’en va dans le brouillard ; celle-ci a été inspirée par le poème Le Convoi funèbre de Maurice Rollinat et son titre correspond au premier vers du poème.
Maurice Rollinat imité et poèmes inspirés par Maurice Rollinat |
Dans le numéro du 7 janvier 1883 de Le Tintamarre, page 5, figure un poème intitulé Le Siphon et signé "Un nouveau Rollinat".
Dans La Revue lyonnaise d’octobre 1883, page 404 rubrique Félibrige - Odelettes provençales, nous pouvons lire un poème en provençal et en français intitulé En épiant les "Névroses" de Rollinat, signé William C. Bonaparte Wyse.
Dans Le Supplément du 20 juin 1896 (édité par La Lanterne), page 3, Léon Valbert commence son article WC par un petit poème de six vers, imité d’une strophe de "La belle Fromagère" de Maurice Rollinat.
Sous le titre Pour faire suite à Rollinat, Jean Prouvaire publie six poèmes inspirés de ce poète (Les Cloportes, La Loutre, Le bouc dans la haie, Le Pivert, Le Putois et Lapins et furet), dans La France active, n° 107 du 15 février 1930 (pages 166 à 171).
Livres dédiés à Maurice Rollinat |
Georges Lorin a dédié son livre Les gens ! (Paul Ollendorf éditeur, Paris, 1882, 29 pages) "Au grand poète, au grand musicien Maurice Rollinat". Au niveau des ilustrations, Maurice Rollinat est représenté pages 12 et 21. Ce texte sera incorporé dans Paris rose (Paul Ollendorf éditeur, Paris, 1884, 282 pages), pages 21 à 43, avec la simple mention "A Maurice Rollinat".
Dans Le Figaro du 7 juin 1907, page 3 rubrique Petite Chronique des Lettres, figure la présentation du livre La Peur d’Edmond Haraucourt dont la préface est dédiée à Maurice Rollinat (voir la présentation du livre dans la rubrique Ouvrages parlant de Maurice Rollinat ci-dessus).
Poèmes dédicacés ou consacrés à Maurice Rollinat |
Dans son livre Mélodies païennes (A. Le Chevalier libraire-éditeur, Paris, 1873, 191 pages), Raoul Lafagette dédicace trois poèmes à Maurice Rollinat : Soir (pages 17 et 18), Paysage (pages 95 et 96) et Le Vampire (pages 177 à 179). Dans Les Accalmies (Librairie de l’Eau-forte, Paris, 1876, 252 pages) du même auteur, un poème est intitulé A Maurice Rollinat en lui offrant les Accalmies (pages 179 et 180) et trois autres poèmes sont dédicacés à Maurice Rollinat : Rêve de volupté (pages 51 et 52), Charles Baudelaire (pages 187 et 188) et Les Pifferari (pages 191 à 194).
Dans le journal Les Hydropathes n° 8 du 5 mai 1879, le poème Le rire, aux pleurs de Cabriol (pseudonyme utilisé par Georges Lorin) est dédicacé à Maurice Rollinat.
Robert Caze dans son livre Ritournelles (Librairie Sandoz, Paris, 1879, 109 pages), a dédicacé son poème Cauchemar à Maurice Rollinat (page 56).
Le poème Conclusion de Charles Cros publié dans Le Coffret de Santal (Tresse éditeur, Paris, 1879, 279 pages, pages 43 et 44, est dédicacé à Maurice Rollinat (attention : ce poème ne figure pas dans l’édition de 1883 publiée chez Alphonse Lemerre).
Le poème La Source de Théodore Maurer, paru dans L’Union littéraire des poètes et des prosateurs, n° 6 du 25 mars 1880, page 91, est dédicacé à Maurice Rollinat.
Dans la partie Tête et Cœur du livre Les Fauves de Fernand Crésy (pseudonyme-anagramme de Fernand Icres) (Alphonse Lemerre éditeur, Paris, 1880, 136 pages), deux poèmes sont dédicacés à Maurice Rollinat : Rebus in adversis..., pages 55 et 56, et L’Engrenage, pages 59 et 60. Ce deuxième poème signé de Fernand Crécy (vraisemblablement une faute de composition) paraîtra dans Le Chat Noir n° 47 du 2 décembre 1882, pages 1 et 2, toujours dédicacé à Maurice Rollinat.
Robert Caze dans son livre Poèmes rustiques (Librairie Sandoz & Fischbacher, Paris, 1880, 175 pages), a dédicacé son poème Naturalisme à Maurice Rollinat, poète du Berry (pages 129 à 133).
Dans Le Chat Noir n° 31 du 12 août 1882, page 4, le poème Les Boiteux de Charles Morice est dédicacé à Maurice Rollinat. (Maurice Rollinat avait remercié Charles Morice de lui avoir dédicacé ce poème dans une lettre expédiée de Bel-Air en juillet 1882, lettre publiée par Émile Vinchon dans La Vie de Maurice Rollinat, page 307, sans préciser le destinataire.)
Le poème L’enterrement d’une Parisienne de Louis Bréchemin, paru dans Le Parnasse du 15 novembre 1882, pages 15 et 16, est dédicacé à Maurice Rollinat.
Antoine Cros a dédicacé son poème La condamnée à Maurice Rollinat (publié pages 80 à 82 de Les belles heures – 1867-1882, Paul Ollendorff éditeur, Paris, 1882, 254 pages).
Dans La légende des sexes - Poëmes hystériques signé Le Sire de Chambley (pseudonyme utilisé par Edmond Haraucourt) (Imprimé à Bruxelles pour l’auteur, 1882, 147 pages), le poème La Vieille, pages 81 à 83, est dédicacé à Maurice Rollinat. Ce poème signé Edmond Haraucourt sera publié dans Le Chat Noir n°45 du 18 novembre 1882, page 4, avec la dédicace à Maurice Rollinat.
Dans le numéro du 3 avril 1883 de Le Tintamarre, page 5, figure un poème intitulé Philosophie signé "Melandri" et dédicacé à Maurice Rollinat.
Le poème Les Corbeaux de J. Moret paru dans La Revue critique n° 42 du 21 octobre 1883, page 335, est dédicacé à Maurice Rollinat.
Maxime Lorin a dédicacé trois poèmes de son recueil Autour de moi (Paul Ollendorf éditeur, Paris, 1883, 216 pages) à Maurice Rollinat : De face (pages 22 et 23), En rêve (pages 48 à 51) et La Ballade du Terrifié (pages 173 à 175).
Dans son livre La Muse Noire (Alphonse Lemerre éditeur, Paris, 1883, 167 pages), Stanislas de Guaita a dédicacé son poème Les Spectres, pages 41 à 43, à Maurice Rollinat.
Charles Frémine dans son livre Vieux airs et jeunes chansons (Alphonse Lemerre, Paris, 1884, 149 pages), pages 99 et 100, a dédicacé son poème Sonnet noir à Maurice Rollinat.
Dans Mireille, Revue des poètes marseillais de juin 1884, page 64, nous trouvons la présentation du livre Vieux airs et jeunes chansons de Charles Frémine ; celle-ci est accompagnée du poème Sonnet noir dédicacé à Maurice Rollinat.
Auguste Barrau dans son livre Fleurs d’Enfer (Auguste Ghio éditeur, Paris, 1884, 151 pages), a dédicacé son poème La Chanson des vers, pages 131 à 134, à Maurice Rollinat.
Dans Le Feu Follet n° 83 du 15 mai 1885, nous trouvons page 585, un poème intitulé À Maurice Rollinat et signé Frédéric Bataille.
Dans son livre L’âme nue (Georges Charpentier et Cie éditeurs, Paris, 1885, 278 pages), Edmond Haraucourt a dédicacé le poème La Brute, pages 215 à 218, à Maurice Rollinat.
Dans le livre Les Évocations (G. Charpentier et Cie éditeurs, Paris, 1885, 354 pages) de Clovis Hugues, figure pages 242 à 244, le poème A Maurice Rollinat daté d’août 1883 (très macabre et négatif pour le destinataire).
Le poème Les Chats de Georges Pietri paru dans Nice-Artistique du 18 février 1886, page 146 (deuxième du numéro), est dédicacé à Maurice Rollinat.
Le poème Frimas d’André Thérence paru dans Le Limousin littéraire du 19 décembre 1886, page 1, est dédicacé à Maurice Rollinat.
Jules Jouy, dans son livre Les chansons de l’année (Bourbier & Lamoureux, Paris, 1888, 360 pages), dédicace sa chanson L’exécution "A mon ami Maurice Rollinat" (pages 271 à 273).
Gabriel Vicaire dans son livre Émaux bressans (G. Charpentier et Cie éditeurs, Paris, 1889, 291 pages) dédicace son poème La belle morte à Maurice Rollinat (pages 236 à 239). Ce poème sera repris dans Choix de poésies (Librairie théâtrale, Paris, 1903, 288 pages), pages 63 à 66, avec la même dédicace.
Louis Antheaume dédicace à Maurice Rollinat son poème Des yeux, publié à la vingt-quatrième page du deuxième fascicule de Quelques vers (A. Vernant imprimeur-éditeur, Provins, 1889, 27 pages).
Le poème Ma chatte de Carol Justhève, paru dans La Clochette du 16 février 1890, page 1, est dédicacé à Monsieur Maurice Rollinat.
Marie Krysinska dans son livre Rythmes pittoresques (Alphonse Lemerre éditeur, Paris, 1890, 124 pages) dédicace le poème Le Hibou (pages 43 à 45) à Maurice Rollinat ; ce poème est daté du 26 mai 1883.
Alexis Noël, dans son livre Les Sensualités, Tendresses passées (Paul Ollendorff éditeur, Paris, 1890, 175 pages), a dédicacé le poème XXI de la partie "Les tendresses passées" à Maurice Rollinat.
Dans la revue Le Sphinx, annexée à la revue Chimère du 28 mars 1893, page 25, figure un poème de Raphaël-Armand intitulé La fatalité avec comme dédicace "pour Maurice Rollinat".
Dans La Lorraine-artiste n° 40 du 1er octobre 1893, pages 632 et 633 (douzième et treizième du numéro), figure le poème intitulé Maurice Rollinat de Jacques Turbin (pseudonyme de Charles Keller). Ce poème sera publié dans son livre de poésie L’oreille (Alphonse Lemerre, éditeur, Paris, 1899, 292 pages), pages 247 à 250.
Le poème La Berrichonne de Louis Mercier, paru dans les Mémoires de la Société dunkerquoise pour l’Encouragement des Sciences, des Lettres et des Arts, année 1895, page 61, est dédicacé à Maurice Rollinat.
Le poème Prométhée de Joseph Barbotin, paru dans le cinquante-sixième volume de Lice chansonnière - Année 1896, pages 19 à 21, est dédicacé à Maurice Rollinat.
Les Annales Politiques et Littéraires, n° 711 du 7 février 1897, page 88, publient un poème de J.-André Mérys (Jacques-André Mérys est un pseudonyme utilisé par Pierre Blanchon) intitulé La tristesse des bois et dédicacé à Maurice Rollinat.
Dans Le livre d’or du cabaret du Chat Noir, détenu par la Bibliotheque Historique de la Ville de Paris, page 66, nous pouvons lire La Ballade des Araignées de Fernand Crésy (pseudonyme-anagramme de Fernand Icres), dédicacée à Maurice Rollinat, illustrée d’un dessin de Willette (NB : ce poème était paru dans Panurge du 3 décembre 1882, page 5, sans dédicace, avec un dessin d’Henri Detouche).
Lucien Jeny dans son livre Mes Bien Aimées (Librairie Achille Heymann, Paris, 1898, 256 pages) dédicace le poème La Folle à Maurice Rollinat (pages 237 à 239).
Jacques Turbin (pseudonyme de Charles Keller) dans son livre de poésie L’oreille (Alphonse Lemerre, éditeur, Paris, 1899, 292 pages), publie un poème intitulé Maurice Rollinat (pages 247 à 250).
Le poème Les "Vieux" de la forêt d’Achille Mélandri, paru dans la Revue comique normande du 24 mars 1900, page 3, est dédicacé à Maurice Rollinat.
Lionel Nastorg a dédicacé à Maurice Rollinat son poème Le Comdamné publié dans L’Hémicycle n° 19-20, juillet-août 1901, pages 152 à 154.
Théodore Maurer dans son livre de poésie Les Femmes de Shakespeare (En la Maison des Poètes, Paris, 1901, 183 pages), dédicace le poème Les trois Sœurs à Maurice Rollinat (page 39).
Dans la Revue Méridionale (Carcassonne) de décembre 1903, pages 136 et 137 (huitième et neuvième du numéro), nous pouvons lire un article suite au décès de Maurice Rollinat (sans aucun intérêt) suivi du poème A Maurice Rollinat, hommage de son grand ami Raoul Lafagette. (Lire cet article et ce poème.)
Dans la Revue du Berry du 15 décembre 1903, pages 297 à 299, nous pouvons lire une poème de J.-B. Gonnin intitulé La mort du poète, en l’honneur de Maurice Rollinat.
Dans le
numéro spécial de La Revue du Berry consacré à
Maurice Rollinat et daté de mars 1904, figurent plusieurs poèmes écrits
pour le poète :
- A Maurice Rollinat de Raoul Lafagette (page 122) ;
- Au
Seuil du Rêve de Lionel Nastorg (pages 125 à 128) ;
- A La Pouge de Jean
du Sandillat (page 131) ;
- A Maurice Rollinat de Jules de Vorys (page
132) ;
- A Maurice Rollinat de J. Ratier (pages 133 et 134) ;
- L’Impassible de François Hervier (pages 135 et 136).
Armand Masson dans Pour les quais (Librairie Léon Vanier éditeur, Paris, 1905, 190 pages) dédicace son poème Le champ du repos (pages 105 à 107) à Maurice Rollinat.
Le poème A Rollinat d’Albert-F. Hennequin a été publié dans Limoges-illustré du 15 février 1906, page 2047.
Les Annales de l’Ariège du 27 mai 1906, publient en page 1, le poème "Aux Funérailles de Rollinat" de Joseph Bouchard.
Adrien Remacle dans Le Livre d’une Jeunesse (P.-V. Stock et Cie éditeurs, Paris, 1913, 272 pages), dédicace son poème La Vie (pages 203 et 204) à Maurice Rollinat, poète ami, pour réplique à sa pièce dédicacée des Névroses (page 384).
Dans La Revue du Centre (Nivernais - Berry - Bourbonnais - Bourgogne - Orléanais) de janvier-février 1926, page 21, figure le poème Dans les brandes d’Émile Vinchon dédicacé "A la mémoire de Maurice Rollinat".
Nouvelles ou textes dédicacés à Maurice Rollinat |
Le conte fantastique La maison abandonnée de Théodore de Bonvieux, paru dans Le Chat Noir n° 75 du 16 juin 1883, page 89 (première du numéro), est dédicacé à Maurice Rollinat.
Charles Leroy dans Le Colonel Ramollot (C. Marpon et E. Flammarion éditeurs, Paris, 1883, 308 pages) dédicace les textes L’Enterrement (pages 193 à 199) et L’Homme juste (pages 271 à 275) à Maurice Rollinat.
Dans Quelques Sires de Léon Cladel (Paul Ollendorff éditeur, Paris, 1885, 344 pages), le chapitre Une brute (pages 215 à 237) est dédicacé à Maurice Rollinat. La lettre de remerciements de Maurice Rollinat à Léon Cladel, datée de mars 1885, a été publiée dans Fin d’Œuvre, page 256.
Le texte Dans la brume de Charles Frémine, paru dans Le XIXe siècle du 28 décembre 1895, page 1, et à l’identique dans Le Rappel du 28 décembre 1895, page 1, est dédicacé à Maurice Rollinat. À noter que le texte Dans la brume qui sera publié dans Promenades et Rencontres (Librairie générale, Paris, 1905, 356 pages), pages 181 et 182, ne comporte pas de dédicace.
Dans Beaumignon de Frantz Jourdain (Jules Lévy éditeur, Paris, 1886, 254 pages), pages 89 à 91, le texte Les flamants décrivant la peinture d’un plafond exécutée par Mlle Louise Abbéma, est dédicacé à Maurice Rollinat.
La nouvelle fantastique Le Chevalier noir de Lucien Donel, parue dans Le Mois Littéraire et Pittoresque, n° 47 de décembre 1902, pages 481 à 486, est dédicacée à Maurice Rollinat.
Œuvres d’art dédicacées à Maurice Rollinat |
L’œuvre de Mlle Camille Langlois intitulée Les lendemains de la mort... il étouffe !!! soulevez le couvercle S. V. P. n° 160 de L’exposition des Arts Incohérents qui s’est tenue à Paris du 15 octobre au 15 novembre 1883, est dédicacée à Maurice Rollinat.
Sur la base Joconde, sous-titrée "Portail des collections des musées de France", en faisant une recherche simple avec le mot "Rollinat", nous obtenons vingt-trois notices. Deux concernent des sculptures d’Auguste Rodin dédiées à Maurice Rollinat : – la statuette en plâtre "La femme accroupie", aussi connue sous le titre "Luxure", datée de 1882 et conservée au Musée Rodin à Paris, qui porte la mention "A Rollinat mon ami, Rodin" gravée sur la base ; – la statuette en plâtre "Le désespoir" datée de 1890 et conservée au Musée Rodin à Paris, qui porte la mention "A mon ami Rollinat / Rodin son admirateur" gravée sur la base.
Dans le catalogue de la vente de la collection George Haviland réalisée les 2 et 3 juin 1932, dans la catégorie "Sculptures modernes", nous trouvons page 32, au n° 75, la description suivante : "RODIN (Auguste) Les Femmes damnées (Baudelaire) Groupe en bronze, patine verte. Signé sur la terrasse et dédicacé à Rollinat. Hauteur : 32 cent. ½ ; largeur : 38 cent." La reproduction figure sur la planche XXII.
Dessin dédicacé à Maurice Rollinat |
Dans Pauvre Pierrot d’Adolphe Willette (en vente chez Léon Vanier, publié par la maison Mélandri, Paris, 1884, non paginé), qui reproduit vingt dessins d’Adolphe Willette avec des préfaces de Théodore de Banville et de Paul Arène, le dessin n° 13 "Mademoiselle Squelette" est dédicacé "à Rollinat". Il avait été publié dans Le Chat Noir n° 46 du 25 novembre 1882, page 3, sans mention particulière.
Portraits de Maurice Rollinat (ne figurant pas dans un article ou un ouvrage cité ci-dessus) |
Dans Le Chat Noir n° 44 du 11 novembre 1882, le dessin de la page 3 signé Willette est intitulé "LE CHAT NOIR - Les Frissons de Pierrot par WILLETTE à Rodolphe Salis". Maurice Rollinat est représenté en haut au milieu ; les explications sont données en page 4. Ce dessin figurera ensuite dans Pauvre Pierrot d’Adolphe Willette (en vente chez Léon Vanier, publié par la maison Mélandri, Paris, 1884, non paginé), reproduction n° 12/20 dédicacée à "Rollinat et Goudeau".
Portrait de Maurice Rollinat par Nadar. La date indiquée sur Gallica est 1900, en réalité cette photo a été prise au début de l’année 1883 (la lettre de Maurice Rollinat à Félix Nadar le remerciant pour la qualité des photos faites de lui, est datée du 31 mars 1883 - voir la rubrique "Correspondance" ci-dessus).
Dans le dessin d’Henri Rivière intitulé L’ancien Chat Noir, paru dans Le Chat Noir n° 179 du 13 juin 1885, page 507 (troisième de ce numéro), Maurice Rollinat est représenté en haut à droite avec la mention manuscrite "Rollinat au piano".
Dans le Recueil "Portraits d’écrivains et hommes de lettres de la seconde moitié du XIXe siècle" réalisé par Georges Sirot, Maurice Rollinat figure sur la planche 22 du tome 7.
Les Contes de La Limousine de Gabriel Nigond (Librairie Paul Ollendorf, Paris, 1912, 326 pages) sont illustrés de dessins de Fernand Maillaud, dont "Maurice Rollinat pêchant à la ligne, à Fresselines" (page précédant la préface).
Depuis début mai 2016, la ville de Paris a mis en ligne sur
Internet, les collections des quatorze musées de la ville (plus de
390 000 œuvres étaient visibles le jour de la consultation). Une recherche sur le mot « Rollinat » a fait apparaître deux résultats :
– le masque de Maurice Rollinat par Jean-Désiré Ringel d’Illzach déposé au musée Carnavalet ;
– une sculpture de type bas-relief en plâtre patiné de Jean Carriès représentant Maurice Rollinat de profil, conservée au Petit Palais, musée des Beaux-arts de la ville de Paris.
Humour |
Dans Les Hydropathes n° 9 du 15 mai 1879, troisième page du numéro, dans l’article Anagrammes, "Maurices Rollinat" devient "Irritons la clameur".
Dans Le Chat Noir du 7 octobre 1882, page 2, nous pouvons lire un article intitulé Salle des dépêches et signé "Fanfare" (pseudonyme utilisé par Marcel Bailliot). Dans cet article, sont décrits un certain nombre d’objets parmi lesquels "Une limousine en planche ayant appartenue à un mort qui s’en allait dans le brouillard. Don de Maurice Rollinat."
Dans La Bavarde du 9 décembre 1882 (édition de Paris paraissant le samedi), pages 1 et 2, l’histoire humoristique intitulée L’affaire du boulevard Rochechouart et signée L. d’Asco, se déroule au Chat Noir (situé au 84, boulevard de Rochechouart) où on retrouve des habitués du cabaret. Maurice Rollinat y est membre d’un tribunal et on lui prête deux répliques. Cet article était déjà paru dans l’édition du jeudi diffusée en province.
En quatrième page de La Bavarde du 10 février 1883, figure un supplément intitulé Le Lapin - Organe des cocottes trompées, n° 1. Celui-ci contient un article intitulé Le Nouveau Ministère et signé Fanny Robert, dans lequel l’auteur propose "selon son cœur", les ministères à des personnes liées à la littérature ; ainsi Maurice Rollinat, "le plus beau de l’ère,... actuelle" se voit attribuer la présidence du Conseil.
Dans Le Tintamarre du 18 février 1883, page 5, l’article Dernière minute signé Beausapin, annonce la composition d’un nouveau gouvernement confié à Sarah Bernhardt ; Maurice Rollinat y figure comme ministre de la guerre.
Dans Le Tintamarre du 4 mars 1883, page 1 rubrique Chinoiseries, figure cette "Simple question : Pourquoi Rollinat a-t-il intitulé son livre de vers les Nevroses puisqu’il voit tout en noir ?"
Dans le Gil Blas du 24 juin 1883, page 4 rubrique Courrier des théâtres, nous pouvons lire une courte histoire humoristique signée Christian de Trogoff et intitulée Racontars du foyer - Au salon, dans laquelle dialoguent les portraits de MM. de Lapommeraye, Vitu, Maurice Rollinat, Grangeneuve, les bustes de M. Got et de Mme Judic, et le portrait de Mme Samary. La scène se passe lors du Salon de 1883 qui s’est tenu au Palais de l’Industrie.
Dans Le Rire du 28 mai 1898, en dernière page, figure une planche de dessins intitulée La corbeille des heures de Delaw ; l’heure du crapaud est présentée par Maurice Rollinat.
Dans Cocorico du 1er février 1901, page 2 des annonces (troisième de couverture), figure un dessin humoristique avec comme légende : "Après avoir longtemps chanté du nez, Yves (sic) Guilbert se décide enfin à chanter du... Rollinat."
Partitions écrites sur des poèmes de Maurice Rollinat en téléchargement |
Jean Hubert a mis en musique Rondeau de printemps de Maurice Rollinat (partition incluse pages 57 à 60 dans Les Saisons et Les Heures, vingt mélodies par Jean Hubert, Au Ménestrel, Heugel et Cie éditeurs, Paris, 1904, 114 pages).
Le compositeur Charles Martin Loeffler a mis en musique des poèmes de Maurice Rollinat et nous trouvons en téléchargement les partitions de La Villanelle du Diable, La cornemuse et L’étang.
Dans la Revue de la quinzaine parue dans Le Mercure Musical du 15 avril 1906, page 360, Louis Laloy donne ses impressions sur les deux Rapsodies de Ch.-M. Loeffler composées sur les poèmes L’étang et La cornemuse de Maurice Rollinat.
Emmanuel Chabrier a composé en 1883 une partition Tes yeux bleus sur le poème Les Yeux bleus de Maurice Rollinat (Les Névroses, page 33) ; elle a été publiée en particulier dans l’Album du Gaulois, offert à ses lecteurs le 15 décembre 1885.
Paul Dupin dans son Recueil de Mélodies (M. Senart, B. Roudanez et Cie éditeurs, Paris, 1909, 52 pages), a inclus deux partitions qu’il a composées sur des poèmes de Maurice Rollinat : "Le Convoi" et "Au Crépuscule".
Joseph Boulnois a mis en musique La Biche et La Cornemuse de Maurice Rollinat (partitions éditées en 1923 par Maurice Senart, Paris).
Sous le titre La Chanson du Moulin Josse van Beers a mis en musique le poème Le Moulin de Maurice Rollinat (partition publiée dans Album Musica n° 78 de 1909).
Écouter des interprétations de poèmes ou chansons de Maurice Rollinat |
De nombreuses interprétations de poèmes ou chansons peuvent être écoutées sur Internet. Beaucoup sont des "interprétations" très personnelles, sans rapport réel avec ce que Maurice Rollinat aurait souhaité. Nous en avons sélectionné quelques-unes qui méritent notre attention.
Sur Le blog TSF 36, une page a été consacrée à "Chanson d’automne" de Maurice Rollinat, avec la mise en ligne de deux disques anciens très connus : l’enregistrement par Yvonne Darle chez Pathé et celui de Jean Clément chez Decca.
Cette même chanson interprétée par Jean Lumière (disque Gramophone) peut être écoutée sur You Tube.
Articles relatifs à l’association « Les Amis de Maurice Rollinat » |
Dans l’édition du 25 novembre 1925 de Le Figaro, page 2, vous trouverez l’annonce de la création de l’association « Les Amis de Rollinat ».
Dans L’Intransigeant du 25 novembre 1925, page 2, rubrique Les Lettres, figure la création du groupe "Les Amis de Rollinat".
Dans L’Indépendant du Berry du 19 décembre 1925, en page 2, on apprend que la presse locale (les Feuilles du Bas-Berry, l’Indépendant et la Voix du Centre) s’associent à la création de l’association des Amis de Rollinat.
Annonce de la création d’une Société des Amis de Maurice Rollinat, dans Les Annales Politiques et Littéraires, n° 2217 du 20 décembre 1925, page 681.
Dans La Revue du Centre (Nivernais - Berry - Bourbonnais - Bourgogne - Orléanais) de janvier-février 1926, page 31, dans la rubrique Faits et gestes de chez nous, partie Berry signée Guy Vanhor, figure l’annonce de la création de la Société des Amis de Maurice Rollinat.
Dans La Revue du Centre (Nivernais - Berry - Bourbonnais - Bourgogne - Orléanais) de mai-juin 1926, page 94, dans la rubrique Faits et gestes de chez nous, partie Berry signée Guy Vanhor, nous pouvons lire un bref compte rendu de la soirée intitulée Festival Rollinat et organisée par la Société des Amis de Maurice Rollinat, à Châteauroux.
Un article de Le Figaro, paru page 2 de l’édition du 1er novembre 1926, relate l’inauguration de la plaque posée sur la maison natale de Maurice Rollinat. (article déjà cité plus haut)
Dans La Muse française n° 9 du 10 novembre 1926, pages 716 et 717, rubrique Echos et notes, figure un article intitulé Les Amis de Rollinat, avec l’appel lancé par Jules Lévy et la liste des premiers adhérents.
Dans La Revue du Centre (Nivernais - Berry - Bourbonnais - Bourgogne - Orléanais) de novembre-décembre 1926, pages 190 et 191, dans la rubrique Faits et gestes de chez nous, partie Berry signée Guy Vanhor, nous trouvons une description des actions menées par la Société des Amis de Maurice Rollinat.
Dans l’édition du 5 juillet 1931 de Le Figaro, page 5, c’est de la constitution d’un comité en vue d’ériger un buste à Maurice Rollinat dont il est question.
Au Journal officiel de la République française du 3 avril 1946, page 2771, est paru la déclaration de création de la "Société Les Amis de Maurice Rollinat".
Sites Internet |
De nombreux sites mentionnent Maurice Rollinat, en particulier en mettant en ligne des poèmes. Nous n’avons pas la prétention d’établir une liste de ceux-ci, mais nous avons tout simplement voulu mettre en valeur quelques sites pour montrer la diversité de ce que l’on peut trouver sur Internet.
Le site intitulé « Maurice Rollinat », réalisé par Régis Miannay, permet d’écouter quelques poèmes chantés de Maurice Rollinat. Ce site était encore en construction au moment de son décès, car pour la biographie de Maurice Rollinat, seule la première partie figure.
Le site Internet « Fresselines hier » comporte trois pages sur Maurice Rollinat ; sur la première page, une photo du bourg et une lettre de Maurice Rollinat à Hugues Lapaire, servent d’introduction à la présentation de Fresselines. Dans les trois pages consacrées à notre poète, on trouve des renseignements sur son séjour à Fresselines, des photos, des poèmes, les commémorations de son souvenir, des liens vers les sites plus spécialisés sur ce poète, des extraits musicaux de ses œuvres. En tout, un très bon travail de mise en valeur de Maurice Rollinat d’une manière attractive et précise.
Sur l’encyclopédie libre Wikipédia, l’article sur Maurice Rollinat propose une biographie, une présentation des œuvres et des clichés photographiques. Sur Wikisource, il est possible de lire de nombreux poèmes de Maurice Rollinat, en particulier Dans les Brandes, Les Névroses, L’Abîme et Paysages et Paysans sont intégralement en ligne.
Sur le site des bibliothèques de Châteauroux, nous trouvons un portrait du poète, et deux livres numérisés : La Nature illustré de 101 aquarelles d’André des Gachons, un recueil contenant les manuscrits de 20 poèmes du livre La Nature + le manuscrit du poème Le Ramasseur de bouts de Cigares, reliés par Joseph Thibault, et une lettre de George Sand à Isaure Rollinat datée du 26 janvier 1872.
Le site Poésies.net propose cinq livres de Maurice Rollinat au format txt : Dans les Brandes, Les Névroses, L’Abîme, Paysages et Paysans et Choix de poésies.
Pour ceux qui veulent lire des textes de Maurice Rollinat, le site « Paradis des Albatros » propose plus de quatre cent vingt poèmes en ligne.
Le site « Poésie française » a mis en ligne soixante-cinq poèmes de Maurice Rollinat, beaucoup sont extraits de Paysages et Paysans (rechercher Maurice Rollinat dans la rubrique « Les grands classiques »).
Sur le site de Catherine Réault-Crosnier, vous trouverez le présent dossier, les articles qu’elle a écrits sur Maurice Rollinat, et les poèmes de Maurice Rollinat exposés aux « Murs de poésie de Tours » qu’elle a organisés.
Sur le site de La Vallée des Peintres, vous trouverez une présentation de l’Espace Monet-Rollinat de Fresselines.
Élodie Gaden a mis en ligne son mémoire de Master 1 sur Maurice Rollinat, sur son site Internet « Lettres et Arts ».
La Cave à Poèmes est un rendez-vous hebdomadaire, chaque lundi à 20 h depuis octobre 1993, Théâtre Les Déchargeurs, salle La Bohème - 3, rue des Déchargeurs, 75001 Paris. Un hommage a été rendu à Maurice Rollinat par Laurence Fosse et Pierre Blavin, le 25 juin 2001 lors d’une soirée intitulée "Du Berry au Berry en passant par « Le Chat Noir »" (le texte de cette soirée écrit par Pierre Blavin, est en ligne). Une deuxième séance a eu lieu le 26 janvier 2015, sur le thème "Maurice Rollinat - Bêtes et gens du Berry".
La maison natale de Maurice Rollinat figure dans le Guide National des Maisons Natales.
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