Dossier Maurice Rollinat |
MAURICE ROLLINAT DANS LA PRESSE |
La Revue Libérale
1er janvier 1883
Pages 160 à 167
(Voir le texte d’origine sur Gallica)
(page 160)
MAURICE ROLLINAT
I
L’éloquent écrivain qui, dans le Figaro, signe « Ignotus », parlait il y a quelques mois de la Névrose, – cette grande maladie de notre époque, qui se traduit par un excès de sensibilité et par un besoin morbide d’excitants. Et il s’écriait : « J’espère qu’un puissant artiste pourrait enfin créer une œuvre originale qui ait la date de nos jours. Il fera la musique de notre Grande Névrose ! » J’écrivis alors à « Iguotus » : « L’artiste que vous demandez existe ; il s’appelle Maurice Rollinat et « gratte du papier » à la mairie du VIe arrondissement. » J’ignore si ma lettre, restée sans réponse, parvint à son adresse ; mais « Ignotus » a dû voir depuis, dans le Figaro même, que je n’avais pas l’intention de le mystifier.
Tout le monde a lu l’article de M. A. Wolff, plein d’une ardeur juvénile et d’un souffle généreux, et, à cette heure, la presse entière a parlé de ce poète étrange dont le livre soulèvera demain de l’enthousiasme et des colères, car ces Névroses sont bien l’expression des tendances modernes et, par-dessus tout, l’œuvre d’un grand artiste.
Bien avant que M. Wolff ne l’eût « découvert » chez Mme Sarah Bernhardt, Maurice Rollinat était connu au Quartier latin, d’un petit nombre, il est vrai, car le bruit effarouche ce rêveur qui traîne après lui son spleen comme l’homme son ombre.
Par un soir d’hiver de l’année 1879, j’assistais, rue de Jussieu, 29, à une séance des Hydropathes, société fondée par Emile Goudeau, autre poète original, et dans laquelle se coudoyaient les talents les plus divers, depuis Georges Fragerolle, qui a écrit de si belle musique sur certains vers de Richepin et de Bouchort, jusqu’à Rodenbach, ce Coppée des Flandres. Tolbecque venait d’exécuter sur son violoncelle une fantaisie de haut goût, quand le président lança d’une voix sonore : Maurice Rollinat !
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Un grand garçon, dont la tête expressive et pâle rappelait Edgard Poë, escalada la rampe et parut sur la scène. Puis, se campant de trois quarts, il commença le Soliloque de Tropmann. Cette pièce réaliste me plut médiocrement. Toutefois, dite par l’auteur, elle m’empoigna et j’applaudis, avec la mauvaise humeur d’un homme dont les nerfs sont agacés.
– « Les Babillardes ! le Cimetière aux violettes ! » cria l’auditoire. Et Rollinat se mettant au piano, exécuta avec une douceur d’expression impossible à rendre, ces deux mélodies dont le charme étonnant me suit encore.
II
Depuis cette soirée, j’avais perdu Rollinat de vue et je n’y songeais guère ; quand, un matin, en flânant sur les quais, je découvris son premier volume : Dans les Brandes. Ce recueil contient plusieurs pièces remarquables, mais auxquelles il faut cette puissance d’évocation que le poète possède au suprême degré.
A quelque temps de là, je rencontrai Rollinat sous les galeries de l’Odéon, ce rendez-vous du tout Paris littéraire. Le soir, nous étions réunis, rue Rotrou, à la brasserie Schaller, en compagnie de Charles Frémine, qui a le tort de garder en portefeuille des vers exquis, d’Armand Dayot, et de quelques autres, peintres ou poètes. Le local n’avait assurément pas le luxe du Café de Paris, mais il possédait un piano, et pour nous c’était l’essentiel. Rollinat, qui revenait du pays et se sentait au milieu d’un cercle d’amis, nous dit : « Voulez-vous que je vous chante la Ballade de l’Arc-en-Ciel d’automne ? C’était sa dernière pièce. Ses doigts effleurèrent le clavier et il entonna sa ballade… Une mélodie étrange s’éleva qui semblait faite de toutes les tristesses de la nature mourante ; puis l’hymne éclata en fanfares de joie et insensiblement les sons se fondirent comme les couleurs dans les sept nuances du prisme. Et alors, pendant que tous les yeux pleuraient, il me semblait voir les murs enfumés de la brasserie banale disparaître, et dans le ciel ébloui l’arc sublime s’arrondir, pendant qu’une foule enthousiasmée acclamait un nom glorieux. – Ah ! Rollinat, ce n’était qu’un rêve, mais demain, ce sera une réalité !
Le mercredi suivant, je présentai mon ami à Charles Buet, qui devait, à son tour, le présenter à Mme Sarah Bernhardt. Il y avait, ce soir-là, chez l’auteur du Prêtre, Barbey d’Aurevilly, (page 162) Ernest Hello, et quelques·autres princes des lettres. Le poète des Brandes nous dit les Platanes, de Pierre Dupont, et Réversibilité, pièce de Beaudelaire sur laquelle il a écrit une musique d’une tristesse surnaturelle, quelque chose comme le sanglot d’une âme perdue, Barbey d’Aurevilly, qui n’a cependant pas l’admiration facile (voir les Œuvres et les Hommes, volume des Poètes) était enthousiasmé, Et quand Rollinat eut chanté sa Ballade de l’Arc-en-Ciel, et que le vieux maître lui serra la main, nous sentîmes tous, nous aussi, « qu’il y avait là une grande injustice à réparer et un bel avenir à encourager ! »
III
Certains noms semblent prédestinés. L’anagramme de Maurice Rollinat donne cette phrase prophétique : « Excitons la clameur ! » Le poète des Névroses est né à Châteauroux. Son père, avoué en cette ville, était l’ami de George Sand. L’auteur de la Petite Fadette fit sauter sur ses genoux l’enfant qui devait un jour pénétrer si profondément l’âme des choses et si bien exprimer en sa poésie ce mystérieux amour de la nature dont elle-même imprégna ses romans champêtres.
Une fois pris par le tourbillon parisien, ce pauvre Berrichon regrettait les brandes et l’air salubre du pays natal ; et perdu dans ce désert d’hommes qu’on appelle la foule, il s’abandonnait à la mélancolie de ses rêves. La nécessité l’y forçant, il accepta la place qu’il trouva, et fut employé aux Décès, dans une mairie, Plus tard, il passa aux bureaux de la Morgue. Se figure-t-on ce que doit être un poète attelé à ces funèbres besognes ? Si jamais l’influence du milieu, si chère à M. Taine, est manifeste, c’est à coup sûr ici. Les pièces réalistes de l’écrivain, comme le Soliloque de Tropmann, d’un terrible à donner le cauchemar, datent de cette époque de misère et de lutte ; et je le déclare en toute franchise, ces pièces sont loin d’avoir mes préférences. Elles ne tiennent pas, heureusement, la plus large place dans le recueil des Névroses.
Edgard Poë et Beaudelaire sont les livres de chevet de Rollinat. Il a écrit sur certaines strophes du dernier, de la musique qui est à la poésie ce que l’âme est au corps et le parfum à la fleur ; et sa magistrale traduction du Corbeau d’Edgard Poë montre quelle étroite fraternité, quelle communion existe entre ces deux esprits. Pour lui, l’œuvre du poète américain, c’est le « bréviaire des morts. »
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Bien qu’on puisse penser le contraire, Rollinat a le travail facile. Ce funambule s’est tellement familiarisé avec le vertige, qu’il côtoie sans effroi les abîmes et se meut à l’aise dans l’étrange et le mystérieux. Sa conversation est saisissante de pittoresque et d’imprévu. C’est une évocation perpétuelle. Il a des tours de phrase d’une originalité rare, et des expressions outrées à dessein qui gravent l’idée comme le burin d’un aquafortiste. Ses façons de dire donnent du relief aux moindres choses.
Un soir de décembre, nous étions ensemble au coin de son feu. Il me disait la Nuit claire, une des pages les plus terrifiantes de son livre. Un craquement se fit entendre dans un des meubles de l’appartement ; il s’arrêta soudain et dit d’une voix à donner le frisson : « Tenez, voilà qui fait peur, la nuit ! »
IV
Rollinat est un grand comédien, et qui ne l’a pas entendu peut difficilement croire à la fascination qu’exerce ce charmeur. Albert Wolff lui-même n’y a pas échappé : « C’est un inspiré, dit-il, un halluciné. Quand le vers prend un ton ému ou attendri, le visage du comédien s’illumine d’un rayon de tendresse, comme dans les passages farouches ou énergiques, où le vers semble ciselé dans l’acier, Rollinat appuie sa pensée d’un geste tragique qui atteint souvent le sublime dans l’irrégularité. Mais partout où passe ce poète et cet auteur, il laisse des traces profondes ; le tragédien grave son image dans notre souvenir, en même temps que le poète nous transporte dans un tourbillon de pensées condensées en une langue heurtée comme l’homme qui la fait entendre, mais pleine d’inspirations et de magnifiques beautés. »
J’ai sous les yeux un numéro du journal les Hydropathes, qui contient le portrait de Rollinat, Dans cette charge bizarre, due au crayon de Cabriol (Georges Lorin), l’auteur des Névroses est représenté assis devant un piano, sur le clavier duquel courent ses doigts fiévreux. Autour de lui voltigent des larmes et ricanent des têtes de morts. Derrière, Émile Goudeau a dépeint l’original en dix lignes : « Prenez, dit-il, un Berrichon de George Sand, moitié paysan, moitié monsieur, laissez-le vaguer toute son enfance à travers les brandes des environs de Châteauroux, dans le pays embrumé où l’on rencontre encore des sorcières et où, près des mares, valsent en rond les feux-follets, farfadets et farfadettes ; puis, plongez cet être mystique, mystifié par l’apparence des choses, dans le milieu parisien brutal et intense, réel (page 164) et passionné, où la danse nocturne de la flamme du gaz remplacera celle des feux-follets : donnez à ce Berrichon l’existence maladive d’un dépaysé, avec toutes les violentes aventures, les déconvenues et les joies barbares que cachent les briques de nos cloisons. Bref ! mettez ce Berrichon épris de sa brume natale, dans notre brume morale qui l’attire, tout à la fois et le repousse, – vous aurez Rollinat, c’est-à-dire une personnalité étrange, vigoureuse au possible, et qui fait tressauter jusqu’aux toits le bourgeois qui vend des parapluies ou des pruneaux au rez-de-chaussée. »
Poète, comédien et musicien, Rollinat incarne cette triple personnalité, et il faut avoir vu et entendu le « monstre lui-même », comme disait Eschine, pour juger à quel résultat peuvent arriver la musique et la poésie découlant d’une même source et se fortifiant l’une l’autre dans leur expansion. J’ai vu des salles entières frémir et pleurer sous sa parole comme un violon fouetté par l’archet d’un maître. La mélodie chez lui a quelque chose de bizarre. « Il emploie de préférence, dit un musicien de ses amis, les intervalles les plus vibrants et les plus inattendus, et constamment se sert du triton en descendant et de l’intervalle d’un ton et demi. Cela ne constitue point une originalité ; mais où il est étrange, c’est quand il attaque avec vigueur des modulations très-éloignées, et, le plus souvent, par des appogiatures ; celles-ci quelquefois d’une hardiesse extrême, le chant faisant deux notes diatoniques étrangères à l’harmonie. L’harmonie, du reste, est en rupture de ban avec toutes les règles établies ; elle présente des successions sans liaison ; elle abandonne le chant, qui alors lutte contre elle ou s’en fait une esclave absolue, modulant sous chaque degré nouveau même dans un chant rapide, et alors avec un débordement de richesse et de libertinage qui donne une frissonnante sensation. » Il est évident que chez Rollinat la musique est née du besoin d’exprimer la pensée dans toute sa force en y joignant les sensations que la poésie ne peut éveiller.
Il pourrait s’appliquer ces vers qu’il adresse au grand Chopin :
Sur la croupe onduleuse et rebelle des gammes
Tu fais bondir des airs fauves et tourmentés,
Et l’âpre et le touchant, quand tu les amalgames,
Raffinent la saveur de tes étrangetés.
V
A la soirée de Charles Buet, dont j’ai parlé plus haut, Ernest (page 165) Hello avait caractérisé d’un mot juste l’artiste et son œuvre : « C’est un beau talent, avait-il dit, mais avec un fond de perversité. »
Rollinat dispose des deux moyens d’action qui soient les plus puissants sur l’âme humaine : la tristesse et le fantastique. « La tristesse, dit Edgard Poë, est le ton de la plus haute manifestation du Beau. Une beauté de n’importe quelle famille, dans son développement suprême, pousse inévitablement aux larmes une âme sensible. La mélancolie est donc le plus légitime de tous les tons poétiques. » Rien de plus vrai. La joie est superficielle, la tristesse seule est profonde et voilà pourquoi, selon la remarque d’un illustre critique, il n’y a que les écrivains modernes qui soient profonds, au sens réel du mot. Un poème n’est un poème qu’en tant qu’il élève l’âme et lui procure une excitation intense. Chaque strophe doit tendre à l’effet final, plus puissant que tous les autres. Dans l’œuvre qui nous occupe, cette gradation savante est merveilleusement observée.
Certains critiques ont reproché au poète des Névroses d’être un « poseur » et d’avoir une originalité « voulue. » C’est puéril. Edgard Poë qui devait s’y connaître, a écrit : « L’originalité n’est nullement, comme quelques-uns le supposent, une affaire d’instinct ou d’intuition. Généralement, pour la trouver il faut la chercher laborieusement, et, bien qu’elle soit un mérite positif du rang le plus élevé, c’est moins l’esprit d’invention que l’esprit de négation qui nous fournit les moyens de l’atteindre. » C’est évidemment de ce dernier précepte que s’inspire l’écrivain qui travaille. Et celui dont nous parlons ici doit bien rire, lui ce chercheur infatigable, cet artiste consciencieux, quand il voit des petits pédants nier son talent après avoir parcouru de l’œil des vers dignes d’être vingt fois relus.
Si Rollinat est tragique dans l’horreur, il sait, lorsqu’il le veut, être doux et tendre à vous tirer des larmes. Aussi bien, c’est ce poète-là que je préfère en lui. Jamais la nature ne trouva chantre plus passionné, amant plus sincèrement épris d’elle. Lisez plutôt la délicieuse rêverie qu’il consacre à la lune, ou encore ces strophes inédites, intitulées le Rossignol :
Quand le soleil rit dans les coins,
Quand le vent joue avec les foins,
A l’époque où l’on a le moins
D’inquiétudes ;
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Avec mai, le mois enchanteur,
Qui donne à l’air bonne senteur,
Il nous revient, l’oiseau chanteur
Des solitudes !
Il habite les endroits frais,
Pleins de parfums et de secrets,
Sur les lisières des forêts
Et des prairies ;
Sur les bords d’un lac ombragé,
Auprès d’un manoir très-âgé
Ou d’un cimetière chargé
De rêveries.
Le doux ignorant des hivers
Hante le fouillis d’arbres verts,
Et voit le soleil à travers
L’écran des feuilles.
C’est là que tu passes tes jours,
Roi des oiselets troubadours,
Et que pour chanter tes amours
Tu te recueilles !
Tandis que l’horizon blêmit,
Que la berge se raffermit,
Et que sur les ajoncs frémit
La libellule,
Tandis qu’avec des vols ronfleurs,
Parfois obliques et frôleurs,
L’abeille rentre, ivre de fleurs,
Dans sa cellule ;
Lui, le bohème du printemps,
Il chante la couleur du temps !
Et, saules pleureurs des étangs,
Vieilles églises
Ayant du lierre à plus d’un mur,
Toute la plaine et tout l’azur
Écoutent vibrer dans l’air pur
Ses vocalises.
Quand il pousse dans sa langueur,
Des soupirs filés en longueur,
C’est qu’il souffre avec tout son cœur,
Toute son âme !
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Sa voix pleurant de chers hymens
A des sons tellement humains,
Que l’on dirait par les chemins
D’un cri de femme !…
Alors elle rend tout pensifs
Les petits chênes, les grands ifs ;
Et, mêlée aux ruisseaux furtifs,
Aux bons visages
De la vache et de la jument,
Cette voix est assurément
La plainte et le gémissement
Des paysages.
Quelle saveur exquise, et les poètes de Paris ont-ils jamais compris la campagne comme ce paysan-là ? L’auteur des Névroses qui paraîtront demain, a quelque peu dépassé la trentaine. Après les rudes épreuves où se trempent les vaillants de la vie, il a rencontré une fée souriante qui l’a reçu dans son palais, et c’est la gloire qu’en ce nouvel an, il reçoit comme étrennes !
Georges Gourdon.
Remarques de Régis Crosnier :
1 – Dans le premier paragraphe, il est fait allusion à un article paru dans Le Figaro signé « Ignotus ». « Ignotus » est un des pseudonymes utilisés par le baron Félix Platel, conseiller général de la Loire-Inférieure, né en 1838 (cf. Dictionnaire des pseudonymes page 201, de Georges D’Heylli, Dentu et Cie éditeurs, Paris, 1887, 561 pages). Celui-ci publiait un grand article chaque semaine en page 1 du Figaro la plupart du temps le mercredi. Dans l’édition du 5 mai 1881, sa chronique est intitulée « La grande névrose », mais elle ne comporte pas la phrase citée par Georges Gourdon. Néanmoins, cet article est fort intéressant car il permet de comprendre la perception qu’avaient les gens de cette époque sur cet état psychique, et aussi pourquoi Maurice Rollinat s’y est particulièrement intéressé et que les poèmes écrits dans cette veine ont alors plu. Il faut remonter un peu plus encore en arrière, dans l’édition du 2 février 1882, pour trouver la phrase dans l’article intitulé « Gounod » consacré à ce compositeur, sans que l’on comprenne bien le lien entre ce souhait et le reste de l’article.
2 – L’article d’Albert Wolff visé aux deuxième et troisième paragraphes, est paru dans Le Figaro du jeudi 9 novembre 1882, page 1, sous le titre Courrier de Paris. La soirée chez Sarah Bernhardt s’est déroulée le 5 novembre 1882.
3 – L’auteur, à la fin du II, fait référence au livre Les Œuvres et les Hommes, volume des Poètes, de Jules Barbey d’Aurevilly. Il s’agit de l’ouvrage publié en 1862. Celui dans lequel figurera Maurice Rollinat n’a été publié qu’en 1889, il portera le même titre mais avec la mention « Deuxième série ».
4 – Georges Gourdon écrit que « l’auteur de la Petite Fadette fit sauter sur ses genoux » Maurice Rollinat enfant. S’il est exact que George Sand a connu Maurice Rollinat enfant, nous n’avons pas de témoignages pour étayer l’expression utilisée par l’auteur de cet article.
5 – Le numéro de la revue Les Hydropathes cité dans cet article est le n° 8 du 5 mai 1879.
6 – La description de la musique de Maurice Rollinat est extraite de l’article de Léo Goudeau paru dans le même numéro de la revue Les Hydropathes.
7 – Le poème « Le Rossignol » sera publié dans Les Névroses, pages 147 à 149.
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