Dossier Maurice Rollinat |
MAURICE ROLLINAT DANS LA PRESSE |
La Dépêche (Toulouse)
Dimanche 1er novembre 1903
Page 1.
(Voir le texte d’origine sur RetroNews)
MENUS PROPOS
(…)
Maurice Rollinat avait, on le sait, quitté Paris au moment même où Paris le consacrait. S’ennuya-t-il jamais dans son petit ermitage de Fresseline ? Il ne faut pas le croire.
Un de ses amis, un peintre qui vécut près de lui, raconte que Rollinat avait horreur du déplacement.
Il ne le surprit jamais ayant le regret de Paris. La nuit venue, le sommeil l’appelant au lit, Rollinat songeait parfois aux becs de gaz qui s’allumaient :
– Bah ! disait-il alors, il n’y a pas là-bas plus de neuf qu’ici.
Et il s’endormait tranquillement.
(…)
UN BADAUD.
Remarque de Régis Crosnier : « Fresseline » s’écrit avec un « s » à la fin.
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